- Les cavaliers
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Les cavaliers, détail de la frise nord des Panathénées. Cette frise longue à l'origine de presque 160 m, était haute d'à peine un mètre, et le relief avait une profondeur d'environ 6,5 cm. British Museum Londres. - Frise des Panathénées
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La frise ionique des Panathénées était composée de 115 panneaux, il en reste 94 dont 56 à Londres au British Museum. Elle représentait 370 personnages, 200 chevaux et une multitude d'objets et bêtes destinés au sacrifice. - La frise des Panathénées
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La frise des Panathénées du Parthénon se trouvait en haut des murs à 12 m au dessus du sol entourant la cella. Elle représente la procession des Grandes Panathénées qui a lieu tous les quatre ans en l'honneur d'Athéna. - Voie sacrée, Athènes
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Voie sacrée menant à l'Acropole d'Athènes, empruntée par la procession des Panathénées. - Masque funéraire
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Stèle funéraire représentant un masque de théâtre (site de Vaison la romaine) - Le domaine de Vaux-le-Vicomte
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"Au début du XVIIe siècle, à l'est de Paris, entre les résidences royales de Vincennes et de Fontainebleau, un petit château se dresse au confluent de deux petites rivières. Ce fief noble s'appelle Vaux le Vicomte : l'histoire a enregistré son nom mais les Renommées ne l'ont pas encore fait retentir. En 1641, un jeune parlementaire de 26 ans, Nicolas Fouquet, achète cette seigneurie. Quinze ans plus tard va naître là un chef-d'œuvre unique : un château et un jardin, les plus beaux de France. Cette réussite est l'œuvre du génie fraternel de trois hommes choisis par Fouquet : l'architecte Le Vau, le peintre-décorateur Le Brun et le jardinier-paysagiste Le Nôtre. L'art de vivre, l'esprit cultivé de Fouquet, leur commanditaire, inspirent leurs talents. Ils ne sont pas les seuls ; le poète La Fontaine, Molière auteur et acteur, Madame de Sévigné, Pellisson, Scarron, constituent l'entourage de ce mécène des Lettres et des Arts. Nicolas Fouquet (1615-1680) qui ordonna la création de Vaux le Vicomte était issu d'une lignée de ces parlementaires fortunés et entreprenants dont la royauté s'attachait les indispensables services, et dont les intérêts trouvaient leurs récompenses dans l'exercice de charges proches du pouvoir… En 1648 le trésor royal, c'est-à-dire celui de l'État avait fait banqueroute : les dettes contractées par la couronne auprès des financiers privés en attendant les rentrées d'impôts, ne seraient pas remboursées ; cette décision cynique et maladroite, due à l'incapacité des surintendants aux finances nommés depuis la mort d'Henri IV avait achevé de provoquer la fuite de l'épargne et des financiers qui la collectaient. C'est à la suite de ces circonstances difficiles que Nicolas Fouquet fut nommé Surintendant des Finances, en 1653, par le cardinal Mazarin, Premier Ministre, avec mission de renflouer un trésor vide…" (Site web du Château de Vaux-le-Vicomte : http://www.vaux-le-vicomte.com/accueil.php) - Nouvel an chinois au parc Ditan
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Le nouvel an chinois est l'occasion de grandes manifestations dans les parcs et temples pékinois - Nouvel an chinois au parc Ditan
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Le nouvel an chinois est l'occasion de grandes manifestations dans les parcs et temples pékinois - arc de Titus
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L’arc de Titus : Cet arc de triomphe a été dressé sur le forum par l’Empereur Domitien en 81 ap.JC pour commémorer la victoire de son frère aîné l’Empereur Titus sur les Juifs révoltés de 66 à 70. Cette guerre s’est achevée par le pillage du temple de Jérusalem, scène visible sur une des faces de l’intérieur de l’arc de triomphe. La dédicace précise que cet arc est dédié au divin Titus Vespasien, Auguste, fils du divin Vespasien. - Extérieur des arènes d'Arles
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L'amphithéâtre d'Arles fut construit à la fin du Ier siècle de notre ère au nord de la ville antique, lors d'une période d'extension et d'embellissement général de la cité. Si les arènes sont antiques, les quatre tours (une visible) défensives datent de la chute de l'Empire romain, à une époque où les invasions entraînèrent une contraction de l'espace urbain dans l'enceinte de l'amphithéâtre. - Le théâtre antique de Lyon
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Le théâtre romain de Lugdunum se situe sur la colline de Fourvière. "Le théâtre a été construit en deux étapes : * Sous Auguste, et probablement vers -15, un théâtre de 90 m de diamètre est construit contre le flanc de la colline, selon un plan classique. * au début du IIe siècle, sous Hadrien, une troisième série de gradins est ajoutée en haut de la structure, portant son diamètre à 108 m, et donnant une capacité estimée à 10 000 places." (wikipedia) Un point précis et images de Lugdunum : http://jfbradu.free.fr/celtes/lyon/lyon.htm - Le théâtre antique de Lyon (2)
