- Musiciens dans Grafton Street
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Grafton Street est une rue piétonne , une des plus importantes rues commerçantes de Dublin. De nombreux artistes de rue, dont des musiciens, des mimes et des poètes s’y produisent régulièrement. - Temple Bar Dublin
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Temple Bar est un quartier du vieux Dublin sur la rive sud de la Liffey.Exemple de rénovation réussie, temple Bar est devenu un quartier culturel avec toutes sortes de lieux de distractions, de boutiques, de commerces. C'est un quartier touristique, connu en particulier pour sa vie nocturne. Il est formé de petites rues, souvent piétonnes, où abondent les restaurants, bars et petites boutiques. On peut notamment y trouver des artistes musiciens soit dans la rue ou dans des bars. - Chorale
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vue 25939 foisChorale dans le parc du temple du ciel. Chaque matin, de nombreux Chinois se retrouvent pour pratiquer le taijiquan, mais aussi pour chanter, danser, jouer d’un instrument de musique traditionnel, jouer aux cartes ou aux échecs chinoises.
- Feux d'artifices
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vue 19316 foisActuellement, dans tous les quartiers de Pékin, les fêtes du nouvel an chinois s’accompagnent d’une frénésie de pétards et de feux d’artifices, censés chasser les démons et ce pendant plusieurs jours d’affilée ! L’interdiction qui pesait depuis 1993 sur la fabrication et l’utilisation des pétards, suite à de graves accidents, a été levée, il y a quatre ou cinq ans. Les pétards, vendus par des boutiques temporaires officielles sont bon marché mais les feux d’artifice coûtent cher (souvent plus de 100 euros) ce qui ne dissuade pas de très nombreux Chinois. Dès le lendemain, les déchets sont ramassés par un service de nettoyage des rues ( ici dans Bai mi can hutong )
- Jeux de rue
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vue 21052 foisBien avant les beaux jours, les Chinois se retrouvent sur les trottoirs pour des jeux de stratégie (ici, le xiangqi, proche du jeu d’échecs) ou des tournois entre voisins à la retraite. Photographie prise près du lac Houhai.
- Poupées
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Diversité ethnique Dans le grand magasin de jouets de New York, FAO Schwartz, la diversité ethnique des Etats-Unis est respectée: poupées de toutes les couleurs et de tous les types ! Le Salad Bowl en quelque sorte. - Salle de bain privée à Nagano
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Les Japonais ne se lavent pas dans la baignoire mais prennent une douche à côté avant d'entrer dans le bain. C'est pourquoi la baignoire est souvent couverte. (A. R.) - Baguette dans un supermarché à Nagano
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Nombreuses marques de francophilie, le pain, mais aussi les pâtisseries, des "Marché bio" ou des mots en français. - Supermarché à Nagano
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vue 18909 fois - Foreign Office
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Anciennement Old Admiralty, ministère de la Marine, dans le quartier de White Hall, ce sont aujourd’hui les bureaux du Foreign Office, le ministère des Affaires Etrangères. Comme devant les principaux bâtiments officiels, la relève des Horse Guards est un moment apprécié des visiteurs. - Baba en Mai
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Monument à la gloire des immigrants indiens au Surninam. Après l'abolition de l'esclavage au Surinam, les planteurs hollandais durent faire face à une désertion de leurs ouvriers. Ils firent alors venir des travailleurs de l'Inde britannique comme "indentured workers". Les premiers travailleurs (452) arrivèrent par le navire Lala Rookh en juin 1873. Aujourd'hui, les Hindoustanis (descendants d'immigrés venus de l'Inde) représentent 37 % de la population du Surinam même si beaucoup d'entre eux ont émigrés aux Pays bas après l'indépendance du pays en 1975. - Sherlock Holmes
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Rue Marylebone à Londres, à proximité du musée de Mme Tussaud's et de Baker Street, une silhouette familière : celle de Sherlock Holmes. - Piccadilly circus
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Piccadilly circus. - Tower Bridge
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La silhouette néogothique d'une des deux tours de Tower Bridge. - Tour de Londres
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La forteresse qu'est la Tour de Londres avec en son centre la massive tour Blanche. - Trafalgar square
