- Église de Benet (Vendée)
0 commentaire
vue 20765 foisDédiée à Sainte-Eulalie, cette église de style gothique flamboyant du XVe siècle a conservé une façade romane sculptée datant du XIIe siècle. Elle est prolongée sur la gauche par un porche au XVe siècle.
- Détail sculpté de l'église de Benet (Vendée)
0 commentaire
vue 16485 foisArcade latérale droite (sculpture du XIIe siècle). Un personnage décapité portant sur les épaules deux fardeaux feuillus piétine un dragon. Le contour de l'arcade est finement ornementé de motifs feuillus et étoilés.
- Menhir d'Avrillé
0 commentaire
vue 14680 foisMenhir dit du Camp de César, aussi appelé « le roi des menhirs », érigé dans ce qui est devenu aujourd'hui le parc de la mairie d'Avrillé (Vendée). Sa taille de 8,70 m de haut (dont 7 m au-dessus de la surface du sol) en fait le plus élevé de Vendée. Son poids est de 85 tonnes.
- tombeau de saint Sernin: le saint
0 commentaire
vue 17008 fois
Au centre, St Sernin. Son statut d’évêque est figuré par la crosse. Il tient le livre des évangiles contre sa poitrine ainsi que ses deux disciples, Honest et Papoul, situés respectivement à droite et à gauche, martyrs eux aussi. Cette scène se trouve sur le petit côté droit de l'autel. - tombeau de saint Sernin: arrestation
0 commentaire
vue 14488 fois
Dans cette partie droite de la face principale, le saint qui commence sa prédication a le livre des évangiles grand ouvert sur la poitrine. Il opère lors d'un temps de persécution envers les chrétiens, non encore tolérés. Il est arrêté par des soldats romains. Les têtes d'animaux entre leurs jambes symbolisent le paganisme, une forme d’inhumanité et de barbarie. - tombeau de saint Sernin: le martyr
0 commentaire
vue 13906 foisDans cette partie gauche de la face principale , Saint Sernin est attaché à la patte arrière d'un taureaux, aiguillonné par le bourreau et excité par deux chiens qui le mordent. Le saint semble serein car il bénit deux jeunes vierges qui se chargeront de son enterrement. La légende situe son arrestation à l'emplacement de l'actuelle place du capitole et le chemin de son martyr à pris le nom actuel de « rue du Taur » (taureau), qui relie la place du capitole à la basilique St Sernin.
- tombeau de saint Sernin: l'enterrement
0 commentaire
vue 14132 foisIl s'agit de la mise au tombeau du saint située sur le petit côté gauche. Au centre son corps étendu et soutenu par les deux vierges et des femmes tenant un vase d'aromate pour embaumer le corps. De son corps s'élève l'âme, symbolisée par un enfant (innocence), qui s'élève vers le paradis où elle est accueillie par un ange. Au fond le tombeau du saint est déjà le lieu du recueillement de femmes, certainement dans un but de guérison ou de miracle.
- tombeau de saint Sernin: détail
0 commentaire
vue 13565 fois
Sur cet agrandissement du visage de saint Sernin on distingue nettement le style très particulier sculpteur : visages triangulaires, fronts bas, yeux en amande avec un trou de chaque côté, nombreux plis sur les drapés. Cela permet d'attribuer ce travail au « maître de Cabestany » qui a travaillé en Espagne, dans le sud de la France et en Italie. Comme il est habituel à cette époque, le nom véritable du sculpteur est inconnu et il faut entendre derrière sa personnification le travail d'un atelier avec maître et élèves. - tombeau de Saint-Sernin
0 commentaire
vue 15628 foisCet autel en marbre blanc des Pyrénées se trouve dans l'église abbatiale de Saint Hilaire (Aude). Surnommé le « tombeau de Saint Sernin » il présente un bas relief qui retrace l'histoire du martyr de Saturnin (ou Sernin) en 250, à Toulouse, premier évêque de la ville. Sont représentés son arrestation, son martyr et son ensevelissement. Les reliques du saint dont la légende des étapes du martyr est fortement lié à l'histoire de la ville rose, se trouvent dans la basilique St Sernin de Toulouse qui est la plus grande église romane de France
- Notre-Dame
0 commentaire
vue 21632 fois
Notre-Dame de Paris, Ile de la Cité - Tympan de la cathédrale de Strasbourg
0 commentaire
vue 18420 fois - Saint - Nectaire - Intérieur
0 commentaire
vue 22052 fois
Vue intérieure, dos à l'autel, de l'église de St Nectaire - Saint Nectaire
0 commentaire
vue 21135 fois
Détail de l'ornementation de l'église romane de St Nectaire - L'église baroque d'Asfeld
0 commentaire
vue 16585 fois
L’église Saint-Didier d'Asfeld a été construite entre 1681 et 1683 selon le style baroque : elle n'est constituée que de lignes courbes. L’église comprend une imposante rotonde et un original ensemble vestibule-porche-clocher, le tout composant une figure inédite : on l’a comparée à un miroir à main ou une viole de gambe. Pour avoir davantage de photos et d'informations sur cette église baroque ardennaise : http://xxi.ac-reims.fr/hist-geo-gallery/index.php?/category/242 - Gisants de la basilique de St Denis : le mausolée de François 1er et Claude de France.