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Le théâtre romain restauré est aujourd'hui redevenu une place culturelle de la ville, comme ici un concert impromptu qui m'a permis de vérifier la qualité de l'acoustique. "Abandonné à la fin de l'Empire, il fut identifié à tort au XIXe siècle comme l'amphithéâtre des trois Gaules. Son dégagement complet et sa restauration ont commencé en 1933. Il se remplit à nouveau de spectateurs chaque été pour le festival de musique : Les Nuits de Fourvière." wikipedia - Les arènes de Nîmes
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"De récentes fouilles viennent de prouver que les Arènes ont été construites entre 90 et 120 après J.C. La ville de Nîmes s’appelait alors Nemausus. Dans cette colonie, Auguste avait établi un plan d’urbanisme typique d’une ville romaine." extrait de cette page : http://www.nimes-romaine.com/nimes/45-histoire/ - Les arènes de Nîmes
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L'amphithéâtre romain accueille aujourd'hui des corridas, mais aussi des reconstitutions de jeux antiques. "Les arènes ont une capacité de 25 000 spectateurs répartie en quatre zones et trente-quatre tribunes. L'amphithéâtre mesure 133 mètres de long pour 101 mètres de large et 21 mètres de haut, et le grand axe de l'arène mesure 69 mètres pour 38 mètres de petit axe." wikipedia - Le théâtre d'Orange
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"Le théâtre romain antique d'Orange est un des mieux conservés du monde romain , car il est parmi les rares à disposer encore de son mur de scène avec l'élévation d'origine (103 m de large pour 37 m de haut). Ce mur était décoré de statues, frises et colonnes de marbre dont subsistent quelques vestiges. Sa capacité est estimée entre 9 000 et 10 000 places. Il est la propriété de la ville d'Orange. Il a été bâti sous le règne d'Auguste, au Ier siècle." wikipedia Il faut également imaginer une débauche de peintures sur le mur de scène. - Procession à Ouro Prero
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Sur la place principla d'Ouro Preto (Minas Gerais) se rencontrent les processions venues des principaux quartiers de la ville - le malheur des uns...
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Annonce d'une "fête de la vache folle" dans une région d'élevage du Paraná : les malheurs des éleveurs européens ont bien fait les affaires de leurs homologues brésiliens, qui sont devenus les premiers exportateurs mondiaux de viande de boeuf - Intérieur du Colisée
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Rome : le Colisée (Colosseum, à cause d'une grande statue de Néron dans les parages). On dit aussi Amphithâtre Flavien, car construit par Vespasien et Titus (Flaviens). Achevé vers 80. Hauteur 48,50 m, grand axe : 188 m, petit axe 156 m. Il pouvait contenir près de 90 000 personnes. Il a commencé à être utilisé comme carrière de matériaux vers la fin du Moyen Age. On peut voir aux nombreux trous dans les murs et les piliers que la chasse aux agrafes de bronze qui liaient les pierre entre elles a dû être fructueuse ! Le dessous de scène, qu'on aperçoit sur la photo, devait permettre des mises en scènes sophistiquées. - Le Colisée : intérieur
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Vue intérieure du Colisée. Voir la page consacrée au Colisée sur Wikipédia : http://fr.wikipedia.org/wiki/Colis%C3%A9e - Delphes : le stade
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Il a été construit au IIIème siècle av JC. La longueur de la piste est de 177.55 m : 1 stade pythique (entre la ligne de départ : l'aphasis et la ligne d'arrivée : la terma). (source : http://jfbradu.free.fr/GRECEANTIQUE/delphes/delph11.htm - Delphes : le stade
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Il a été construit au IIIème siècle av JC. La longueur de la piste est de 177.55 m : 1 stade pythique (entre la ligne de départ : l'aphasis et la ligne d'arrivée : la terma). (source : http://jfbradu.free.fr/GRECEANTIQUE/delphes/delph11.htm - Stade d'Olympie : la ligne de départ
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La ligne de départ ou aphesis, est une ligne en calcaire percée de trous pour pouvoir y emboiter des poteaux entre lesquels les athlètes prenaient place. - Vue du stade d'Olympie
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Vue du stade d'Olympie. A gauche de la photo : le passage par lequel les athlètes entraient dans le stade. Le stade d'olympie mesurait 192,27 m, ce qui correspondait à 600 fois la longueur du pied d'Héraklès. - Théâtre de Delphes
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Vue du théatre de Delphes depuis le sommet des gradins - Entrée du stade d'Olympie