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Trafalgar square à Londres. Avec l'amiral Nelson en vedette perché sur sa colonne de 44 m. Le piédestal s'orne de quatre bas-reliefs en bronze fondus avec des canons pris aux Français. - Derry, Murals
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Un des points névralgiques du quartier du bogside catholique de Derry. A gauche, le panneau "free Derry" qui était régulièrement bombardé de peinture par les policiers nord irlandais passant en voiture. A droite, un des murals commémorant le Bloody Sunday. Ces murals sont réalisés et entretenus par un collectif d'artistes qui souhaitent sortir des clivages communautaires. Pourtant, tous les murals sont tournés vers la vielle ville protestante et ses fortifications. - dieu Ganesh sur la façade d'une maison
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Façade d’une maison de la ville de Datia 30 000 habitants à côté d’Orccha dans l’Etat du Madhyar Pradesh. Au dessus de la porte d’entrée, comme pour la plupart des maisons on trouve une peinture représentant le dieu Ganesh à tête d’éléphant. Il est considéré par les hindous comme portant chance et est le premier dieu invoqué au cours de tous les rituels et cérémonies. - Peace gates
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A Belfast, les quartiers protestants de Shankill et catholiques de Falls sont séparés par un mur percé de portes. Le mur est baptisé la "PEACELINE" - Peaceline
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La peaceline entre Shankill (protestant) et Falls (catholiques) et une des peace gates. A Belfast, les quartiers protestants de Shankill et catholiques de Falls sont séparés par un mur percé de portes. Le mur est baptisé la "PEACELINE" - trottoir
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A Belfast le marquage communautaire passe par les trottoirs. Ici à Shankill aux couleurs de l'Union Jack - L'arche de la Défense
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Surnommée "Arche de la fraternité", l'Arche de la Défense a été inaugurée le 14 juillet 1989, à l’occasion des festivités du bicentenaire de la Révolution Française, lors du sommet des chefs d’Etat. La Grande Arche fait partie de la politique des Grands Travaux du Président François Mitterrand. Quelques informations sur sa construction : - architecte danois Johan Otto von Spreckelsen puis Paul Andreu. - taille : de 110 mètres de côté, c'est un cube évidé dans lequel pourrait tenir Notre Dame avec sa flèche. - poids de 300 000 tonnes - matériaux de revêtement : marbre de Carrare, panneaux de vitres optiques. Une partie de l'Arche est occupée par les locaux du Ministère de l'Ecolofgie. Sur le toit de l'Arche existe depuis avril 2008 un musée de l'informatique. Pour en savoir plus : http://www.grandearche.com/ - Le Phra Thinang Wehat Chamrun
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"Le site de Bang Pa-in en Thaïlande reflète la fascination du roi Chulalongkorn pour l’architecture européenne. Le néo-classicisme français, le gothique victorien, le style de la Chine impériale et le style thaïlandais traditionnel s’y marient pour illustrer l’éclectisme qui était en vogue à cette époque. Comprenant un château, une résidence d’été, une pagode, un phare, un palais chinois et un "sala" thaïlandais, l’ensemble architectural pourrait évoquer une sorte de parc d’attractions du XIX° siècle ; en réalité, il se dégage du lieu un charme empreint de dignité. La plupart des bâtiments de Bang Pa-in ont été construits entre 1872 et 1899… …Le Phra Thinang Wehat Chamrun est une villa, surnommé le palais de Pékin, copie d’un monument de la Cour impériale de Beijing. Elle fut offerte au roi Chulalongkorn, entièrement meublée et décorée d’objets provenant de Chine, par de riches marchands." (National Geographic Les guides de voyage Thaïlande) - Le marae Taputapuatea
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"Le marae Taputapuatea sur l’île de Raiatea, le plus important de Polynésie, fait face à la passe Te Ava Moa. Consacré au culte d’Oro, le dieu de la Guerre qui domina les croyances religieuses polynésiennes durant le XVIII° siècle, le marae s’étend sur une vaste superficie du cap Matahira. Il ne date que du XVII° siècle et fut bâti pour remplacer le marae Vaearai dédié à Taaroa, le dieu de la Création, situé davantage vers l’intérieur des terres. Malgré son histoire relativement brève, ce marae joua manifestement un rôle capital dans la religion polynésienne, car tout nouveau marae sur les îles voisines devait incorporer une pierre de ce grand marae, à titre d’allégeance et afin de symboliser le lignage spirituel. A