0 commentaire
vue 15708 fois
Le mausolée comporte 3 niveaux : en bas un bas-relief http://cliophoto.clionautes.org/picture.php?/1677/category/263 des guerres d'Italie permettant de monter le roi dans toute la force de l'âge. Le second niveau montre les transis de François 1er et son épouse. A partir du XIVè et du XVè siècle, les gisants des rois ne sont plus représentés comme dans la période précédente http://cliophoto.clionautes.org/picture.php?/3399/category/405 , les corps sont nus,comme des squelettes, des transis. Ici François 1er et son épouse sont représentés nus, le roi très grand (2m)et sa femme morte à 24 ans, n'est pas représentée selon son véritable aspect (elle aurait été obèse). Le 3è niveau montre le roi, son épouse et leurs enfants comme des orants qui prient et se présentent à Dieu. Le roi n'a ni sceptre ni couronne. Ce mausolée a été fait à la demande du fils de François 1er, Henri II. Une urne "monument de coeur" se trouve derrière le mausolée. - Gisants de la basilique de St Denis : la reine Frédégonde
0 commentaire
vue 15595 fois
C'est la 3è épouse de Chilpéric 1er, reine de Soissons et de Neustrie. Son tombeau est fait de pierres et fils de cuivre. Il a été rapatrié à la basilique de St Denis en 1816, il était précédemment à Saint Germain des Près. - Basilique de saint Denis : le mausolée d'Henri II et catherine de Médicis.
0 commentaire
vue 16003 fois
Le tombeau monumental d'Henri II et Catherine de Médicis a été réalisé de 1560 à 1573. A l'origine il était placé dans la rotonde des Valois qui devait devenir la sépulture dynastique des Valois. Il avait été commandé, en 1560, à Germain Pilon et Ponce Jacquio, par le Primatice, peintre et sculpteur nommé surintendant des Bâtiments du roi. Mais en 1719, la rotonde qui menaçait ruine dut être démolie. Seul le tombeau monumental fut conservé et remonté dans le bras nord du transept de l'abbatiale. Il est en marbre de différentes couleurs. Au niveau inférieur on trouve les transis du roi et de la reine. Une fois l’œuvre des sculpteurs achevée, Catherine de Médicis jugea son transi trop macabre et décharné ; elle le refusa et en fit sculpter un second que l’on peut voir à Saint-Denis (le 1er est au musée du Louvre). Aux quatre angles les monumentales vertus cardinales (prudence, force, tempérance et justice) de bronze et sur les bas-reliefs du soubassement les vertus théologales (charité, foi et espérance) Les deux gisants d’Henri II et de Catherine de Médicis situés dans une chapelle du chevet nord, sculptés en vêtement de sacre, ont les yeux grands ouverts et peuvent être interprétés comme une réplique en marbre des effigies funéraires au visage en cire, qui étaient réalisées lors des funérailles royales. Pour situer l'ensemble des gisants et tombeaux, se reporter au plan http://www.monuments-nationaux.fr/fichier/m_media/20/media_fichier_fr_Plan.Basilique.Gisants.PDF.1.pdf - Gisants de la basilique de St Denis : gisant d'entrailles de Jeanne de Bourbon
0 commentaire
vue 16068 fois
A partir de Charles V http://cliophoto.clionautes.org/picture.php?/3402/category/405 les rois sont embaumés. ici c'est le gisant d'entrailles de son épouse, Jeanne de Bourbon. Elle a dans la main un petit sac contenant ses viscères et son gisant est plus petit que le gisant du corps. Le gisant de corps ayant été détruit on l'a remplacé par le gisant d'entrailles qui se trouvait dans l'église des Célestins. - Gisants de la basilique de St Denis : Philippe III le Hardi
0 commentaire
vue 14745 fois
Ce gisant fait partie de la "commande de Saint Louis" réalisée autour de 1263. Le roi y est représenté couché, orienté vers l'Est,les yeux ouverts en attendant de monter au ciel, Il a un visage jeune idéalisé, à l'âge de 33 ans comme le Christ. Ses vêtements sont ceux du XIIIè siècle, il a les attributs royaux manteau, sceptre et couronne. Un animal à ses pieds : le lion, le gisant d'Isabelle d'Aragon sa 1ère épouse a des chiens à ses pieds, symboles de fidélité. Ces gisants sont en marbre. - Gisants de la basilique de St Denis : Charles V
0 commentaire
