- Rizieres-terrasses-Bananiers
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vue 6297 fois - Brick road
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Le quartier de Spitalfields, dans l'east end, accueille depuis le XVIIe les couches populaires des Londoniens, souvent issus de l'immigration : Huguenots français, Juifs d'Europe centrale, et actuellement Indiens et Pakistanais. Les noms de certaines rues y sont traduits en bengali. - Tate Modern
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La Tate modern est située sur la rive sud de la Tamise et accueille les collections contemporaines de la fondation Tate. Elle est située dans une centrale électrique désaffectée réaménagée par Herzog et de Meuron en 2000. Elle est l'un des projets phares de la municipalité de Londres pour revitaliser la rive sud du fleuve. - contrastes
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Contraste entre la vielle ville de Shanghaï et les tours du quartier des affaires de Pudong. Le contraste entre la maison de thé et les bâtiments du Jardin Yu, de style traditionnel chinois et, en arrière-plan, les gratte-ciel de Pudong semblent symboliques de la Chine d’aujourd’hui, qui essaie de mettre en valeur un passé honni lors de la Révolution culturelle et la frénésie des constructions ultramodernes qui marque ses ambitions pour le XXI°siècle. Il faut cependant tempérer le propos car ce qui est mis en avant dans la vielle ville chinoise est surtout un ensemble largement rénové et entièrement consacré au commerce. Ailleurs la vielle ville est, comme partout dans les centres, menacée par les promoteurs et leurs pelleteuses. - carrefour
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Magasin Carrefour à Pékin. 116 magasins, 44000 salariés, un million de clients par jour, Jia Le Fu ou Famille, Joie, Bonheur en chinois, Carrefour est présent en Chine depuis 1995 et ne cesse de progresser, 25 hypermarchés s’ouvrant chaque année. Large choix, produits essentiellement chinois mais services proposés comme en France, Carrefour est bien implanté en Chine. - ruenankin
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Shanghaï, rue de Nankin et Place du peuple C’est l’artère commerçante la plus fréquentée de Shanghaï, longue de 5km. Les grandes marques mondiales y sont présentes tout comme les pharmacies traditionnelles. Cette rue piétonne n’a rien à envier à celles des autres métropoles mondiales et peut apparaître comme une vitrine de la nouvelle société de consommation chinoise, encore réservée à une population citadine. - stade
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Le Stade olympique de Pékin dans le smog Symbole des JO 2008, le stade olympique, ou Stade national, a été conçu par des architectes suisses, Herzog et de Meuron. Il est situé au nord de la capitale; sa construction a débuté en décembre 2003 et il a accueilli les compétitions de football et d’athlétisme. Appelé « Nid d’oiseau » par le Pékinois, il est édifié en béton recouvert d’acier et seule la décoration extérieure est en acier. Un film protège les spectateurs des intempéries. Ses dimensions sont gigantesques : 333 mètres de long, 294 de large et 69 de haut, sa superficie est de 258000m2. Il peut accueillir 91000 spectateurs. - tours
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Les tours du quartier des affaires de Pudong, à Shanghaï Les gratte-ciel sont des symboles urbains de la puissance économique d’une ville, d’un pays. La Chine n’échappe pas à cette règle, en témoignent les tours de plus en plus élevées du quartier des affaires de Pudong, à Shanghaï. Dans le smog d’une journée étouffante d’été s’alignent, du centre vers la droite, la tour de la télévision ou Oriental Pearl Tower, la Shanghaï World Financial Tower, tour triangulaire de 492 mètres et, cachée en partie par une tour en construction, la Jin Mao Tower. Shanghaï se prépare à accueillir l’Exposition Internationale en 2010. - volontaires