l’arrivée des Européens, il constituait le siège du pouvoir spirituel et temporel en Polynésie. Son rayonnement était international, à l’échelle du monde maori, puisque des "arii" (chefs) originaires d’autres îles de la Société, des Australes, des îles Cook, voire de Nouvelle-Zélande, venaient prendre part à des cérémonies sur ce marae. Cet ensemble religieux se compose en réalité de plusieurs éléments : un marae international, un marae de district et un marae familial construits avec des morceaux de corail prélevés sur le platier. La partie principale du marae est constituée d’une grande plate-forme dallée et d’un long "ahu" (équivalent d’un autel)…" (Lonely Planet Tahiti et la Polynésie française) - Le marae Taputapuatea
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"Le marae Taputapuatea sur l’île de Raiatea, le plus important de Polynésie, fait face à la passe Te Ava Moa. Consacré au culte d’Oro, le dieu de la Guerre qui domina les croyances religieuses polynésiennes durant le XVIII° siècle, le marae s’étend sur une vaste superficie du cap Matahira. Il ne date que du XVII° siècle et fut bâti pour remplacer le marae Vaearai dédié à Taaroa, le dieu de la Création, situé davantage vers l’intérieur des terres. Malgré son histoire relativement brève, ce marae joua manifestement un rôle capital dans la religion polynésienne, car tout nouveau marae sur les îles voisines devait incorporer une pierre de ce grand marae, à titre d’allégeance et afin de symboliser le lignage spirituel. A l’arrivée des Européens, il constituait le siège du pouvoir spirituel et temporal en Polynésie. Son rayonnement était international, à l’échelle du monde maori, puisque des "arii" (chefs) originaires d’autres îles de la Société, des Australes, des îles Cook, voire de Nouvelle-Zélande, venaient prendre part à des cérémonies sur ce marae. Cet ensemble religieux se compose en réalité de plusieurs éléments : un marae international, un marae de district et un marae familial construits avec des morceaux de corail prélevés sur le platier. La partie principale du marae est constituée d’une grande plate-forme dallée et d’un long "ahu" (équivalent d’un autel)…" (Lonely Planet Tahiti et la Polynésie française) - Chinatown de San Francisco
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Chinatown de San Francisco, Californie, Etats-Unis. Le chinatown de San Francisco est le deuxième plus important du pays derrière celui de New York. La communauté chinoise y est présente depuis le XIXe siècle. - Nevada
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Vallée de Feu, Nevada, Etats-Unis d'Amérique. Ce parc d'Etat se trouve à l'est de Las Vegas, en milieu désertique. Les rochers sont décorés de pétroglyphes amérindiens vieux de plusieurs siècles. - Brick road
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Le quartier de Spitalfields, dans l'east end, accueille depuis le XVIIe les couches populaires des Londoniens, souvent issus de l'immigration : Huguenots français, Juifs d'Europe centrale, et actuellement Indiens et Pakistanais. Les noms de certaines rues y sont traduits en bengali. - Une Trabant
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Voiture avec un moteur deux temps, symbole de la RDA, fierté des Allemands de l'Est et représentative de l'Ostalgie. - La passerelle reliant les Trois Tours et le Sud de la ville de Mitrovica (Kosovo)
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Les Trois Tours regroupent une importante minorité albanaise sur la rive Nord de l'Ibar, dans les quartiers serbes de Mitrovica. Pour désenclaver ces tours, les militaires ont construit une passerelle pour permettre aux Albanais de traverser en sécurité la rivière. Cette simple passerelle, construite sans trop de moyens, permet aux Albanais de rejoindre en toute sécurité les quartiers Sud, d'y acheter leur nourriture, d'y discuter avec leurs amis, d'y travailler... - Londres : Le Tower Bridge
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A la fin des années 1880, la saturation de la circulation londonienne imposa la construction d'un nouveau pont. Trois architectes contribuèrent au projet : Sir H. Jones, Sir J-W. Barry et G.D. Stevenson. On prit la décision d'un pont à tablier à double bascule, afin de permettre aux navires de remonter la Tamise. - le minaret de la koutoubia
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Le minaret de la Koutoubia à Marrakech qui culmine à 69 mètres. La construction de la mosquée des libraires a débuté sous les Almoravides et s'est achevée sous la dynastie des Almohades. www.minculture.gov.ma/fr/Marrakechmosquée la koutoubia.htm - Le chevalet de Sabatier
