- Fontaine de la Place Royale 2
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vue 18514 foisAu milieu de la Place Royale de Nantes trône depuis 1865 une grande fontaine sur La Loire et ses affluents. L'un des angelots tient une L'angelot tient dans sa main droite un pain de sucre. Comment fabriquer un pain de sucre ? On met le sucre à sécher dans des étuves en forme de pain. Le passé de Nantes comme port acheminant les produits des colonies issus du commerce triangulaire (la traite négrière) se retrouve dans ce pain de sucre. En 1766, la ville possédait 22 raffineries montrant l’importance de ce produit à Nantes. Le sucre représentait 60 % du trafic au 19ème siècle. Il a joué un rôle essentiel dans le développement d’autres industries alimentaires comme la Biscuiterie Lu. Beghin-Say est l’unique raffinerie de sucre de canne de la façade atlantique est le dernier souvenir de cette époque.
- Fontaine de la Place Royale
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vue 17281 foisAu milieu de la Place Royale de Nantes trône depuis 1865 une grande fontaine sur La Loire et ses affluents. L'un des angelots tient une L'angelot tient dans sa main droite un pain de sucre. Comment fabriquer un pain de sucre ? On met le sucre à sécher dans des étuves en forme de pain. Le passé de Nantes comme port acheminant les produits des colonies issus du commerce triangulaire (la traite négrière) se retrouve dans ce pain de sucre. En 1766, la ville possédait 22 raffineries montrant l’importance de ce produit à Nantes. Le sucre représentait 60 % du trafic au 19ème siècle. Il a joué un rôle essentiel dans le développement d’autres industries alimentaires comme la Biscuiterie Lu. Beghin-Say est l’unique raffinerie de sucre de canne de la façade atlantique est le dernier souvenir de cette époque.
- île Feydeau 2
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En 1723, le maire de Nantes, Gérard Mellier obtient du roi le droit de lotir la partie ouest de l’île Saulzaie pour construire des immeubles pour les armateurs et des riches négociants. Il affirme que « l’embellissement des villes consiste dans la construction des bâtiments en ligne droite ». Les terrains sont gagnés sur le fleuve et ceint par des quais. Construits surtout entre 1755 et 1770 les immeubles sont réalisés en tuffeau et en granit. Ils ont la même organisation : au rez-de-chaussée, la boutique, les entrepôts, l’entresol réalisé dans les arcades en plein cintre renferme les bureaux, entre chaque arcade des consoles finement ouvragées supportant la table en saillie d’un balcon galbé avec des rambardes en fer forgé finement ouvragé. Les étages supérieurs sont percés de hautes fenêtres à linteaux. On y trouvait successivement les appartements d’apparat, puis les étages de rapports (parties louées). Les thèmes baroques de leur décoration évoquent la mer, le commerce ou l’Afrique (sphères, symboles marins, mascarons….. ) et rappellent les fortunes amassées grâce à la traite négrière. L’île était reliée à la ville par deux ponts. Dans la première moitié du XXe siècle, avec les comblements de la Loire, elle perd son statut d’île - île Feydeau 3
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Ce mascaron décorant une façade d’une maison d’armateur de l’île Feydeau montre que son propriétaire était certainement un riche armateur ou négociant commerçant avec les îles et l’Afrique. Les thèmes baroques des maisons des armateurs et leur décoration évoquent la mer, le commerce ou l’Afrique (sphères, symboles marins, mascarons….. ) et rappellent les fortunes amassées grâce à la traite négrière. - île Feydeau 1