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Volontaires des JO dans un quartier touristique de Pékin Ces étudiants maîtrisant l’anglais, font partie des 400 000 «volontaires urbains » recrutés pour aider les visiteurs, chinois et étrangers. 550 postes de ce type sont répartis dans la ville durant les Jeux. Un million de volontaires sociaux, arborant un brassard rouge, sont en outre chargés de s’occuper du trafic routier et de l’ordre public. Quant au Comité Olympique, il a recruté 75 000 volontaires parmi les 1,1 millions qui s’étaient portés candidats. Ces chiffres en disent long sur l’engouement de la population pour ces JO chinois mais aussi sur la forte capacité qu’a le régime à mobiliser, encadrer et contrôler la population ainsi que les touristes présents à cette occasion. - CBD de Perth
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Le skyline de Perth. Perth est la capitale de l'Australie occidentale ; c'est une cité très dynamique, très éloignée du reste de l'Australie par de vastes étendues désertiques. Adélaïde, la grande ville la plus proche est à 2700km ! Sa population, d'environ 1,5 million d'habitants est d'origines très diverses. - Salzburg
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Salzburg, la ville où est né Mozart, est lontemps restée le fief de ses princes-évêques, défiant le pouvoir des Empereurs viennois. Elle vit aujourd'hui principalement du tourisme. - La porte des Allemands à Metz
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Cette porte aux allures de château fort, construite aux XIII° et XV° siècle sur la Seille, est un vestige des anciens remparts de la ville. Son nom vient d'un ordre teutonique de frères hospitaliers établi à proximité au XIII° siècle. C'est un ensemble de deux portes dont la première, du XIII° siècle , située du côté de la ville, est flanquée de deux tours arrondies coiffées d'un toit d'ardoise en poivrière. La seconde est située côté campagne et ses deux grosses tours crénelées sont du milieu du XV° siècle. Une galerie à arcades du XV° siècle réunit les quatre tours. Des remaniements ont eu lieu au XIX° siècle. - La Saône et la colline de La Croix-Rousse à Lyon
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"La Croix-Rousse, "colline qui travaille", pendant ouvrier et laborieux de Fourvière, la "colline qui prie", a été bâtie au début du XIXè siècle sur des terrains qui appartenaient aux communautés religieuses. Les pentes s’opposent traditionnellement au plateau. Les pentes de la Croix-Rousse font partie du territoire classé au patrimoine Mondial par l’Unesco en 1999. L’important dénivelé a eu des conséquences sur le tracé des rues qui suivent les courbes de niveau, ou attaquent franchement les pentes et se transforment en escalier. Les zones anciennes aux rues étroites séparant les hauts immeubles percés de traboules diffèrent totalement des parties modernes. Les Canuts (ouvriers en soie) occupaient les immeubles conçus pour eux et dimensionnés pour contenir les imposants métiers à bras et les nouvelles mécaniques inventés par Jacquard : hauts immeubles avec de nombreuses fenêtres. Des passages nord-sud dans le sens de la pente, les fameuses traboules, sont crées pour faciliter la circulation des piétons." Source : Site web officiel de la Ville de Lyon - Porte Art Déco rue des Capucins , Reims
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Cet immeuble au 48 de la rue des Capucins à Reims, construit en 1927 est le plus caractéristique du style Art Déco très présent à Reims au moment de sa reconstruction : des ferronneries, des bas reliefs avec des motifs floraux, des fenêtres en octogones, des pans coupés. Pour plus d'informations lire l'article :http://www.college.clionautes.org/article.php3?id_article=1962 - Immeuble Art Déco Reims rue des Capucins
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Cet immeuble au 48 de la rue des Capucins à Reims, construit en 1927 est le plus caractéristique du style Art Déco très présent à Reims au moment de sa reconstruction : des ferronneries, des bas reliefs avec des motifs floraux, des octogones, des pans coupés. Pour plus d'informations lire l'article : http://www.college.clionautes.org/article.php3?id_article=1962 - Plaque de reconstruction à Reims
