- Musiciens dans Grafton Street
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Grafton Street est une rue piétonne , une des plus importantes rues commerçantes de Dublin. De nombreux artistes de rue, dont des musiciens, des mimes et des poètes s’y produisent régulièrement. - Temple Bar Dublin
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Temple Bar est un quartier du vieux Dublin sur la rive sud de la Liffey.Exemple de rénovation réussie, temple Bar est devenu un quartier culturel avec toutes sortes de lieux de distractions, de boutiques, de commerces. C'est un quartier touristique, connu en particulier pour sa vie nocturne. Il est formé de petites rues, souvent piétonnes, où abondent les restaurants, bars et petites boutiques. On peut notamment y trouver des artistes musiciens soit dans la rue ou dans des bars. - elephant
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vue 24465 foisA la pointe ouest de l'Île, le patrimoine industriel a été préservé (les quais, les cales de lancement de l’ancien chantier naval sa grue Titan) ou réhabilité : la direction de Dubigeon a été transformée en Maison des Hommes et des techniques,. Des logements sont construits, des activités de loisirs ou culturelles s'y développent (lieux d’animation nocturne, les machines de l'île avec l'éléphant visible sur la photographie lors de sa première sortie…) ainsi que d'autres activités tertiaires (école d'architecture, cité des biotechnologies dans les anciennes halles industrielles Gec-Alstom, palais de justice de l’architecte Jean Nouvel). Le quai Wilson a été aménagé en terminal de croisière (seul élément restant de l'activité portuaire qui se trouve maintenant plus en aval).
- Foreign Office
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Anciennement Old Admiralty, ministère de la Marine, dans le quartier de White Hall, ce sont aujourd’hui les bureaux du Foreign Office, le ministère des Affaires Etrangères. Comme devant les principaux bâtiments officiels, la relève des Horse Guards est un moment apprécié des visiteurs. - stade d'Athènes
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Stade panathénaïque d'Athènes. Ce stade de marbre occupe l'emplacement du stade antique. Ruiné, il fut reconstitué sur son plan d'origine pour les JO (jeux olympiques) de 1896 et rénové pour ceux de 2004 (épreuves de tir). Ses gradins peuvent accueillir 45 000 spectateurs. - Tour de Londres
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La forteresse qu'est la Tour de Londres avec en son centre la massive tour Blanche. - Plaque indiquant un élément du Patrimoine Mondial de l'UNESCO
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La liste des biens inscrits au Patrimoine Mondial de l'Humanité par l'UNESCO (Organisation des Nations unies pour l'éducation, la science et la culture) désigne des lieux, monuments et bâtiments qui sont considérés comme des biens communs de l'Humanité. En 2009, 890 "biens" y étaient inscrits. - Une charmille
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La charmille du Haut-Maret est longue de 573 mètres. Il s'agit d'une des plus longues d'Europe. Elle a été plantée en 1885 et se compose de 4700 plants de charmes. 70% des arbres sont plus que centenaires. En savoir plus sur le site de la région wallonne - Terril de la petite Bacnure
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Terril de la petite Bacnure à Liège. Certains terrils laissent échapper des fumées. Ces fumerolles sont dues à la combustion du charbons résiduel. A l'intérieur d'un terril, la température peut atteindre jusqu'à 600 °C. - La Porte de l'Inde à Delhi
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Située au centre d'un gigantesque rond point à l'extrémité est de Raj Path ,la grande avenue du pouvoir à Delhi, capitale de l'Union Indienne, la porte de l'Inde (Indian gate) est un arc de triomphe. Ce monument commémore la participation des soldats indiens des armées des Indes morts sur les champs de bataille européens de la 1ère guerre mondiale. On y trouve 100 000 noms ! - Porte de France, Tunis