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En 1723, le maire de Nantes, Gérard Mellier obtient du roi le droit de lotir la partie ouest de l’île Saulzaie pour construire des immeubles pour les armateurs et des riches négociants. Il affirme que « l’embellissement des villes consiste dans la construction des bâtiments en ligne droite ». Les terrains sont gagnés sur le fleuve et ceint par des quais. Construits surtout entre 1755 et 1770 les immeubles sont réalisés en tuffeau et en granit. Ils ont la même organisation : au rez-de-chaussée, la boutique, les entrepôts, l’entresol réalisé dans les arcades en plein cintre renferme les bureaux, entre chaque arcade des consoles finement ouvragées supportant la table en saillie d’un balcon galbé avec des rambardes en fer forgé finement ouvragé. Les étages supérieurs sont percés de hautes fenêtres à linteaux. On y trouvait successivement les appartements d’apparat, puis les étages de rapports (parties louées). Les thèmes baroques de leur décoration évoquent la mer, le commerce ou l’Afrique (sphères, symboles marins, mascarons….. ) et rappellent les fortunes amassées grâce à la traite négrière. L’île était reliée à la ville par deux ponts. Dans la première moitié du XXe siècle, avec les comblements de la Loire, elle perd son statut d’île. - Le parc du Grand Blottereau
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L’agglomération nantaise compte de nombreux parcs issus de grandes propriétés privées du siècle derniers comme le Parc de Procé, celui de la Chantrerie ou de la Bégraissière à Saint-Herblain. Le parc du Grand Blottereau est l’un d’entre-eux. C’est l’ancien parc de la folie de Gabriel Michel, directeur de la compagnie des Indes. Le cèlèbre armateur Thomas Dobrée dont la famille à fait fortune dans la traite négrière le lègue à la ville de Nantes. Il a une superficie de 37 hectares où s’élève un château du type classique du XVIIIème siècle. Il possède des serres tropicales et est dédié aux végétaux exotiques. Il montre que des armateurs, des capitaines et des marins ramenèrent des graines, des boutures d’arbres et d’arbustes des îles pour décorer les parcs de la ville. Le jardin s’étendant devant la folie est tiré au cordeau et rappelle ceux de Le Nôtre, le célèbre jardinier de Louis XIV. - Le parc du Grand Blottereau 2
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L’agglomération nantaise compte de nombreux parcs issus de grandes propriétés privées du siècle derniers comme le Parc de Procé, celui de la Chantrerie ou de la Bégraissière à Saint-Herblain. Le parc du Grand Blottereau est l’un d’entre-eux. C’est l’ancien parc de la folie de Gabriel Michel, directeur de la compagnie des Indes. Le cèlèbre armateur Thomas Dobrée dont la famille à fait fortune dans la traite négrière le lègue à la ville de Nantes. Il a une superficie de 37 hectares où s’élève un château du type classique du XVIIIème siècle. Il possède des serres tropicales et est dédié aux végétaux exotiques. Il montre que des armateurs, des capitaines et des marins ramenèrent des graines, des boutures d’arbres et d’arbustes des îles pour décorer les parcs de la ville. Le jardin s’étendant devant la folie est tiré au cordeau et rappelle ceux de Le Nôtre, le célèbre jardinier de Louis XIV. - Le parc du Grand Blottereau 3
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L’agglomération nantaise compte de nombreux parcs issus de grandes propriétés privées du siècle derniers comme le Parc de Procé, celui de la Chantrerie ou de la Bégraissière à Saint-Herblain. Le parc du Grand Blottereau est l’un d’entre-eux. C’est l’ancien parc de la folie de Gabriel Michel, directeur de la compagnie des Indes. Le cèlèbre armateur Thomas Dobrée dont la famille à fait fortune dans la traite négrière le lègue à la ville de Nantes. Il a une superficie de 37 hectares où s’élève un château du type classique du XVIIIème siècle. Il possède des serres tropicales et est dédié aux végétaux exotiques. Il montre que des armateurs, des capitaines et des marins ramenèrent des graines, des boutures d’arbres et d’arbustes des îles pour décorer les parcs de la ville. Le jardin s’étendant devant la folie est tiré au cordeau et rappelle ceux de Le Nôtre, le célèbre jardinier de Louis XIV. Ici on peut voir une peinture en trompe l'oeil sur le château qui représente des champs de canne à sucre - Métiers du Moyen-Age : charpentiers