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Plaque de reconstruction sur une maison au 15 rue de Thillois à Reims. 80% de la ville ayant été détruite pendant la 1ère guerre mondiale, elle est devenue au moment de sa reconstruction un "laboratoire" pour de nombreux architectes, et souvent le style adopté est le style Art Déco. Pour plus d'informations lire l'article : http://www.college.clionautes.org/article.php3?id_article=1962 - Façade Art Déco (rue de Talleyrand) , Reims
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Cette maison de ville au 11 de la rue de Talleyrand à Reims, a les caractéristiques du style art déco très présent à Reims au moment de sa reconstruction : des ferronneries, avec des motifs floraux, des mosaïques. Pour plus d'informations lire l'article : http://www.college.clionautes.org/article.php3?id_article=1962 - Façade
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Cette maison de ville au 15 de la rue de Thillois à Reims, construite entre 1921 et 1926, a les caractéristiques du style art déco très présent à Reims au moment de sa reconstruction : des ferronneries, des bas reliefs avec des motifs floraux. Elle porte aussi une plaque de "reconstruction" à gauche de la porte d'entrée. pour plus d'informations lire l'article :http://www.college.clionautes.org/article.php3?id_article=1962 - Grenade : quartier de l'Albayzin
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Le quartier de l'Albaycin vu depuis l'Alhambra. C'est sur cette colline que fut construit la première forteresse arabe de Grenade. Elle est aujourd'hui occupée par un quartier pittoresque de ruelles étroites. On peut y voir des "carmens", ces villas qui rappellent les résidences arabes, avec des jardins en terrasse. - Vue de Florence la nuit
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Vue de Florence depuis la Piazzale di Michelangelo. On distingue à droite la basilique Santa Maria Novella, première grande basilique de Florence, construite au XIIIè siècle. Au centre, le Duomo (la Cathédrale), Santa Maria del Fiore. A gauche, la tour du Palazzo Vecchio, l'Hôtel de ville de Florence, construit à la fin du XIIIe siècle par Arnolfo di Cambio. - Ville de Coimbra
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Aperçu de la ville de Coimbra, ancienne capitale du Portugal. C’est dans cette ville que fut fondé au XIVème siècle la première université de ce pays. On aperçoit les bâtiments universitaires actuels au sommet de la colline. Au pied de Coimbra coule le rio Mondego. - construction Tokyo
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La majorité des logements à Tokyo sont des "apato" maisons à 3 ou 4 niveau construites sur les parcelles très étroites pour une durée de vie de 20 à 30 ans, d'où ce sentiment d'horizontalité de la ville par rapport à d'autres mégapoles d'Asie comme Séoul ou Singapour. - Yokohama terre-plein industrialo-portuaire
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Baie de Yokohama en direction du nord. Le littoral est largement aménagé pour des infrastructures portuaires : quais, stockage... - Yokohama zip
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Infrastructures du port de Yokohama en direction du nord de la baie de Tokyo. - Yokohama terre-plein
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Baie de Yokohama depuis la Landmark Tower (69e étage)en direction du sud/sud-est. Terre-plein consacré aux loisirs : parc d'attraction, centre commercial, anciens docks en brique devenus centre culturel, jardins et promenades, parkings et la capitainerie du port. - Yokohama port
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Baie de Yokohama en direction du sud/sud-est. Au niveau de l'horizon, presque à gauche on devine la Tokyo Bay Aqualine - Yokohama Minatomirai21
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Baie de Yokohama en direction du nord-nord-ouest depuis le 69e étage de la Land Tower, plus haute tour du Japon. Ce terre-plein est en cours d'aménagement. Au fond, les immeuble de Tokyo avec, à gauche, le quartier de Shinjuku - Yokohama Minatomirai 2