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Porte de France à Tunis. Bab el-Bahr. Trait d'union symbolique entre l'ancien et le nouveau Tunis, elle date de 1848, elle permet d'accéder à la médina. - Cimetière de Monastir et Ribat
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Cimetière marin de Monastir, au fond on aperçoit un ribat, couvent fortifié. Edifié en 797, il faisait partie de la chaîne de forteresses habitées par les mourabitines, des moines-soldats qui gardaient le littoral africain. - jardin hama-rikyu
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jardin traditionnel et très calme, coincé entre un quartier d'affaires dont on voit les tours au loin, et la baie de Tokyo. Le contraste tradition/modernité est saisissant (le bâtiment bas est une maison de thé). - maison traditionnelle kyoto
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maison traditionnelle d\\\'un quartier populaire de Kyoto, avec panneaux coulissants. - Plan de Saïgon en 1892
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Urbanisme rectiligne imaginé par le gouverneur Lemyre de Vilers dans les années 1870-1880. En rouge, les principaux bâtiments construits pendant la période coloniale : palais du gouverneur, caserne, poste, cathédrale, halles, régie de l’opium, maisons d’import-export… Voir des photos d’époque sur le site : http://belleindochine.free.fr/Saigon1882.htm Capitale de la Cochinchine à partir de 1859, elle devint capitale de la République sud-vietnamienne en 1956 et fut rebaptisée Ho Chi Minh-Ville en 1975. Cholon, le quartier chinois au sud-ouest, à 5 kms, est encore nettement à l’écart du centre-ville encadré par la rivière et ses canaux. Poste centrale de Saïgon - Grand Poste de Saïgon
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Architecture métallique et marquise en verre inspirées de celles de la gare d’Orsay à Paris ; Construite de 1886 à 1891. - Wat Phra Kaeo
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Vue sur les toitures et l'enceinte du Wat Phra Kaeo (Temple du Bouddha d'émeraude) de Bangkok, site le plus éblouissant de Thaïlande, qui fait partie des merveilles de l'Asie. - Prague
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Symbole de la disparition du rideau de fer et des régimes communistes, cette photo a été prise dans le centre ville de Prague : une affiche pour le musée du communisme devant un fast-food américain... - Grands thermes de Sbeïtla
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Grands thermes de Sbeïtla dans la région des hauts plateaux tunisiens. Ancienne Sufetula romaine. - Maison-musée Ed-Dar
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Terrasse de la maison-musée Ed-Dar dans la médina de Tunis. Cette maison, aménagée par un antiquaire, date de la fin du XV siècle. On peut y voir de magnifiques faïences. - Notre Dame de Paris
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Commencée en 1163 et achevée vers 1330, la cathédrale Notre Dame de Paris sur l'île de la Cité est l'un des monuments les plus célèbres de la ville. Cette photo prise depuis le pont de la Tournelle permet de bien voir les arcs-boutants. Pour en savoir davantage : http://fr.wikipedia.org/wiki/Cath%C3%A9drale_Notre-Dame_de_Paris - Hôtel de Cluny
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Les abbés de Cluny en Bourgogne, comme bien d'autres, cherchèrent à avoir un collège et un pied-à-terre à Paris proche de l'université dans le quartier latin. Le collège construit au cours de la seconde moitié du XIIIe siècle se trouvait sur l'actuelle place de la Sorbonne ; le pied-à-terre près des thermes. A la fin du XVe siècle, Jacques d'Amboise, abbé de Cluny (1485-1510) décide de reconstruire la résidence abbatiale parisienne qui s'appuyait sur les thermes. La construction rapidement conduite est aujourd'hui le plus ancien témoin d'un hôtel particulier entre cour et jardin. Clos vers la ville par un mur aveugle crénelé, simplement percé d'une porte charretière et d'une autre piétonne, il est formé d'un corps de logis avec deux ailes en retour qui enferment une cour. Il est à deux étages surmontés d'une haute toiture d'ardoise interrompue de lucarnes. A l'intérieur, l'hôtel a conservé ses dispositions d'origine : le volume des salles, la circulation ménagée en façade et la chapelle. Pour en savoir plus consulter le site du musée national du Moyen Age qui se trouve dans l'hôtel. http://www.musee-moyenage.fr/ - La bibliothèque du Sénat