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L'entrée du stade d'Olympie : tunnel emprunté par les athlètes. - Théâtre d'Epidaure
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Le théâtre d'Epidaure : photo prise depuis le sommet des gradins. L'acoustique est exceptionnelle : les spectateurs entendent le personnage situé au centre de l'orchestre sans que celui-ci force sa voix. - Pavillon d'Angkor Vat
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Vue du pavillon d'Angkor Vat et de l'avenue des colonies. Exposition coloniale de 1931 de Paris. Cette photographie a été prise par mon père, Jean, alors âgé de 10 ans. Le titre est la reproduction de la légende inscrite à l'encre sur un album photo. Ce dernier a été déposé en donation au musée de l'histoire vivante de Montreuil. - pavillon de l'Algérie
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Vue du pavillon de l'Algérie construit pour l'exposition coloniale de 1931. Cette photographie a été prise par mon père, Jean, alors âgé de 10 ans. Le titre est la reproduction de la légende inscrite à l'encre sur un album photo. Ce dernier a été déposé en donation au musée de l'histoire vivante de Montreuil. - Pavillon d'Angkor Vat 3
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Vue du bâtiment, reproduction du temple d'Angkor Vat. Exposition coloniale de 1931 de Paris. Cette photographie a été prise par mon père, Jean, alors âgé de 10 ans. Le titre est la reproduction de la légende inscrite à l'encre sur un album photo. Ce dernier a été déposé en donation au musée de l'histoire vivante de Montreuil. - Pavillon d'Ankgor Vat 4
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Vue du bâtiment, reproduction du temple d'Angkor Vat. Exposition coloniale de 1931 de Paris. Cette photographie a été prise par mon père, Jean, alors âgé de 10 ans. Le titre est la reproduction de la légende inscrite à l'encre sur un album photo. Ce dernier a été déposé en donation au musée de l'histoire vivante de Montreuil. - Pavillon d'Angkor Vat 2
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Vue du pavillon reproduisant le temple d'Angkor Vat. Exposition coloniale de 1931 de Paris. Cette photographie a été prise par mon père, Jean, alors âgé de 10 ans. Le titre est la reproduction de la légende inscrite à l'encre sur un album photo. Ce dernier a été déposé en donation au musée de l'histoire vivante de Montreuil. - Pavillon des établissements français d\\\'Océanie
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Vue du pavillon des établissements français d'Océanie. Exposition coloniale de 1931 de Paris. Cette photographie a été prise par mon père, Jean, alors âgé de 10 ans. Le titre est la reproduction de la légende inscrite à l'encre sur un album photo. Ce dernier a été déposé en donation au musée de l'histoire vivante de Montreuil. - Pavillon du Maroc
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Vue du pavillon du Maroc. Exposition coloniale de 1931 de Paris. Cette photographie a été prise par mon père, Jean, alors âgé de 10 ans. Le titre est la reproduction de la légende inscrite à l'encre sur un album photo. Ce dernier a été déposé en donation au musée de l'histoire vivante de Montreuil. - Pavillon des missions protestantes
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Vue du pavillon des Missions protestantes. Exposition coloniale de 1931 de Paris. Cette photographie a été prise par mon père, Jean, alors âgé de 10 ans. Le titre est la reproduction de la légende inscrite à l'encre sur un album photo. Ce dernier a été déposé en donation au musée de l'histoire vivante de Montreuil. - Pavillon de l'exposition coloniale de 1931
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Vue d'un bâtiment de l'exposition coloniale de 1931 de Paris. Cette photographie a été prise par mon père, Jean, alors âgé de 10 ans. Aucune légende n'accompagne cette photographie sur l'album photo. Ce dernier a été déposé en donation au musée de l'histoire vivante de Montreuil. - Pavillon de l'exposition coloniale de 1931 (2)
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Vue d'un bâtiment de l'exposition coloniale de 1931 de Paris. Cette photographie a été prise par mon père, Jean, alors âgé de 10 ans. Aucune légende n'accompagne cette photographie sur l'album photo. Ce dernier a été déposé en donation au musée de l'histoire vivante de Montreuil. - Section de l'Armée
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Vue du pavillon "section de l'Armée". Exposition coloniale de 1931 de Paris. Cette photographie a été prise par mon père, Jean, alors âgé de 10 ans. Le titre est la reproduction de la légende inscrite à l'encre sur un album photo. Ce dernier a été déposé en donation au musée de l'histoire vivante de Montreuil. - Fête de la musique
