- le caire pollution
0 commentaire
vue 6226 foisModernité, Occident, nuage polluant qui stagne dans un air pétrifié.
- Donjon du château de Vincennes
0 commentaire
vue 25284 fois
Le donjon du château de Vincennes date du XIVème siècle. Vers 1370, le donjon et son enceinte sont achevés. La construction du donjon débute, autour de 1337, sous le règne de Philippe VI (1328-1350), et se poursuivent sous celui de Jean II (1350-1364). C’est finalement Charles V (1364-1380) qui l’inaugure en s’y installant vers 1367. Il culmine à 50 m au-dessus du sol de sa cour. Après des années de travaux, il est à nouveau ouvert au public (printemps 2007). - Sépartation de l'Eglise et de l'Etat
0 commentaire
vue 20750 fois
Un souvenir de la séparation de l’Église et de l’État conservé pieusement à l’ancien presbytère transformé en petit musée local du bourg de Commana (Finistère) . Un exemple d’échauffourée entre police et fidèles dans l’affaire des inventaires des biens de l’Église. Légende de la plaque : Inventaire du 22 novembre 1906./ Porte de l’église barricadée cède aux coups de hache. Celle de la sacristie résiste une heure / aux efforts des sapeurs et au crocheteur. Un gros levier/ peut bientôt tordre la vieille serrure dont / Monsieur le Recteur * / tenait la clef. * Recteur : Curé en Bretagne - Chapelle du cimetière américain de Belleau.
0 commentaire
vue 25111 fois
Un autre chapiteau de la chapelle-mémorial du cimetière américain de Belleau (10 km NO Château-Thierry). Les Marines qui ont combattu en juin 1918 pour la reconquête de "Belleau Wood" étaient tous certifiés "markman" et réputés être d'excellents tireurs au fusil. - Ile de la cité
0 commentaire
vue 29800 fois
La cathédrale Notre-Dame - Palais de l'Elysée
0 commentaire
vue 45215 fois
Le Palais de l'Elysée vu de l'avenue Marigny. Au fond la place Beauvau, siège du ministère de l'intérieur. Le site de la Présidence de la République : http://www.elysee.fr/elysee/elysee.fr/francais/presidence_de_la_republique_francaise-accueil_du_site_officiel.2.html - Palais de l'Elysée
0 commentaire
vue 43297 fois
[OUPS ! Est-ce l'approche des élections ? L'Elysée est très chahuté... Nous allons redresser cela au plus vite. Le Webmestre] Entrée du Palais de l'Elysée vue du Faubourg Saint-Honoré . - Le cimetière allemand de Belleau
0 commentaire
vue 26243 fois
A une dizaine de kilomètre au nord-ouest de Château-Thierry entre les villages de Belleau et de Torcy se trouve ce cimetière allemand. Il rassemble la sépulture de 8630 soldats allemands morts lors des deux batailles de la Marne (1914 et 1918). Ce cimetière a été créé en 1922. 4309 soldats reposent dans des tombes (dont 22 inconnus), 4321 (dont 3847 inconnus) dans l'ossuaire (non visible ici, il se trouve à droite du cadre de la photo). On peut trouver 15 tombes de soldats juifs. Les croix portent très souvent 4 noms. Du coup, ce cimetière est beaucoup plus petit que le cimetière américain de Belleau qu'on aperçoit à l'arrière-plan qui compte moins de tombes, mais uniquement des tombes individuelles. - Hôtel Matignon
0 commentaire
vue 44438 fois
Vue de l'Hôtel Matignon, rue de Varenne, siège du premier ministre. Un lieu du pouvoir exécutif situé rive-gauche montrant bien les liens avec le pouvoir législatif puisque la proximité de l'Assemblée Nationale permet une liaison rapide. Eh oui ! et si les ponts était coupés , comment ferait le chef du gouvernement pour rejoindre la Représentation Nationale ? - Hôtel Matignon
0 commentaire
vue 40496 fois
Vue de la résidence du Premier Ministre, rue de Varenne. L'étroitesse de la rue de Varenne montre bien que la République vertueuse n'a pas besoin de fastes ostentatoires. - Assemblée Nationale
0 commentaire
vue 40668 fois
L'Assemblée Nationale vue de la Place de la Concorde. Au premier plan la Fontaine des mers. Le site de l'Assemblée nationale : http://www.assemblee-nationale.fr/ La visite virtuelle : http://www.assemblee-nationale.fr/histoire/visite/ - Entrée du palais de l'Elysée
0 commentaire
vue 43043 fois