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Les mines ont fermé depuis 1990 mais les symboles sont importants... A Raismes, le puits de Sabatier a été le dernier à fermer ses portes. Si les bâtiments ont été détruits, les habitants ont manifesté le désir de conserver le chevalet (ou chevalement), qui permettait de faire descendre et remonter les hommes et le charbon à 800 mètres de profondeur. Repeint en bleu, entre les deux terrils que la forêt a regagnés, il est un but de balade pour les raismois mais aussi pour les habitants de la métropole lilloise venus s'aérer dans la forêt de Raismes, poumon vert de la métropole. Pour en savoir plus : http://cjouneau1.free.fr/hyperpaysage/default.htm Ces symboles sont aussi importants pour l'image de marque de la région : la région mise sur le tourisme industriel avec le musée de la mine à Lewarde ou l'écomusée de Fourmies-Trelon. Le bassin minier du Nord - Pas de Calais est aussi candidat à l'inscription au patrimoine mondial de l'Unesco (http://www.bmu.fr/) - vestiges de Massada
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Situé à face à la mer morte et à la Jordanie, la citadelle de Massada est le symbole de la résistance juive aux Romains. En 74, l'armée romaine mit fin à la résistance juive grâce à la construction d'une rampe. Actuellement, on y accède par téléphérique ou à pied. Les unités de blindés israéliennes en font l'ascension à pied pour y prêter serment de ne plus laisser Massada tomber. - détail du mur des Lamentations
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Photo prise à la limite entre la zone de prière et la zone de promenade. tout un chacun peut accéder à la zone de prière, la seule obligation est de pénétrer dans la zone de prière la tête couverte quelque soit le couvre-chef. Ici il s'agit de la zone de prière réservée aux hommes; en effet l'espace de prière est divisé en deux: hommes à gauche face au mur et femmes à droite. Lorsque l'on s'approche à quelques centimètres du mur, on distingue entre les pierres des morceaux de papier déposés par les croyants, morceaux de papier contenant des prières ou des requêtes. Les tables au premier plan sont destinés aux rouleaux de la torah. - Massada
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Situé à face à la mer morte et à la Jordanie, la citadelle de Massada est le symbole de la résistance juive aux Romains. En 74, l'armée romaine mit fin à la résistance juive grâce à la construction d'une rampe. Actuellement, on y accède par téléphérique ou à pied. Les unités de blindés israéliennes en font l'ascension à pied pour y prêter serment de ne plus laisser Massada tomber. - Le mur des Lamentations
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Vue au sol du mur des lamentations. Le dernier vestige du temple des Hébreux. On remarque qu'il se trouve sur une place coupée en deux; une partie classique où les badauds se promènent et au second plan une zone de prière. Pour accéder au mur, dans les ruelles de la vieille ville, il faut passer par des détecteurs de métaux gardés par des hommes armés. On distingue des Hassidim, juifs orthodoxes reconnaissables à leurs tenues noires. - Trois religions
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Cette photo permet de comprendre toute la valeur de la vieille ville de Jérusalem. Au premier plan, le mur des lamentations ou mur occidental (Kotel), vestige du temple d'Hérode. Au second plan, le dôme du rocher ou mosquée d'Omar où Mohammed s'est rendu sur son cheval ailé; cette mosquée se trouve sur l'esplanade des mosquées qui comprend aussi la mosquée al-aqsa construite à l'endroit où Mohammed serait monté au ciel. Au second plan à gauche, l'église luthérienne, le plus haut bâtiment de la vieille ville. - Koutoubia
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Le minaret de la Koutoubia à Marrakech qui culmine à 69 mètres. La construction de la mosquée des libraires a débuté sous les Almoravides et s'est achevée sous la dynastie des Almohades. www.minculture.gov.ma/fr/Marrakechmosquée la koutoubia.htm - Parlement de Canberra
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"Lieu de réunion" en langue aborigène, Canberra est la capitale politique de l'Australie, comme le montre le bâtiment du Parlement. Construite à partir de 1908 dans le bush, afin d'éviter à choisir entre les deux grandes rivales, Sydney et Melbourne, son plan est du à un seul architecte, Walter Burley Griffin. Très aérée, la ville s'étend de part et d'autre d'un lac artificiel. Elle ne réunit que 300 000 habitants dont beaucoup de fonctionnaires, même si certains préfèrent prendre l'avion tous les jours de Sydney ou Melbourne où ils habitent. - Brixen am Eisack