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Yokohama, quartier de Minatomirai21 construit sur un terre-plein. La plus haute tour du Japon, la Land Tower 293m. http://www.minatomirai21.com/english/index.html - Quartiers riches de Quito
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Les quartiers les plus riches montent sur les pentes du rebord montagneux qui sépare le bassin où s'était installée la ville coloniale d'une vallée plus chaude, en contrebas. Traditionnellement agricole, celle-ci est de plus en plus colonisée par des quartiers résidentiels fermés. - Le site de Quito
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Quito vue du sommet du téléphérique construit en 2005 au dessus de la ville. Du haut de ce belvédère, on découvre l'étroit bassin où la ville est de plus en plus à l'étroit. Site bien peu commode pour une capitale, à 2800 mètres d'altitude, constamment menacée par les tremblements de terre et les volcans qui la dominent. - Quartiers modernes de Quito
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La ville moderne s'est developpée des deux côtés du centre colonial, situé au pied du Panecillo (le "petit pain", la colline qui apparait à l'arrière-plan. Derrière lui, un des volcans qui dominent la ville. - Panorama de Rio de Janiero depuis le Christ du Corcovado
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Le site urbain de Rio de Janeiro vu depuis le pic du Corcovado - Le centre de Buenos Aires
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Le centre de Buenos Aires, vue d'avion à l'arrivée à l'aéroport international - Forli : Chiesa di San Mercuriale
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Cette photo a été prise sur la place Saffi où se dresse le Campanile de 76 m de haut. L'église, oeuvre de Francesco Deddi a été terminée en 1180. La ville de Forli compte plus de 100 000 habitants. Cette place s'intégre dans un plan d'urbanisme typique du fascisme italien des années 1930 où la ville a été repensée avec de larges avenues et notamment une grande avenue menant à la gare ferroviaire. Pour des plans voir le site http://www.viviforli.it/walk/storia/index.html - Rue de Sophia
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Contrastes économiques dans les rues de Sophia. Alors que les Bulgares les plus défavorisés (notamment des Tziganes) circulent encore en charette en pleine ville, une part de plus en plus importante de la population circule dans des voitures étrangères (ici Renault et Peugeot). - Sienne : le Palazzo Pubblico
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Edifice emblématique de la ville de Sienne, le Palazzo Pubblico est un monument civil dont la construction fut entamée à la fin du XIIIe siècle et achevée vers le milieu du XIVe siècle. On y retrouve les élements architecturaux qui caractérisent le gothique siennois. Le second étage des deux ailes fut rajouté en 1680. A l'une des extrémités du palais se trouve l'impressionnante Torre del Mangia, dont la hauteur atteint 102m et dont la construction dura 10 ans. Une chapelle en forme de loggia, la Capella di Piazza, fut érigée au pied de la tour en 1352. Au premier étage, la Salle de la Mappemonde abrite deux fresques murales de Simone Martini: la Maestà et le portrait équestre du condottière Guidoriccio da Fogliano. Source: http://fr.wikipedia.org/wiki/Palazzo_Pubblico - Florence : le ponte Vecchio
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Situé au point le plus resserré de l’Arno, c’est le plus vieux pont de Florence. Il fut détruit une première fois en 1333 et failli bien l’être à nouveau lors de la seconde guerre mondiale, alors que les autres ponts de la ville furent détruits par des mines allemandes. - Détroit de Gibraltar
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Les côtes espagnoles vues depuis Tanger. A droite, un ferry pour Tarifa ou Algésiras, une traversée de 3 heures, ou, une fois par semaine, pour Sète (36 heures de navigation). Très contrôlé par les Espagnols, les Britanniques et les Marocains, et très dangereux (courants violents), le détroit n’est plus, depuis 2 ans, le lieu de passage privilégié des clandestins africains, qui « préfèrent » entrer en Espagne par les Canaries ou, jusqu’à une date récente par Ceuta et Melilla, les présides espagnols en territoire marocain. 91.009 navires ont transité en 2004 par le détroit (15 % de plus qu’en 2002) ce qui représente 17,8% du trafic méditerranéen. Source : http://www.maritime-network.com/ajdm/detroit-de-gibraltar-bilan-pour-2004-4/ - Essaouira : les remparts de la Sqala