Le Palais de l'Elysée vu du Faubourg Saint-Honoré en direction de la Place Beauvau. - Arc de triomphe d'Orange
1 commentaire
vue 43308 fois
L'arc de Triomphe d'Orange a été érigé en l'honneur d'Auguste dans la première moitié du premier siècle. "Dédié à la gloire des vétérans de la IIème légion gallique, fondateurs de la colonie romaine d'Orange, l'Arc d'Orange est un rarissime témoin de l'art romain en Provence. Véritable "film" gravé dans le calcaire à la gloire de Rome et de la puissance de ses armes, l'Arc campe fièrement à l'entrée nord du centre-ville depuis vingt siècles." source :http://www.ville-orange.fr/arc.htm - L'enlèvement d'Europe
0 commentaire
vue 19560 fois
Sur cette mosaïque conservée au musée de l'Arles Antique, Zeus, transformé en magnifique taureau blanc, enlève Europe, belle princesse tyrienne. - Le théâtre antique de Lyon
2 commentaires
vue 44959 fois
Le théâtre romain de Lugdunum se situe sur la colline de Fourvière. "Le théâtre a été construit en deux étapes : * Sous Auguste, et probablement vers -15, un théâtre de 90 m de diamètre est construit contre le flanc de la colline, selon un plan classique. * au début du IIe siècle, sous Hadrien, une troisième série de gradins est ajoutée en haut de la structure, portant son diamètre à 108 m, et donnant une capacité estimée à 10 000 places." (wikipedia) Un point précis et images de Lugdunum : http://jfbradu.free.fr/celtes/lyon/lyon.htm - Le théâtre antique de Lyon (2)
0 commentaire
vue 35023 fois
Le théâtre romain restauré est aujourd'hui redevenu une place culturelle de la ville, comme ici un concert impromptu qui m'a permis de vérifier la qualité de l'acoustique. "Abandonné à la fin de l'Empire, il fut identifié à tort au XIXe siècle comme l'amphithéâtre des trois Gaules. Son dégagement complet et sa restauration ont commencé en 1933. Il se remplit à nouveau de spectateurs chaque été pour le festival de musique : Les Nuits de Fourvière." wikipedia - Les arènes de Nîmes
1 commentaire
vue 35087 fois
"De récentes fouilles viennent de prouver que les Arènes ont été construites entre 90 et 120 après J.C. La ville de Nîmes s’appelait alors Nemausus. Dans cette colonie, Auguste avait établi un plan d’urbanisme typique d’une ville romaine." extrait de cette page : http://www.nimes-romaine.com/nimes/45-histoire/ - Les arènes de Nîmes
2 commentaires
vue 72319 fois
L'amphithéâtre romain accueille aujourd'hui des corridas, mais aussi des reconstitutions de jeux antiques. "Les arènes ont une capacité de 25 000 spectateurs répartie en quatre zones et trente-quatre tribunes. L'amphithéâtre mesure 133 mètres de long pour 101 mètres de large et 21 mètres de haut, et le grand axe de l'arène mesure 69 mètres pour 38 mètres de petit axe." wikipedia - Le pont du Gard
1 commentaire
vue 36565 fois
"Le Pont du Gard est une portion d'aqueduc romain aménagée en pont à trois niveaux qui assure la continuité de l'aqueduc romain qui conduisait l’eau d’Uzès à Nîmes. Construit sur trois étages avec les pierres extraites sur les lieux mêmes dans les carrières romaines environnantes, le pont domine le Gard à près de 49 m de haut sur une longueur de 275 m. C'est le plus haut pont-aqueduc connu du monde romain." d'après Wikipedia Le site officiel, très complet : http://www.pontdugard.fr/ - Le théâtre d'Orange
0 commentaire
vue 40985 fois
"Le théâtre romain antique d'Orange est un des mieux conservés du monde romain , car il est parmi les rares à disposer encore de son mur de scène avec l'élévation d'origine (103 m de large pour 37 m de haut). Ce mur était décoré de statues, frises et colonnes de marbre dont subsistent quelques vestiges. Sa capacité est estimée entre 9 000 et 10 000 places. Il est la propriété de la ville d'Orange. Il a été bâti sous le règne d'Auguste, au Ier siècle." wikipedia Il faut également imaginer une débauche de peintures sur le mur de scène. - Aître Saint-Maclou, détail
0 commentaire
vue 31257 fois