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Les sénateurs ont accès à cette bibliothèque de 450 000 livres. La coupole de cette bibliothèque a été décorée par Eugène Delacroix entre 1840 et 1846. - Médina de Tunis
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Vue sur les toits de la médina de Tunis. "Une médina (المدينة العتيقة), désigne une ville ancienne par opposition à une ville moderne de type européen. Ce terme est surtout employé dans les pays du Maghreb, en Afrique de l'Ouest et en Afrique de l'Est." Wikipédia - Zaouïa de la médina de Kairouan
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Vestibule de la zaouïa de Sidi Abid El-Ghariani dans la médina de Kairouan.Les zaouïas abritent les tombeaux de notables qui sont ainsi honorés. La cour est pavée de marbre entrelacé de formes géométriques noires. - Le Ho Withun Thasana
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"Le site de Bang Pa-in en Thaïlande reflète la fascination du roi Chulalongkorn pour l’architecture européenne. Le néo-classicisme français, le gothique victorien, le style de la Chine impériale et le style thaïlandais traditionnel s’y marient pour illustrer l’éclectisme qui était en vogue à cette époque. Comprenant un château, une résidence d’été, une pagode, un phare, un palais chinois et un "sala" thaïlandais, l’ensemble architectural pourrait évoquer une sorte de parc d’attractions du XIX° siècle ; en réalité, il se dégage du lieu un charme empreint de dignité. La plupart des bâtiments de Bang Pa-in ont été construits entre 1872 et 1899… …Passionné d’astronomie le roi Mongkut passait ses soirées à observer les étoiles dans cette curieuse tour de l’Observatoire royal, le Ho Withun Thasana, vestige d’un palais en bois qui fut détruit par un incendie en 1938…" (National Geographic Les guides de voyage Thaïlande) - Le Phra Thinang Aisawan Thippa-At
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"Le site de Bang Pa-in en Thaïlande reflète la fascination du roi Chulalongkorn pour l’architecture européenne. Le néo-classicisme français, le gothique victorien, le style de la Chine impériale et le style thaïlandais traditionnel s’y marient pour illustrer l’éclectisme qui était en vogue à cette époque. Comprenant un château, une résidence d’été, une pagode, un phare, un palais chinois et un "sala" thaïlandais, l’ensemble architectural pourrait évoquer une sorte de parc d’attractions du XIX° siècle ; en réalité, il se dégage du lieu un charme empreint de dignité. La plupart des bâtiments de Bang Pa-in ont été construits entre 1872 et 1899… …Le Phra Thinang Aisawan Thippa-At, le divin siège de la liberté individuelle, semble flotter sur le lac. Edifié en 1876 dans le style classique de Rattanakosin, il représente le parangon de l’architecture thaïlandaise et abrite une statue grandeur nature du roi Chulalongkorn en uniforme de maréchal. En fait, il s’agit d’une réplique d’un pavillon du Grand Palais de Bangkok". (National Geographic Les guides de voyage Thaïlande) - MosBourg
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Cour de la mosquée Bourguiba à Monastir. Construite en 1963, de conception et d'architecture traditionnelles. - Le Palais des Ducs de Dijon
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Vu depuis la Place de la Libération (ancienne Place d’Armes et ancienne Place Royale), le Palais des Ducs et des États de Bourgogne, dans lequel sont nés trois des quatre « grands ducs d’Occident » Jean Sans Peur, Philippe Le Bon et Charles Le Téméraire abrite la mairie et le musée des Beaux-arts ; il est précédé de la Cour d'Honneur et est dominé par la Tour Philippe Le Bon haute de 46 m. - contrastes