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Ancienne Mogador, fort portugais du XVI° siècle, base de corsaires au XVIII°, débouché des produits venus par caravanes depuis Tombouctou, Essaouira, sur la côte atlantique du Maroc a un riche patrimoine historique et culturel (festival de musique gnaoua en juin) qui a inspiré O.Welles qui y tourna Othello. Sa médina est classée Patrimoine Mondial par l’Unesco. Effet de mode –lancé en partie par les adeptes de la planche à voile-, Essaouira connaît un grand essor à partir de 2003, de nombreux Européens y achètent, après Marrakech, des ryads, qui, rénovés, deviennent des résidences secondaires, gîtes et hôtels. Des compléments sur le site officiel de la ville : http://www.essaouira.com/francais/presentation_essaouira.htm - Marrakech : remparts
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Les Almoravides (1062-1147) descendus de l’Atlas au milieu du XI° siècle, fondent Marrakech qu’ils entourent d’une dizaine de kms de remparts. Haute de 6 à 8 mètres, la muraille est faite de pisé d’argile et de chaux, d’une épaisseur de 1 à 2 m. A l’arrière-plan, les sommets enneigés de l’Atlas. - Enceinte romaine du Mans
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ENCEINTE ROMAINE DU MANS (fin III°s. - début IV°s. ) La construction Cette enceinte est l'une des mieux conservée du monde romain. Périmètre 1300 mètres sur une superficie de 9 ha – il existait 35 tours à l'origine et une trentaine sont encore visibles aujourd'hui. Le décor est constitué d'une alternance de triple lit de briques et de moellons de grès- roussard brun et de calcaire. Le mortier rose est obtenu grâce à de la brique pilée. Les trous carrés sont des trous de boulin. L'intérêt de cette muraille Ce rempart a certes un rôle défensif indéniable mais la qualité de la mise en oeuvre indique que cette construction ne peut s'insérer dans une période trouble. Cette muraille n'a pas été construite à la va-vite mais dans le temps d'une génération. On peut voir dans cette édification une volonté de montrer l'importance et la fierté d'une ville dans une période de renouvellement de la puissance de l' Etat romain. Cette muraille semble plus issue d'une période de confiance que d'une période de crise. Sources : « Le Mans retrouvé, Archéologie et mémoire de la ville – dir. Stéphane Deschamps et Michel Vaginay – CAPH des Pays de la Loire - 1990 » Lien internet compléméntaire : http://vindunum.free.fr/index.php?page=photographies - Enceinte romaine du Mans
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ENCEINTE ROMAINE DU MANS (fin III°s. - début IV°s. ) La construction Cette enceinte est l'une des mieux conservée du monde romain. Périmètre 1300 mètres sur une superficie de 9 ha – il existait 35 tours à l'origine et une trentaine sont encore visibles aujourd'hui. Le décor est constitué d'une alternance de triple lit de briques et de moellons de grès- roussard brun et de calcaire. Le mortier rose est obtenu grâce à de la brique pilée. Les trous carrés sont des trous de boulin. L'intérêt de cette muraille Ce rempart a certes un rôle défensif indéniable mais la qualité de la mise en oeuvre indique que cette construction ne peut s'insérer dans une période trouble. Cette muraille n'a pas été construite à la va-vite mais dans le temps d'une génération. On peut voir dans cette édification une volonté de montrer l'importance et la fierté d'une ville dans une période de renouvellement de la puissance de l' Etat romain. Cette muraille semble plus issue d'une période de confiance que d'une période de crise. Sources : « Le Mans retrouvé, Archéologie et mémoire de la ville – dir. Stéphane Deschamps et Michel Vaginay – CAPH des Pays de la Loire - 1990 » Lien internet compléméntaire : http://vindunum.free.fr/index.php?page=photographies - Enceinte romaine du Mans