Détail des bois sculptés de l'Aitre Saint Maclou de Rouen. Ces décors macabres d'ossements et d'outils de fossoyeurs, malgré leur naïveté sont saisissants. Les colonnes dont on voit ici le chapiteau datent du début du XVIè siècle. Pour en savoir plus : http://cliophoto.clionautes.org/picture.php?cat=256&image_id=1615 - Aître de Saint-Maclou (Détail)
0 commentaire
vue 34702 fois
Détail de la galerie de l'Aitre Saint Maclou de Rouen. Dans la partie inférieure des galeries aujourd'hui murées, les colonnes de style Renaissance sont le support de la danse macabre qui court tout autour de l'Aître. Bien qu'elles soient très endommagées, on peut tout de même deviner à gauche un squelette vêtu de son suaire, entraînant un personnage (un moine ?). Pour en savoir plus : http://cliophoto.clionautes.org/picture.php?cat=256&image_id=1615 - Aître de Saint-Maclou (détail)
0 commentaire
vue 28203 fois
Détail de la galerie de l'Aitre Saint Maclou de Rouen. Dans la partie inférieure des galeries aujourd'hui murées, les colonnes de style Renaissance sont le support de la danse macabre qui court tout autour de l'Aître. Bien qu'elles soient très endommagées, on peut tout de même deviner ici à gauche un prélat entraïné par un squelette dont il ne reste q'une trace de la jambe. Pour en savoir plus : http://cliophoto.clionautes.org/picture.php?cat=256&image_id=1615 - Aître de Saint-Maclou (détail)
0 commentaire
vue 28387 fois
Détail de la galerie de l'Aitre Saint Maclou de Rouen. Dans la partie supérieure qui servait d'ossuaire, et dans le bas de la partie sud de la cour, on peut voir des décors macabres d'ossements et d'outils de fossoyeurs. Pour en savoir plus : http://cliophoto.clionautes.org/picture.php?cat=256&image_id=1615 - Aître Saint-Maclou (détail)
0 commentaire
vue 28470 fois
Détail de la galerie de l'Aitre Saint Maclou de Rouen. Dans la partie supérieure qui servait d'ossuaire, et dans le bas de la partie sud de la cour, on peut voir des décors macabres d'ossements et d'outils de fossoyeurs. Pour en savoir plus : http://cliophoto.clionautes.org/picture.php?cat=256&image_id=1615 - Aître Saint-Maclou (détail)
0 commentaire
vue 27554 fois
Détail de la galerie de l'Aitre Saint Maclou de Rouen. Dans la partie inférieure des galeries aujourd'hui murées, les colonnes de style Renaissance sont le support de la danse macabre qui court tout autour de l'Aître. Bien qu'elles soient très endommagées, on peut tout de même deviner à droite un jeune homme de noble condition entraîné par le personnage de gauche, un squelette vêtu de son suaire. Pour en savoir plus : http://cliophoto.clionautes.org/picture.php?cat=256&image_id=1615 - Aître Saint-Maclou (détail)
0 commentaire
vue 27266 fois
Détail de la galerie de l'Aitre Saint Maclou de Rouen. Dans la partie supérieure qui servait d'ossuaire, on peut voir des décors macabres d'ossements et d'outils de fossoyeurs. Dans la partie inférieure, la colonne (débutXVIè) est le support de la danse macabre qui court tout autour de l'Aître. Les fenêtres et les cloisons ont été rajoutées ultérieurement, fermant la galerie. Pour en savoir plus : http://cliophoto.clionautes.org/picture.php?cat=256&image_id=1615 - Aître Saint-Maclou (détail)
0 commentaire
vue 31892 fois
Détail des bois sculptés de l'Aitre Saint Maclou de Rouen. Ces décors macabres d'ossements et d'outils de fossoyeurs, malgré leur naïveté sont saisissants. Pour en savoir plus : http://cliophoto.clionautes.org/picture.php?cat=256&image_id=1615 - L'aître Saint-Maclou (Rouen)
0 commentaire
vue 29275 fois
Cette large cour carrée est l'un des derniers exemples de charniers médiévaux. Il fut utilisé à partir de la Grande Peste de 1348. Sur les quatre côtés couraient des galeries, selon la même disposition que le charnier des Innocents à Paris, l'étage supérieur servant d'ossuaire. La décoration classique de ce genre d'endroit était la "danse macabre", une sarabande menée par la Mort en personne qui entraînait derrière elle le peuple, sans distinction de sexe ou de rang. Au cimetière des Innocents cette danse était peinte le long des galeries. A Rouen, elle fut sculptée au début du XVIè siècle sur les colonnes. L'Aître Saint Maclou abrite aujourd'hui l'école des Beaux Arts de Rouen. - Monument aux morts de Fricourt