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Métiers du Moyen-Age : charpentiers Ceux qui édifient les charpentes des grands bâtiments : château, cathédrale… sont appelés charpentiers de haute futaie, car ils travaillent les grands arbres. D’autres sont menuisiers et ébénistes. Vitrail de la cathédrale de Bourges, XIII° siècle - Métiers du Moyen-Age : tanneurs
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Métiers du Moyen-Age : tanneurs Nettoyage et préparation des peaux par le tanneur avant son foulonnage. Vitrail de la cathédrale de Bourges, XIII° siècle - Métiers du Moyen-Age : tisserands
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Métiers du Moyen-Age : tisserands Ils travaillent sur leur métier, le lin, la laine, le chanvre. A leurs côtés, les bobines. Sont appelés aussi drapiers. Vitrail de la cathédrale de Bourges, XIII° siècle - Métiers du Moyen-Age : tonnelier et charron
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Métiers du Moyen-Age : tonnelier et charron Le travail de cerclage des tonneaux est identique à celui des roues des carrioles et les deux corporations sont représentées ensemble sur ce vitrail qu’ils ont offert au XIII° siècle à la cathédrale de Bourges. - Quartier de la City
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Quartier de la City à Londres. En face le Royal Exchange, derrière lui apparait l'immeuble surnommé "le cornichon". - City de Londres (2)
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Une vue sur les immeubles de la City de Londres avec en particulier à gauche la Tower 42 haute de 183 m et à droite le Swiss Re Building mieux connu par le surnom de Gherkin, le cornichon, haut de 180 m. - La Tour 42
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La Tour 42, achevée en 1980 est avec ses 183 m et ses 43 étages l'immeuble le plus élevé de la City de Londres. - Canal de Corinthe
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Le canal de Corinthe est un canal grec creusé à travers l'isthme de Corinthe pour relier le golfe de Corinthe, dans la mer Ionienne, à l'Ouest, au golfe Saronique, dans la mer Égée, à l'Est. Il fut construit entre 1882 et 1893, et mesure 6,3 km de long. - Diolkos et Canal de Corinthe
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A gauche on aperçoit ce qui reste du diolkos. C'est un chemin dallé, grâce auquel les navires pouvaient traverser l'isthme de Corinthe par voie terrestre. La chaussée, qui devait s'étendre sur 6 à 8 kilomètres, comportait une sorte de rail rudimentaire. Il fut exploité de 600 av. JC environ jusqu'au Ier siècle ap. JC. La première tentative de construction d'un canal à cet endroit est attribuée à Néron en 67. Elle mobilisa 6 000 prisonniers juifs envoyés par Vespasien. L'année suivante, à la mort de Néron, son successeur Galba abandonna le projet, jugé trop onéreux. Le canal que l'on voit aujourd'hui fut construit entre 1882 et 1893, il mesure 6,3 km de long. Pour compléter l'information voir http://fr.wikipedia.org/wiki/Canal_de_Corinthe - Bourse de Paris
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Le Palais Brongniart, ex bourse de Paris Le 24 septembre 1724 un arrêt établi par le Conseil d’État du Roi donne naissance à la bourse de Paris.Elle occupe alors l’hôtel de Nevers. Le 4 novembre 1826 : Le palais Brongniart est inauguré. Napoléon 1er en confia la réalisation à Alexandre Théodore Brongniart dès 1808. Ce dernier élabora les plans du monument mais mourut en 1813, avant son aboutissement. Achevée par Labarre, le bâtiment abritera les activités boursières françaises pendant plus d’un siècle. Les échanges à la criée disparaîtront au cours du XXe siècle. Le 13 juillet 1987, l’immense corbeille sera démontée, laissant la place à l’informatisation. Pour une visite virtuelle des lieux actuels : http:/palaisbourse.euronext.com - Galée