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ENCEINTE ROMAINE DU MANS (fin III°s. - début IV°s. ) La construction Cette enceinte est l'une des mieux conservée du monde romain. Périmètre 1300 mètres sur une superficie de 9 ha – il existait 35 tours à l'origine et une trentaine sont encore visibles aujourd'hui. Le décor est constitué d'une alternance de triple lit de briques et de moellons de grès- roussard brun et de calcaire. Le mortier rose est obtenu grâce à de la brique pilée. Les trous carrés sont des trous de boulin. L'intérêt de cette muraille Ce rempart a certes un rôle défensif indéniable mais la qualité de la mise en oeuvre indique que cette construction ne peut s'insérer dans une période trouble. Cette muraille n'a pas été construite à la va-vite mais dans le temps d'une génération. On peut voir dans cette édification une volonté de montrer l'importance et la fierté d'une ville dans une période de renouvellement de la puissance de l' Etat romain. Cette muraille semble plus issue d'une période de confiance que d'une période de crise. Sources : « Le Mans retrouvé, Archéologie et mémoire de la ville – dir. Stéphane Deschamps et Michel Vaginay – CAPH des Pays de la Loire - 1990 » Lien internet compléméntaire : http://vindunum.free.fr/index.php?page=photographies - Enceinte romaine du Mans
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ENCEINTE ROMAINE DU MANS (fin III°s. - début IV°s. ) La construction Cette enceinte est l'une des mieux conservée du monde romain. Périmètre 1300 mètres sur une superficie de 9 ha – il existait 35 tours à l'origine et une trentaine sont encore visibles aujourd'hui. Le décor est constitué d'une alternance de triple lit de briques et de moellons de grès- roussard brun et de calcaire. Le mortier rose est obtenu grâce à de la brique pilée. Les trous carrés sont des trous de boulin. L'intérêt de cette muraille Ce rempart a certes un rôle défensif indéniable mais la qualité de la mise en oeuvre indique que cette construction ne peut s'insérer dans une période trouble. Cette muraille n'a pas été construite à la va-vite mais dans le temps d'une génération. On peut voir dans cette édification une volonté de montrer l'importance et la fierté d'une ville dans une période de renouvellement de la puissance de l' Etat romain. Cette muraille semble plus issue d'une période de confiance que d'une période de crise. Sources : « Le Mans retrouvé, Archéologie et mémoire de la ville – dir. Stéphane Deschamps et Michel Vaginay – CAPH des Pays de la Loire - 1990 » Lien internet compléméntaire : http://vindunum.free.fr/index.php?page=photographies - Enceinte romaine du Mans
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ENCEINTE ROMAINE DU MANS (fin III°s. - début IV°s. ) La construction Cette enceinte est l'une des mieux conservée du monde romain. Périmètre 1300 mètres sur une superficie de 9 ha – il existait 35 tours à l'origine et une trentaine sont encore visibles aujourd'hui. Le décor est constitué d'une alternance de triple lit de briques et de moellons de grès- roussard brun et de calcaire. Le mortier rose est obtenu grâce à de la brique pilée. Les trous carrés sont des trous de boulin. L'intérêt de cette muraille Ce rempart a certes un rôle défensif indéniable mais la qualité de la mise en oeuvre indique que cette construction ne peut s'insérer dans une période trouble. Cette muraille n'a pas été construite à la va-vite mais dans le temps d'une génération. On peut voir dans cette édification une volonté de montrer l'importance et la fierté d'une ville dans une période de renouvellement de la puissance de l' Etat romain. Cette muraille semble plus issue d'une période de confiance que d'une période de crise. Sources : « Le Mans retrouvé, Archéologie et mémoire de la ville – dir. Stéphane Deschamps et Michel Vaginay – CAPH des Pays de la Loire - 1990 » Lien internet compléméntaire : http://vindunum.free.fr/index.php?page=photographies - Enceinte romaine du Mans