0 commentaire
vue 29594 fois
Le monument aux morts de Fricourt dans la Somme placé au carrefour principal de la commune. - Le chevalet de Sabatier
0 commentaire
vue 48241 fois
Les mines ont fermé depuis 1990 mais les symboles sont importants... A Raismes, le puits de Sabatier a été le dernier à fermer ses portes. Si les bâtiments ont été détruits, les habitants ont manifesté le désir de conserver le chevalet (ou chevalement), qui permettait de faire descendre et remonter les hommes et le charbon à 800 mètres de profondeur. Repeint en bleu, entre les deux terrils que la forêt a regagnés, il est un but de balade pour les raismois mais aussi pour les habitants de la métropole lilloise venus s'aérer dans la forêt de Raismes, poumon vert de la métropole. Pour en savoir plus : http://cjouneau1.free.fr/hyperpaysage/default.htm Ces symboles sont aussi importants pour l'image de marque de la région : la région mise sur le tourisme industriel avec le musée de la mine à Lewarde ou l'écomusée de Fourmies-Trelon. Le bassin minier du Nord - Pas de Calais est aussi candidat à l'inscription au patrimoine mondial de l'Unesco (http://www.bmu.fr/) - La trouée d'Arenberg
0 commentaire
vue 35281 fois
La trouée d'Arenberg est l'un des passages mythique de la course du Paris-Roubaix. Drève pavée de 2km350, elle traverse la forêt de Raismes-Saint-Amand Wallers. Le pont visible au deuxième plan supportait la voie de chemin de fer entre la fosse d'Arenberg (qui servit de cadre au tournage du film "Germinal" de Claude Berry en 1993) et le terril dit aujourd'hui de la "mare à goriaux". Ces activités minières éteintes depuis 1989, la trouée d'Aremberg ne sert plus à acheminer les mineurs vers le carreau de fosse mais accueille, outre les cyclistes du Paris - Roubaix, les promeneurs du dimanche autour de la réserve ornithologique de la "Mare à Goriaux". On remarquera l'affiche du conseil régional vantant les travaux de réfection de la drève : bien que l'image de "L'Enfer du Nord" doive beaucoup à la course cycliste qui se déroule souvent sous les pluies printanières, la région du Nord, à la recherche d'une image de marque, soigne ce symbole comme elle soigne ses chevalets et ses terrils. (La photo a été prise juste après le passage des coureurs.) - Vache de Jersey
0 commentaire
vue 19452 fois
Une vieille (17ans !) vache de Jersey dans le bocage de la Suisse Normande. Cette race de vache est une des plus anciennes du monde, puisque l'on trouve sa trace dans des textes datant de plus de six siècles. La Jersey était déjà une vache réputée pour son lait en Angleterre en 1971, à un moment où elle se faisait appeler la « Alderney » (du nom d'une autre île anglo-normande). Les premiers spécimens à franchir l'Atlantique foulèrent le sol américain dans les années 1850. Elle est de petit taille (environ 1,30 mètre au garrot), et ne pèse en moyenne « que » 450 kg. Ce qui, compte tenu de ses rendements laitiers, la place en tête des vaches laitières si on les compare en prenant en compte le rapport « litres de lait produit / poids total de la vache ». Sa principale qualité réside dans celle de son lait, qui est une des plus riches en protéines, et un des meilleurs pour faire du beurre. La Jersey est aussi reconnue pour sa docilité, son intelligence, et sa bonne résistance aux températures extrêmes (utile au Québec et au Canada !). Source : http://www.animal-services.com/sites/race_bovines_jersey.php3 - Défendre la falaise
0 commentaire
vue 34128 fois
Ce qui reste des ouvrages destinés à défendre la falaise d'Ault. Ceux ci, en mauvais état, n'ont pas été rénovés du fait de leur coût, de leur efficacité discutée (ralentissent le recul mais ne le stoppent pas), de l'endettement de la commune, du peu de recette fiscales de celle-ci (la moitié de la population paie l'impôt) - Falaises d'Ault
1 commentaire
vue 31341 fois