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Contraste entre la vielle ville de Shanghaï et les tours du quartier des affaires de Pudong. Le contraste entre la maison de thé et les bâtiments du Jardin Yu, de style traditionnel chinois et, en arrière-plan, les gratte-ciel de Pudong semblent symboliques de la Chine d’aujourd’hui, qui essaie de mettre en valeur un passé honni lors de la Révolution culturelle et la frénésie des constructions ultramodernes qui marque ses ambitions pour le XXI°siècle. Il faut cependant tempérer le propos car ce qui est mis en avant dans la vielle ville chinoise est surtout un ensemble largement rénové et entièrement consacré au commerce. Ailleurs la vielle ville est, comme partout dans les centres, menacée par les promoteurs et leurs pelleteuses. - Cour de la mosquée de Selim II à Edirne
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Cour de la mosquée de Selim II à Edirne (Turquie). Conçue en 1575. Fontaine aux ablutions. - Chalet
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Chalet tyrolien. - Coupole d'Edirne
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Décor à l\'intérieur de la coupole de la mosquée de Sélim II à Edirne en Turquie. Diamètre : 31,50 m. - Intérieur de la mosquée d'Edirne
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Intérieur de la vieille mosquée (début XVeme) d\'Edirne (Turquie) - Intérieur de la mosquée de Sofia
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Intérieur de la mosquée ottomane de Sofia (XVIeme siècle) - Minbar
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Minbar de la mosquée de Sélim II à Edirne en Turquie - Minbar de Sofia
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Minbar de la mosquée Banja Basi de Sofia - Intérieur de la coupole de la mosquée de Selim II à Edirne
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Intérieur de la coupole de la mosquée de Selim II à Edirne en Turquie. Diamètre de 31,50m. Décor de faïences. - Qibla de Sofia
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Mur de la Qibla de la mosquée Banja Basi de Sofia (XVIeme siècle) - Palais de Los Polentinos à Avila
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Palais de Los Polentinos. Il a été construit au XVIe siècle. Contrairement à la grande sobriété et pauvreté des ornements de la majorité des palais d'Avila, on a ici une grande profusion de décorations. Sous les mâchicoulis qui couvrent les embrasures principales et contrastant avec l'origine guerrière de cette famille, un portail plateresque avec des motifs liés aux métiers des armes : armures, hallebardes, casques, etc. Le patio est richement décoré de médaillons de personnages appartenant à différentes couches sociales. Ce palais fut le siège de l'Académie Militaire d'Intendance durant plus de cent ans et actuellement, il abrite les Archives Générales Militaires (photos du patio interdites !). - Condé sur l'Escaut, base de loisirs
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Le site de Chabaud Latour à Condé est une ancienne fosse minière, la fosse Ledoux. Après la fin de l'activité minière, la première source d'emploi étant tarie, la ville a tenté de mettre en valeur son patrimoine historique et son patrimoine industriel. Le site de l'étang Chabeau-Latour, dont on voit une petite partie sur cette photo, est la synthèse de ces trois périodes de la ville de Condé. Pour accéder à ce site, on longe les fortifications médiévales, aménagées par Vauban. Autour de l'étang d'affaissement minier, une base de loisirs a été aménagée : on aperçoit un cycliste sur le chemin qui fait le tour d'un immense parc, les voiliers sur le lac appartiennent à l'école de voile qui se partagent l'étang avec l'école de kayak et le ski nautique. Un panneau interdit la baignade mais une pataugeoire ouverte l'été permet aux enfants de se rafraîchir. On ne voit pas sur cette photo l'école d'escalade, ni le terrain de motocross, ni le centre équestre : les activité de cette base de loisirs sont très nombreuses. A l'arrière plan, on aperçoit le chevalet (ou chevalement) au centre, qui permettait de remonter le charbon du fonds de la fosse Ledoux. Il est le symbole de l'ancienne activité minière. A gauche, le terril plat est composé des déchets issus du triage. Ce site est un espace naturel protégé : sur les terrils, une flore et une faune particulière se sont développées, les oiseaux sont nombreux autour du lac. Des chemins de randonnée sont fléchés dans cette immense zone "naturelle", entièrement façonnée par l'activité humaine. Ce paysage montre comment une ville qui a perdu son activité principale peut tenter de se reconvertir dans le tourisme et les loisirs. http://www.mairie-conde-s-escaut.fr/ http://www.valenciennes-metropole.fr/article23.html http://fr.wikipedia.org/wiki/Cond%C3%A9-sur-l'Escaut - cité interdite- vue de la colline du Charbon