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Chaque 21 juin, des musiciens amateurs ou professionnels se produisent gratuitement dans villes et villages, avec comme objectif de populariser la pratique musicale. Ici, dans la vieille ville d’Annecy. Lancée en France, en 1982, par Jack Lang, ministre de la Culture du gouvernement Mauroy, la Fête de la Musique est rapidement devenue une fête européenne et internationale et un exemple des transformations des pratiques culturelles dans les années 80, moins élitistes et plus populaires. - Bas-relief sur l'Arc de Septime Sévère
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Cet arc, orné de scènes guerrières illustrant les victoires de l'empereur contre les Parthes (197/202), est érigé à l'occasion des dix ans de règne de Septime Sévère. Les bas-reliefs présentés montrent les prisonniers caputrés et mis en esclavage par les Romains. - Le Colisée : intérieur
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La construction de l'amphithéâtre Flavien commença sous le règne de Vespasien aux alentours de l'an 70 et fut terminée par son fils Titus en 80. Pour l'inauguration, les jeux durèrent 3 mois et "consommèrent" 9.000 bêtes et sauvages et 2.000 gladiateurs. Le plancher en bois aujourd'hui détruit permet au visiteur actuel d'observer le système souterrain du Colisée, qui permettait l'organisation de spectacles complexes, dont les naumachies (batailles navales). La forme de l'amphithéâtre est légèrement en ellipse. La longueur maximale est de 188 mètres (l'axe de la photographie), pour 156 mètres de largeur. Il pouvait accueillir plus de 50.000 spectateurs, qui pouvaient quitter l'enceinte en quelques minutes. plus d'infos : http://fr.wikipedia.org/wiki/Colis%C3%A9e - Arles, vue générale de l'amphithéâtre
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Vue générale de l'amphithéâtre d'Arles. - Orange, Arc de triomphe
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L'arc de triomphe d'Orange se situe à l'extrémité de l'axe nord-sud (cardo) de l'ancienne colonie romaine d'Arausio. Haut de 19 mètres, il présente un décor tumultueux de combats, de trophées et de dépouilles. Sur l'architrave, on a retrouvé les mortaises d'accrochage d'une dédicace. La reconstitution de celle-ci permet de dater le monument des années 20-30. Il témoigne de l'importance que la cité romaine avait prise à cette époque. - Orange, théâtre
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La colonie romaine d'Arausio fut fondée sous le second triumvirat. Le théâtre de la cité (dont la façade principale est actuellement en cours de restauration) daterait, quant à lui, du règne d'Auguste. Pouvant accueillir 9000 spectateurs, c'est le mieux conservé des théâtres romains en Europe. Son mur de scène, mesurant plus de 100 mètres de large et presque 40 mètres de haut, était à l'origine recouvert de marbre. On dit que Louis XIV y voyait "la plus belle muraille de son royaume". - Caravelle
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Reconstitution d’une caravelle sur les berges du Guadalquivir à l’occasion du « cinquième centenaire de la découverte de l’Amérique ». Exposition universelle de Séville 1992. - The Globe : intérieur
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L'intérieur du Globe, théâtre élizabéthain fétiche de Shakespeare, a été reconstitué scrupuleusement avec les matériaux et les méthodes du 16e siècle. La scène dont le décor est très kitch (faux marbres,colonnes mixtes) est entre le paradis (au plafond) et l'enfer. Aujourd'hui encore, le public assiste aux représentations shakespeariennes, même s'il pleut pour les spectateurs dans la fosse. L'ambiance est nettement plus attentive aujourd'hui : les spectateurs n'interrompent plus les comédiens (que des hommes) et les prostituées ont quitté les étages supérieurs ! - The Globe : extérieur
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"The Globe" est aujourd'hui la fidèle reconstitution d'un théâtre élizabéthain qui a brûlé par deux fois. Il a été reconstruit au bord de la Tamise, tout près de son emplacement d'origine. Au 17e siècle, les représentations sont interdites par Cromwell durant sa dictature républicaine. Avec Charles II, les fêtes reprennent de plus belle en 1660, jusqu'aux deux catastrophes : la peste (1665) et le grand incendie de Londres (1666). - London Eye
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Construite avec les matériaux et les technologies de pointe de l'éaronautique, la grande roue du London Eye a été édifiée pour les commémorations du Millenium. Cette attraction marque une rupture dans le panorama londonien. plus d'info ici : http://www.londoneye.com/francaise/about.asp - Vaux le vicomte : le Grand Salon
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Le Grand salon, de forme ovale accueille les grandes fêtes du début du règne de Louis XIV. Celle du 17 août 1661 sera fatale à Fouquet qui sera arrêté quelques jours plus tard par D'Artagnan avant de finir ces jours en prison.