Il s'agit des falaises d'Ault, commune littorale située à l'extrémité sud-ouest de la Somme. Elles forment le début des falaises du pays de Caux. Comme la plupart des falaises, celles-ci reculent et régulièrement des pans de celles-ci s'écroulent. Ici comme à de nombreux endroits du littoral de la commune, ont été installés des panneaux prévenant les touristes des dangers d'éboulement - Recul des falaises
0 commentaire
vue 25195 fois
Du fait du recul régulier du trait de côte, les barrières de protection sont elles-mêmes en danger. Au second plan, la première ligne de barrière a été victime d'un éboulement d'où l'implantation un mètre plus loin d'un second rideau de protection. - Le risque à Ault
1 commentaire
vue 29302 fois
Cette photo illustre le risque du à un élément naturel. Toutes les maisons en bord de côte, et près du bord de la falaise sont, à terme, condamnées. On voit que cette maison a été abandonnée par ses propriétaires, les fenêtres sont obstruées. Les propriétaires de maisons se situant près de la falaise souhaitent souvent s'en débarasser mais ils trouvent peu de preneurs et à des prix très bas. - Grenade VB
0 commentaire
vue 26085 fois
En se promenant le long de l'ancienne ligne de front de la Première Guerre mondiale il n'est pas rare de tomber sur ses restes. Cette photographie montre une grenade VB vue au bord d'un chemin quelque part entre Berry-au-Bac et le cimetière national de Cormicy (à une vingtaine de kilomètre au nord-ouest de Reims). La grenade VB doit son nom à l'industriel Vivien et à l'ingénieur Bessières qui l'inventèrent en 1915. Elle s'adapte sur un tromblon fixé sur un fusil Lebel. "la balle enflamme l'amorce, tandis que le gaz de la cartouche en se détendant projette la grenade. Elle explose au bout de 7 secondes à une distance variable suivant l'angle de tir. Sa portée maximale est de 200 m environ". Source : http://www.crid1418.org/espace-pedagogique/lexique/lexique_qz.htm Cette arme reflète la volonté des armées de s'adapter aux nouvelles conditions de combats créées par les tranchées. - La colline de Fourvière à Lyon
0 commentaire
vue 25945 fois
"C'est sur la colline de Fourvière qu'ont été mis à jour les vestiges de la ville romaine. Un parc archéologique s'étend sur une grande partie du site. A partir du XVIè siècle et surtout pendant le XVIIè siècle, l’installation de congrégations religieuses sur la colline et sur ses pentes ont fait de Fourvière "la colline qui prie". Le quartier conserve encore aujourd’hui la marque de l’emprise de l’ordre religieux. Le Musée de la civilisation gallo romaine, dont le bâtiment pratiquement enterré, est intégré dans le parc archéologique ; des théâtres antiques renferme de multiples collections de stèles, statues, bronzes mosaïques de la période gallo-romaine. Le parc archéologique est constitué d'un théâtre, considéré comme le plus ancien de Gaule et d'un odéon gallo-romains dont la juxtaposition est unique dans le monde antique. En 1643 la ville se place sous la protection de la Vierge, puis à la suite d'un vœu, la Basilique de Fourvière, œuvre de Pierre Bossan, fut construite et inaugurée en 1896. Sa silhouette étrange et massive flanquée de 4 tours octogonales domine la ville et vaut au bâtiment son surnom "d'éléphant renversé". La Basilique présente un éventail de styles qui exprime de manière extrême tout l'éclectisme du XIXe siècle. En la visitant on se promène à travers les siècles : sa façade nord a des allures gothiques, son décor intérieur exubérant et ses mosaïques rappellent les tableaux symbolistes. En levant les yeux à l'intérieur du porche on peut admirer un plafond néo-classique. Les frises florales du soubassement sont d'influence "art nouveau". Ses énormes portes de bronze sont décorées à la manière antique. Avec sa basilique, le jardin du Rosaire, qui permet de descendre à pied jusqu'au quartier Saint-Jean, les vestiges romains et le Musée de la civilisation gallo-romaine, Fourvière compte parmi les sites les plus riches et les plus représentatifs de Lyon. Fourvière fait partie du territoire classé au patrimoine Mondial par l’Unesco en 1999." Source : Site web officiel de la Ville de Lyon - Monument de la capitulation allemande de la poche de Saint Nazaire.