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Vitrail du palais Jacques Cœur, Bourges Le navire est construit sur le modèle des bateaux génois du XV ème siècle. Les armes de Jacques Cœur, anobli en 1441, figurent à la poupe. A gauche le port d’Aigues Mortes, base de la flottille de navires de commerce appartenant à J. Cœur. A droite, un cèdre (une représentation du Liban ?), destination des caravanes qui approvisionnaient les marchands occidentaux venant chercher les épices dans les ports de Méditerranée orientale. Jacques Cœur, banquier, marchand, et armateur avait des facteurs dans ses comptoirs d’Alexandrie, Rhodes, Beyrouth. Voir le site qui lui est consacré http://jacques-coeur.bourges.net - Saline d'Arc et Senans : façade arrière de la berne ouest
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Les conditions de travail étaient très difficiles, dans la chaleur et sans réelle évacuation des fumées. Claude Nicolas Ledoux a privilégié l'esthétique et n'a pas fait de cheminées, seules quelques ouvertures à l'arière du bâtiment permettaient un peu l'évacuation des fumées. - Maître de bateau
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A la différence des autres vitraux où les donateurs, la plupart du temps des confréries artisanales, sont représentés dans un ou plusieurs médaillons en bas du vitrail, les nautonniers ou maîtres de bateau naviguant sur le canal du Berry, sont représentés ici dans le corps même du vitrail qui reprend un thème du Nouveau Testament : la traversée du lac de Tibériade. Un lexique pour tous les métiers du Moyen-Age : http://www.vieuxmetiers.org/lettre_n.htm changer la lettre _a, _b, _c , etc pour d’autres définitions - Rogny les sept écluses
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Véritable escalier d'eau, les sept écluses ont fait communiquer, pendant plus de deux siècles, le bassin de la Loire et celui de la Seine par le Loing. Les travaux débutèrent en 1605, sous le règne de Henri IV, s'achevèrent après bien des difficultés sous le règne suivant. C'est un exemple de grands travaux entrepris par la monarchie absolue pour unifier l'économie du royaume et approvisionner Paris. - Autour du Futuroscope, la technopole
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Une technopole s'est développée sur 200 hectares autour du parc d’attractions. Plus de 160 entreprises sont installées sur le site. Un parc hôtelier important et un Palais des Congrès complètent le dispositif d’accueil d’entreprises innovantes. Le site comprend en outre les locaux du CNED, le Lycée pilote innovant (LPI) de Jaunay-Clan, des formations universitaires, le CNDP décentralisé. Le site internet de la technopole : http://www.futuroscope-technopole.com/ - La saline royale d'Arc-et-Senans
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En 1773 un arrêt du Conseil du roi Louis XV ordonne de bâtir une saline à Arc-et-Senans afin d'exploiter les eaux saumâtres de Salins. Ce sera l'œuvre majeure de Claude Nicolas Ledoux (1736-1806) chargé d'en dresser les plans et d'en assurer l'édification de 1774 à 1779 selon un plan semi-circulaire qui servira d'élément central lorsqu'il établira son projet de cité idéale. - Le Rhin à Rhinau
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Frontière - vue prise du côté Allemand. Le bateau est le bac qui relie les deux berges, les deux pays. le passage du Rhin à Rhinau se fait entre Strasbourg et Colmar. Ce passage est très facilité par sa fréquence ininterrompue entre 7h00 et 20h00.Le bac est gratuit et est financé par le Conseil Général du Bas-Rhin.Il permet l'existence de deux grands types de flux : des flux touristiques en direction du parc d'attraction Europapark de Rust (Allemagne) et des flux de travail puisque de nombreux français gagnent leur vie de ce côté-ci du Rhin. - Le beffroi de Bruges
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Prise de vue du "quai du Rosaire", l'une des cartes postales les plus célèbres de Bruges. Ce sont les parties sud et est du beffroi qui sont visibles. Au premier plan, les canaux qui ont été utilisés par les Brugeois du Moyen Age pour le commerce et acheminer les marchandises depuis la Mer du Nord. Ces canaux servaient aussi de "douves", c'est à dire de moyen de défense contre les attaques potentielles. L'architecture des villes du nord, en briques cuites, est visible sur les édifices à gauche . Le Beffroi est visible au fond, il est le point de repère , il est le pôle, le point de rencontre, le centre ... - Le beffroi de bruges vu des Halles