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La cité interdite – PEKIN –15 février 2007- vue de la colline du charbon – Meishan - (située au Nord de la cité) qui servait de protection géomantique au palais impérial. Site classé au Patrimoine mondial de l’humanité de l’Unesco depuis 1987 Son nom chinois est Zijincheng, ce qui signifie « cité interdite pourpre » Les Chinois l’appellent aussi familièrement « guyong » ( le vieux palais) La Cité Interdite, est le plus grand ensemble de palais impériaux en Chine. Elle occupe une superficie de 723 600 m2 dont seulement 1/6 sont occupés par les palais officiels. Des murs d'enceinte l’entourent sur 960 mètres de longueur et 750 mètres de largeur. Le premier palais impérial fut construit au XIIIe, puis reconstruit sur un plan entièrement nouveau de 1407 à 1420. Des travaux d’extension du palais furent entrepris du XVIIe au XIXe. Les principaux bâtiments aux tuiles jaunes vernissées et aux murs pourpres jalonnent l’axe central orienté nord-sud. La cité interdite était le lieu de pouvoir politique et le lieu de résidence hivernale des empereurs et de leur famille. La plupart des bâtiments étaient construits en bois Au loin , les immeubles récents de la ville de Pékin, hérissée de grues aujourd’hui. L’interdiction de construire des bâtiments plus élevés que les toits de la cité interdite appartient au passé…. - Douves de la cité interdite
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Mur d’enceinte et douves de la cité interdite - PEKIN – 15 février 2007- La Cité interdite est protégée par une enceinte rectangulaire : 960 mètres de longueur dans le sens sud-nord et de 750 mètres de largeur. Des murs de 7 m de haut en terre damée parementé de briques, bordés de larges douves (larges de 60 m) enserrent le palais impérial. Ils sont perçés de quatre portes correspondant aux points cardinaux. A chaque angle, une imposante tour de garde de trois étages et de forme octogonale est édifiée. - porte Duanmen
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La cité interdite - Duanmen – PEKIN – 15 février 2007- À l'arrière plan: la porte de Duanmen ou porte de la droiture est une porte intermédiaire entre la porte Tien-anmen et la porte wumen. Au premier plan, une allée en libre accès, bordée de réverbères à globes, fréquentée par les nombreux Chinois en congé pour les fêtes du nouvel an chinois. - porte de la pureté céleste
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La cité interdite - PEKIN –15 février 2007- Au nord de la cour extérieure, la Porte de la pureté céleste – Qianqing men. C’est le lieu de transition entre la Cour Extérieure, partie publique de la cité, et la Cour Intérieure et le secteur de la vie privée. Aucune femme, excepté l'Impératrice, ne pouvait utiliser cette porte et donc accéder à la partie publique du Palais La Porte de la pureté céleste est ceinte d'un mur pourpre à décoration vernissée. Elle est gardée par deux lions, recouverts d’or. Le lion, roi du monde animal, est un animal qui symbolise la puissance et le prestige pour les Chinois. Le mâle, à l’arrière plan, a la patte droite posée sur une boule sensée représenter l'unité de l'état. La femelle, au premier plan, caresse de sa patte gauche un lionceau considéré comme le symbole de la succession impériale perpétuelle. - Extémité d'un toit de la Cité interdite