0 commentaire
vue 21281 fois
Ce monument se trouve à Bouvron, à une trentaine de kilomètre au nord-ouest de Nantes. Il commémore (et se trouve sur le site de) la capitulation des troupes allemandes qui occupaient toujours la poche de Saint Nazaire. Sur le monument on peut lire : "Ici, le 11 mai 1945 devant les autorités françaises et alliées la garnison allemande de St Nazaire capitula et la France entière fut libérée". Des plaques de bronze rappellent les signataires de cette capitulation (surtout le Generalleutnant Junck pour les Allemands, les généraux Bradley et Kramer pour les troupes américaines et les généraux De Larminat et Chomel pour l'armée française et les FFI). Ce monument fut inauguré le 9 octobre 1949 par le général de Larminat. Le général de Gaulle vint le saluer le 20 mai 1951. Il a été remis à neuf pour les commémorations du 60e anniversaire de la fin de la Seconde Guerre mondiale. - Char Renault FT-17
0 commentaire
vue 23438 fois
Char Renault FT-17 armé d'une mitrailleuse Hotchkiss de 8 mm. Ce char se trouve à côté du musée de l'Armistice dans la clairière de Rethondes au coeur de la forêt de Compiègne. Il porte le nom du général Estienne (1860-1936) considéré comme le "père des chars" qui a préconisé l'emploi d'une "artillerie d'assaut" dès 1914. Essayé en avril 1917, commandé à de nombreux exemplaires (plus de 3000 auraient été livrés au 11 novembre 1918), ce type de char a connu le baptême du feu le 31 mai 1918 à Chaudun. Il devient un symbole de la dernière année de la Première Guerre mondiale. Ce char mesure 5 m de long, 1.7 m de large, 2.1 m de hauteur. Il pèse 7 tonnes. Il abritait un équipage de deux hommes (1 conducteur et debout derrière lui, un tireur). Sa vitesse maximale est de 7 km/h et son autonomie de 35 km. - La porte des Allemands à Metz
0 commentaire
vue 24110 fois
Cette porte aux allures de château fort, construite aux XIII° et XV° siècle sur la Seille, est un vestige des anciens remparts de la ville. Son nom vient d'un ordre teutonique de frères hospitaliers établi à proximité au XIII° siècle. C'est un ensemble de deux portes dont la première, du XIII° siècle , située du côté de la ville, est flanquée de deux tours arrondies coiffées d'un toit d'ardoise en poivrière. La seconde est située côté campagne et ses deux grosses tours crénelées sont du milieu du XV° siècle. Une galerie à arcades du XV° siècle réunit les quatre tours. Des remaniements ont eu lieu au XIX° siècle. - L'église fortifiée de Scy-Chazelles
0 commentaire
vue 24505 fois
Cette église romane fortifiée des XII° et XV° siècle, à nef unique, chœur surmonté d'une tour , chemin de ronde, créneaux, mâchicoulis et portail roman, est dédiée à saint Quentin. Elle abrite la sépulture de Robert Schuman. - La Saône et la colline de La Croix-Rousse à Lyon
0 commentaire
vue 27325 fois
"La Croix-Rousse, "colline qui travaille", pendant ouvrier et laborieux de Fourvière, la "colline qui prie", a été bâtie au début du XIXè siècle sur des terrains qui appartenaient aux communautés religieuses. Les pentes s’opposent traditionnellement au plateau. Les pentes de la Croix-Rousse font partie du territoire classé au patrimoine Mondial par l’Unesco en 1999. L’important dénivelé a eu des conséquences sur le tracé des rues qui suivent les courbes de niveau, ou attaquent franchement les pentes et se transforment en escalier. Les zones anciennes aux rues étroites séparant les hauts immeubles percés de traboules diffèrent totalement des parties modernes. Les Canuts (ouvriers en soie) occupaient les immeubles conçus pour eux et dimensionnés pour contenir les imposants métiers à bras et les nouvelles mécaniques inventés par Jacquard : hauts immeubles avec de nombreuses fenêtres. Des passages nord-sud dans le sens de la pente, les fameuses traboules, sont crées pour faciliter la circulation des piétons." Source : Site web officiel de la Ville de Lyon - La Moselle à Metz
