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vue 4984 foisUn troupeau de taureaux adultes qui pourraient servir en corrida de tradition espagnole.
Ces animaux vivent à l'état sauvage, sans contact avec l'homme à pied. L'origine de ce troupeau est Valdefresno, un élevage prestigieux d'Espagne qui a fourni des taureaux ayant beaucoup de force et de bravoure. Les combattre dans l'arène demande beaucoup de détermination et de technique.
Ces élevages qui demandent des étendues importantes sont des espaces de protection de la nature. Sans leur existence, c'est tout l'écosystème de la Camargue qui serait menacé.
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vue 4588 foisUn taureau de combat de race espagnole élevé en Camargue par Olivier Riboulet.
Les taureaux qui ne sont pas destinés à l'arène alimentent une filière de production et de vente directe de viande. Celle-ci est différente en qualité de la viande des élevages industriels en raison d'une concentration plus élevée en omega 3 et 5.
Les anti-corridas qui prétendent défendre l'environnement gagneraient à réfléchir sur ce point. Sans ces élevages extensifs de taureaux de combat, ce sont des milliers d'hectares qui seraient livrés à l'agriculture intensive ou à la spéculation immobilière et au bétonnage.
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vue 4587 foisUn paysage du Scamandre dans la réserve naturelle. Cette terre d'élevage de taureaux de combat est un sanctuaire pour la faune et la flore sauvage.
- Citadelle de Belfort
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Vue sur la ville de Belfort en direction de l’est. Au premier plan, la vieille ville ceinturée par la rivière « la Savoureuse ». Sur la gauche, le marché couvert inauguré en 1905. Au second plan, le lion de Belfort construit par Bartholdi. Au fond la citadelle. Cette citadelle a été en grande partie remaniée par Vauban (XVIIème siècle) à la demande de Louis XIV. Il décida d'en doubler la surface en créant une enceinte pentagonale fortifiée. Pour une description de la forteresse, se rendre sur le site franche-comte.org Actuellement, le gouvernement français a choisi l'oeuvre de cet ingénieur militaire pour être soumise à l'inscription au Patrimoine mondial de l'humanité (Unesco). Voir l'article du Monde, 6 janvier 2007, "La France propose Vauban à l'Unesco" Mais la citadelle de Belfort n'a pas été retenue pour cette candidature car celle-ci a été par la suite trop modifiée (voir les propos d'Alain Monferrand, président de l'Association Vauban dans ce même article). - Lion de Belfort
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Monument inauguré en 1880. C’est la municipalité de Belfort qui décida, en décembre 1871, de construire un monument à la mémoire des victimes tombées lors du siège de la citadelle. Cette dernière résista aux armées prussiennes du 3 novembre 1870 au 13 février 1871, sous le commandement du colonel Denfert-Rochereau. Le sculpteur Frédéric-Auguste Bartholdi fut désigné pour le réaliser. Il conçut un lion monumental, symbole de cet acharnement à résister. Il mesure 22 mètres de long et 11 mètres de haut et a été installé au pied de la Citadelle. Il est constitué de blocs de grès rose des Vosges. Une inscription est gravée sur son socle : « Aux défenseurs de Belfort 1870-71 ». - Bitche, la citadelle et la ville
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Un exemple de fortification Vauban pour défendre les frontières de l'est. En contrebas de la muraille on aperçoit le chemin couvert et le glacis carctéristiques de cette architecture militaire. Au pied de la citadelle, la ville n'a pu se developper que sous le contrôle de l'autorité militaire. - Calvi
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La citadelle de Calvi dominant la mer et le port.