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La cité interdite – PEKIN – 15 février 2007- Extrémité d’un avant-toit recourbé en tuiles vernissées jaunes. L'utilisation de cette couleur représente l'autorité centralisée de l'Empereur sur l'Empire, le jaune symbolisant la Terre qui représente elle-même le centre de l'univers. Les tuiles fabriquées en terre cuite émaillée et colorée, sont alternativement concaves et convexes. Ces briques lisses sont encore aujourd’hui, très résistantes à l’usure. Sur les tuiles d’arêtes des nombreuses toitures de la cité interdite mais également de temples (comme le temple des Lamas) on aperçoit des figurines en terre vernissée, perchées sur les angles. Ces animaux et personnages mythiques sont censés protéger les bâtiments des esprits malfaisants. A l’extrémité le prince Min de Qi, chevauche une poule. Ces figurines, toujours en nombre impair, de 1 à 9, marquent l’importance de l’édifice, le 9 symbolisant le Yang par excellence. La tradition des 9 figurines remonte au règne de l'empereur Yongle, 3e de la dynastie Ming, qui régna de 1402 à 1424. A l’époque des Ming et des Qing, seuls les bâtiments impériaux pouvaient être couverts de tuiles jaunes vernissées. Enfreindre cette règle méritait la peine de mort. La courbure du toit évoque les ailes déployées d'un phénix ( oiseau fabuleux qui symbolise l’immortalité et représente l’impératrice) Pour faciliter l’écoulement de la pluie de la toiture, les architectes anciens lui ont donné une forme concave : ainsi l’eau s’écoule des quatre côtés sans endommager les fondations de bois. Le bâtiment est aussi mieux éclairé. De plus les quatre angles relevés donnent à la toiture un aspect imposant et élégant. - porte de l'Harmonie suprême
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La cité interdite - Taihemen– PEKIN – 15 février 2007- vue du sud La porte de l’harmonie suprême -Taihemen- en cours de restauration en février 2007. Une grande toile tendue la représentant masque l’échafaudage. Au premier plan: une série de 5 ponts parallèles -Jinshuiqiao - enjambent la rivière aux Eaux d'Or .Ils symbolisent les 5 vertus cardinales du confucianisme : humanité, sens du devoir, sagesse, sûreté et observance du cérémonial. - porte du méridien
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La cité interdite – PEKIN –15 février 2007- Wumen - Porte du méridien (appelée aussi porte du Midi ) C’est l’entrée sud de la Cité pourpre qui donne accès aux édifices du palais impérial dévolus à la vie officielle. La façade Sud mesure 92 m et est flanquée de deux longs avant-corps fortifiés. Le bâtiment central, construit en 1420 et restauré pour la dernière fois en 1801, est surmonté d’un pavillon à double toiture de tuiles vernissées jaunes et à neuf entrecolonnements en façade, signe de son importance. Dès l’antiquité les Chinois considéraient le jaune comme une couleur noble et estimaient que le rouge représentait le bonheur et la joie. - Porte de la paix céleste
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Porte de la paix céleste - Cité pourpre interdite – PEKIN – 15 février 2007 Le mur de pierre rouge qui s'étend au Nord de la place Tian' Anmen marque la limite sud de la Cité Impériale. Il comporte 5 passages . Au centre, la Porte de la Paix Céleste (Tian Anmen) considérée aujourd'hui comme le centre de Pékin était uniquement réservé à l'Empereur. Tian Anmen conduisait au pouvoir suprême. Initialement construite en bois en 1417, elle fut rebâtie en dur en 1465 puis agrandie au XVIIe . Elle a gardé aujourd'hui l'aspect qu'elle avait à l'époque Qing. Elle est dominée par un pavillon en bois à double toiture jaune. C'est de là que le 1er octobre 1949, le Président Mao Zedong proclama la République Populaire de Chine. Son portrait immense, encadré par deux inscriptions blanches sur fond rouge : " Vive la République Populaire de Chine " et " Vive l'Unité de tous les peuples ". est accroché au dessus du passage central. - peinture polychrome d'un bâtiment de la Cité interdite
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La cité interdite -PEKIN – Décorations polychromes – 15 février 2007- Les boiseries qui ornent les dessous de toits sont partout rénovées et repeintes actuellement de couleurs très vives sur tous les sites touristiques de la capitale…Les jeux olympiques approchent….Les teintes dominantes sont le rouge, le vert, le bleu, le jaune et le doré.