0 commentaire
vue 16642 fois
L'un des bras de La Moselle vu depuis le pont des Roches avec la place de la Comédie, l'opéra - théâtre (le plus vieux de France encore en activité inauguré en 1752) et la préfecture (ancien hôtel de l'Intendance des Trois-Évêchés). - Le clocher de la cathédrale Saint-André de Bordeaux
0 commentaire
vue 22815 fois
"La tour Pey-Berland est le clocher de la cathédrale Saint-André. Édifice gothique flamboyant élevé entre 1440 et 1446, elle doit son nom à son constructeur, l'archevêque Pey-Berland. L’originalité de cette tour /clocher dissociée de la cathédrale a permis de la doter de cloches imposantes, dont les vibrations auraient pu menacer sa structure. On couronna le clocher d’une flèche haute de 12,50 mètres. Celle-ci fut partiellement détruite par une tempête en 1667, pour être finalement rasée en 1793. Une nouvelle flèche fut construite en 1851. Elle fut couronnée en 1863 par une statue colossale de Notre-Dame d'Aquitaine. Six années plus tard, la tour accueillit Ferdinand-André, un gros bourdon de 8 tonnes." Source : Centre des monuments nationaux. - Centrale du Chastang
0 commentaire
vue 19244 fois
L’usine hydroélectrique du Chastang (Corrèze) se situe au pied du barrage du même nom (voir la photographie : http://cliophoto.clionautes.org/picture.php?cat=recent_pics&image_id=1476). Construite sur la Dordogne entre 1947 et 1951, elle comporte 3 groupes de production d'une puissance de 100 mégawatt chacun. Avec une puissance maximale de 300 mégawatt délivrée sur le réseau électrique en moins de 5 minutes (avec un débit de 450 m3/s), l'usine du Chastang permet d'alimenter une ville de prés de 100 000 habitants par an. - Déchets sur le littoral à Pourville
0 commentaire
vue 22418 fois
Cette photographie présente un éventail des déchets contenus dans la mer. Ces derniers se retrouvent à chaque tempête sur nos plages. Ici, suite à une mer agitée à Pourville (en Seine-Maritime) le 19/12/2004 : des bouteilles, des tongs, des débris de plastique,... sont venus s’échouer sur le littoral. - Plan d'eau de mer de Brétignolles-sur-mer
0 commentaire
vue 25634 fois
Ce plan d’eau de mer se situe sur la commune de Brétignolles-sur-mer en Vendée. Il s’agit d’un aménagement touristique réalisé en 1992. D’une superficie de 15 000 m², ce plan d’eau est alimenté par une pompe d’un débit de 350m3/h. L’eau de mer est pompée à marée haute et la vidange se produit automatiquement à marée basse par trop plein. Pour limiter la prolifération des micros algues, des bigorneaux ont été introduits. Il s’agit d’une alternative intéressante pour ceux qui trouvent l’océan Atlantique trop froid et trop agité tout en ayant la possibilité de se baigner dans de l’eau de mer. - Les tours de Merle
0 commentaire
vue 20379 fois
Les tours de Merle en Corrèze (commune de Saint-Geniez-ô-Merle) se situent au cœur de la Xaintrie, sur un éperon rocheux. Il s’agit des vestiges de sept châteaux érigés sur le même site entre le XI° et le XIV° siècle qui se dressent sur une presqu’île isolée par un méandre de la Maronne. Le nom "Merle" attribué au rocher vient du mot "Merulam" qui signifie "fortifié naturellement". Cette citadelle constitue un patrimoine exceptionnel classé Monument Historique depuis 1927.