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Brixen, dans le Tirol Süd (pour les Autrichiens) ou Bressanonne, Haut-Adige, pour les Italiens: annexée à l'Italie après la première guerre mondiale, la région a gardé un caractère nettement germanique. - Ubirr
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Peinture rupestre du site aborigène d'Ubirr, Parc de Kakadu. Le site sacré d'Ubirr est occupé depuis 60 000 ans par des tribus aborigènes et les premières peintures remonteraient à 20 000 ans, les dernières de 1985. Ici une représentation humaine de style "rayons X". C'est un site de première importance, les peintures comptant parmi les plus anciennes de l'humanité et la tradition s'est poursuivie jusqu'à la fin du XX°siècle. C'est une destination touristique de plus en plus prisée, aussi certaines galeries ne sont pas ouvertes au public. - Procession à Ouro Prero
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Sur la place principla d'Ouro Preto (Minas Gerais) se rencontrent les processions venues des principaux quartiers de la ville - Fare: habitat traditionnel maori
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Le fare (maison en maori) est l'habitat traditionnel des populations maories de Nouvelle-Zélande. Les maoris qui ne représentent que 13% de la population du pays sont les premiers occupants avant l'arrivée des Européens. Les spécialistes pensent que les premières vagues arrivèrent de l'actuelle Polynésie française vers 800 sur cet archipel nommé Aotearoa, "la terre du long nuage blanc". C'est la dernière grande terre conquise par les hommes. - One tree hill
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Le cône volcanique de One tree hill est un des 48 volcans situés dans l'agglomération d'Auckland. L'archipel néo-zélandais est situé sur la ceinture de feu du Pacifique et il n'est pas sans rappeller l'archipel japonais. - Eklutna
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Non loin d'Anchorage, le cimetière russe orthodoxe du village indien Athabascan Dénée d'Eklutna rappelle que l'Alaska fut un territoire russe avant son achat par les Etats-Unis en 1864. L'Alaska devint le 49°Etat en 1959, le 50° étant les Iles Hawaii. - Citadelle de Belfort
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Vue sur la ville de Belfort en direction de l’est. Au premier plan, la vieille ville ceinturée par la rivière « la Savoureuse ». Sur la gauche, le marché couvert inauguré en 1905. Au second plan, le lion de Belfort construit par Bartholdi. Au fond la citadelle. Cette citadelle a été en grande partie remaniée par Vauban (XVIIème siècle) à la demande de Louis XIV. Il décida d'en doubler la surface en créant une enceinte pentagonale fortifiée. Pour une description de la forteresse, se rendre sur le site franche-comte.org Actuellement, le gouvernement français a choisi l'oeuvre de cet ingénieur militaire pour être soumise à l'inscription au Patrimoine mondial de l'humanité (Unesco). Voir l'article du Monde, 6 janvier 2007, "La France propose Vauban à l'Unesco" Mais la citadelle de Belfort n'a pas été retenue pour cette candidature car celle-ci a été par la suite trop modifiée (voir les propos d'Alain Monferrand, président de l'Association Vauban dans ce même article). - Lion de Belfort
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Monument inauguré en 1880. C’est la municipalité de Belfort qui décida, en décembre 1871, de construire un monument à la mémoire des victimes tombées lors du siège de la citadelle. Cette dernière résista aux armées prussiennes du 3 novembre 1870 au 13 février 1871, sous le commandement du colonel Denfert-Rochereau. Le sculpteur Frédéric-Auguste Bartholdi fut désigné pour le réaliser. Il conçut un lion monumental, symbole de cet acharnement à résister. Il mesure 22 mètres de long et 11 mètres de haut et a été installé au pied de la Citadelle. Il est constitué de blocs de grès rose des Vosges. Une inscription est gravée sur son socle : « Aux défenseurs de Belfort 1870-71 ». - Skyline Sydney
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Vu du quartier de Kings Cross, le skyline de Sydney est symbolique du dynamisme de la capitale économique de l'Australie qui a reçu les JO en 2000. - métro de paris : édicule Guimard
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Les stations de métro constuites en 1900 comme celle-ci (Palais royal) avaient une entrée construite selon les plans d'Hector Guimard. Il en reste aujourd'hui 67 . Pour davantage de renseignements consulter le site suivant : http://www.parisinconnu.com/guimard/biograph.php