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Vue prise de la partie sud dans la cour des halles marchandes qui constituent la partie inférieure de l'édifice. La partie supérieure est composée du beffroi qui taille 83 mètres en hauteur. Ce beffroi se situe sur le Markt ( place du marché )au centre de la ville . C'est aujourd'hui le coeur touristique et le rendez-vous des touristes . Le beffroi est une construction urbaine souhaitée par les bourgeois des villes du Moyen-Age pour affirmer leur liberté acquise au détriment des seigneurs : l'Europe urbaine est montée sur ses ergots pour préparer l'un des plus féroces combats de coq du Moyen-Age, celui de la bourgeoisie marchande et des seigneurs féodaux. Le beffroi de Bruges, a été construit pour sa partie inférieure au XIII° siècle, sa partie médiane au XIV° s. et sa partie supérieure au XV° siècle. Il est révélateur de la montée en puissance du commerce brugeois ainsi que de son pouvoir politique . Peut-on imaginer jusqu'où aurait pu aller cette tour si Bruges avait continué son expansion ? Dans le domaine architectural , cette volonté de monter toujours plus haut pour affirmer cette puissance se retrouve dans la construction des cathédrales, des mosquées ainsi que dans celle des gratte-ciel contemporains... Dans ce plat pays qui est le leur, entre les tours de Bruges et Gand, la prise de hauteur n'était pas que symbolique : face aux menaces de la soldatesque ou des brigands, le beffroi constituait aussi une tour de guet efficace. Ce constat est valable pour les cathédrales et les mosquées. Voir article sur les Beffrois dans l'Encycloaedia Universalis. - Beffroi de Bruges vu des halles
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Vue prise de la partie sud dans la cour des halles marchandes qui constituent la partie inférieure de l'édifice. La partie supérieure est composée du beffroi qui taille 83 mètres en hauteur. Ce beffroi se situe sur le Markt ( place du marché )au centre de la ville . C'est aujourd'hui le coeur touristique et le rendez-vous des touristes . - Beffroi de Bruges ( détail )
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Ce détail du beffroi de Bruges montre la partie inférieure de l'édifice datée du XIII° siècle, époque à laquelle les bourgeois de la ville ont obtenu des seigneurs des chartes leur donnant le contrôle de la ville. La construction crénelée cherche délibérément à imiter le symbole de puissance des chateaux forts sans en avoir le rôle militaire exact. C'est un décor théâtral qui pourra être raillé par les seigneurs mais qui représentait l'affirmation du pouvoir politique des bourgeois. - 1947 : tickets de vêtements
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Tickets de rationnement concernant les vêtements pour les enfants nés à Epinal (Vosges) en 1947. A noter que la ville d'Epinal a connu de très importantes inondations en décembre 1947. - Le forum de Trajan
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Le forum de Trajan est le plus grand, le plus cohérent et le mieux conservé des fora romains. Edifié au début du 2e siècle, il nécessita de lourds travaux de terrassements par le creusement des collines et il surprend par sa forme en hémicyclique. Sa vocation est tant politique qu'économique (marché de Trajan). plus d'infos : http://fr.wikipedia.org/wiki/Forum_de_Trajan - Usine Hugues aîné à Grasse
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Façade d'une usine de parfumerie (1881). L'usine est encore dans les rues étroites de la ville du 18ème siècle. Le décor de la façade exprime les valeurs de la bourgeoisie industrielle, fière de sa technique (les alambics) et de ses succès commerciaux - médailles à l'exposition universelle - reproduites en céramique.