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ENCEINTE ROMAINE DU MANS (fin III°s. - début IV°s. ) La construction Cette enceinte est l'une des mieux conservée du monde romain. Périmètre 1300 mètres sur une superficie de 9 ha – il existait 35 tours à l'origine et une trentaine sont encore visibles aujourd'hui. Le décor est constitué d'une alternance de triple lit de briques et de moellons de grès- roussard brun et de calcaire. Le mortier rose est obtenu grâce à de la brique pilée. Les trous carrés sont des trous de boulin. L'intérêt de cette muraille Ce rempart a certes un rôle défensif indéniable mais la qualité de la mise en oeuvre indique que cette construction ne peut s'insérer dans une période trouble. Cette muraille n'a pas été construite à la va-vite mais dans le temps d'une génération. On peut voir dans cette édification une volonté de montrer l'importance et la fierté d'une ville dans une période de renouvellement de la puissance de l' Etat romain. Cette muraille semble plus issue d'une période de confiance que d'une période de crise. Sources : « Le Mans retrouvé, Archéologie et mémoire de la ville – dir. Stéphane Deschamps et Michel Vaginay – CAPH des Pays de la Loire - 1990 » Lien internet compléméntaire : http://vindunum.free.fr/index.php?page=photographies - Enceinte romaine du Mans
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ENCEINTE ROMAINE DU MANS (fin III°s. - début IV°s. ) La construction Cette enceinte est l'une des mieux conservée du monde romain. Périmètre 1300 mètres sur une superficie de 9 ha – il existait 35 tours à l'origine et une trentaine sont encore visibles aujourd'hui. Le décor est constitué d'une alternance de triple lit de briques et de moellons de grès - roussard brun et de calcaire. Le mortier rose est obtenu grâce à de la brique pilée. Les trous carrés sont des trous de boulin. L'intérêt de cette muraille Ce rempart a certes un rôle défensif indéniable mais la qualité de la mise en oeuvre indique que cette construction ne peut s'insérer dans une période trouble. Cette muraille n'a pas été construite à la va-vite mais dans le temps d'une génération. On peut voir dans cette édification une volonté de montrer l'importance et la fierté d'une ville dans une période de renouvellement de la puissance de l' Etat romain. Cette muraille semble plus issue d'une période de confiance que d'une période de crise. Sources : « Le Mans retrouvé, Archéologie et mémoire de la ville – dir. Stéphane Deschamps et Michel Vaginay – CAPH des Pays de la Loire - 1990 » Lien internet compléméntaire : http://vindunum.free.fr/index.php?page=photographies - Pont Charles De Gaulle
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Le filiforme pont Charles de Gaulle et au bout sur la rive droite le "petit quartier des affaires " du nouveau Bercy. Le beffroi de la gare de Lyon tente timidement de se frayer un chemin. - Le Flat Iron Building
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Cet immeuble doit son nom de "Flat Iron" à sa forme triangulaire évoquant un fer à repasser. Ce fut le premier gratte-ciel de New York (il date de 1902). Avec 91 mètres de haut, il faisait partie à l'époque des plus hauts buildings du monde. Il est très étroit car il occupe l'angle aigu du croisement de Broadway et de la 5ème avenue. Le bâtiment de briques rouges et de pierre, d'une hauteur de 22 étages est un des premiers à utiliser une structure en acier, mais avec une façade en pierre, qui reprend le modèle des palais italiens avec pilastre, médaillons et corniches. - Le château d'Annecy et la vieille ville
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Construit du XIIème au XVIème siècle, il fut habité par les comtes de Genève dès le XIIIème siècle. Depuis 1993 le château abrite l’Observatoire Régional des Lacs Alpins. Les maisons de la vieille ville, serrées à l’ombre du château, datent du XVI ème au XVIIIème siècles. A droite, le Palais de l’Ile, d’abord résidence du châtelain, puis atelier de monnayage, fut ensuite transformé en prison jusqu'en 1865. Il accueille aujourd'hui le "Centre d'interprétation de l'architecture et du patrimoine" qui présente l'histoire de la ville.