vue 15064 fois
C'est le premier portrait royal officiel de l'histoire de la sculpture funéraire. Le roi est représenté à l'âge de 27 ans (les rois précédents étaient représentés à l'âge de 33 ans comme le Christ et de façon idéalisée. On lui voit les rides du front et les veines de la main. Sa couronne, son sceptre et sa main de justice ont été détruits au moment de la Révolution. - Gisants de la basilique de St Denis : la commande de Saint Louis
1 commentaire
vue 21508 fois
Pour asseoir la légitimité de la dynastie des Capétiens Louis IX fait installer les gisants des rois mérovingiens et carolingiens dans la basilique qu'il fait modifier. Ici c'est la commande de 1263. Sur les 16 gisants d'origine il en reste 14 dont Pépin le bref, Charles Martel, Philippe IV le Bel, Philippe le Hardi ... - Contreforts et arcs-boutants de la basilique de Saint Denis
0 commentaire
vue 26928 fois
Les arcs-boutants sont un des éléments essentiels pour l'élévation de l'édifice. - La nef de la basilique de Saint Denis
0 commentaire
vue 20179 fois
C'est sous Louis IX que la nef de cette basilique a été réalisée. Deux tours surmontaient l'édifice dont la tour saint Louis (86m de haut) qui n'existe plus aujourd'hui. Saint Louis avait décidé de faire de ce lieu une nécropole royale. Dagobert y était déjà enterré (son tombeau est toujours visible)et Pépin le bref aussi. - Du transept au choeur de la basilique de Saint Denis.
0 commentaire
vue 20169 fois
Première église "gothique" la basilique de Saint Denis résulte de l'appui royal à Suger (ami d'enfance de Louis VI et précepteur de Louis VII). Après Suger, la volonté royale (de Louis IX) continuera à permettre les transformations de cet édifice. Les vitraux ne sont plus du tout d'origine, ils ont été démontés pendant la révolution pour permettre de récupérer le plomb qui les sertissait. - Déambulatoire - Basilique de Saint Denis
0 commentaire
vue 25795 fois
Dans la basilique de Saint Denis actuelle, seul le déambulatoire et ses chapelles datent de l'époque de Suger, environ entre 1140 et 1144. C'est la première constuction de ce qu'on nommera ensuite "art gothique" - Henri IV
0 commentaire
vue 18040 foisStatue équestre en bronze représentant le roi Henri IV en armure, couronné de laurier, un sceptre à fleurs de lys dans sa main droite. Une première statue équestre d'Henri IV datant de 1614 est abattue en 1792 et fondue pour faire des canons. La statue actuelle est l'œuvre du sculpteur François-Frédéric Lemot ; elle est inaugurée le 25 août 1818. Le site « l’Histoire par l’image » présente cette inauguration sur le Pont-Neuf, 25 août 1818 http://www.histoire-image.org/site/oeuvre/analyse.php?i=368
- EglNDamEcossai
0 commentaire
vue 22882 fois
Intérieur de l’église Notre-Dame-des-Ecossais. Décoration baroque très chargée, fresques au plafond illustrant la passion, de beaux retables. - EgliNDamEcoss
0 commentaire
vue 21901 foisPlace du Freyung à Vienne avec l’église Notre-Dame-des-Ecossais possédant un beau clocher à bulbe
- EglisDominica
0 commentaire
vue 21714 fois
Eglise des Dominicains de Vienne. Importante église baroque de 1631. - EglisDominica2
0 commentaire
vue 21940 fois
Eglise des Dominicains de Vienne. Décor extrêmement chargé de fresques. - EglisDominica4
0 commentaire
vue 21638 fois
Eglise des Dominicains de Vienne. Voûte de la nef extrêmement chargée de fresques et sculptures. - Chateaubriand
0 commentaire
vue 20809 foisÉcrivain et homme politique français 1768-1848. Ministre des Affaires étrangères de Louis XVIII, il participa à l'élaboration du congrès de Vérone en 1822 qui décida de l'expédition française d'Espagne en 1823.
- Ségovie, église San Esteban
0 commentaire
vue 31514 foisParmi la dizaine d'églises romanes que compte la ville de Ségovie, celle-ci, consacrée à San Esteban, est caractérisée par sa tour de style roman tardif.
- Ségovie, église San Martin
0 commentaire
vue 30963 foisParmi la dizaine d'églises romanes que compte la ville de Ségovie, celle-ci, consacrée à San Martin se caractérise par son portique roman qui entoure l'église sur 3 côtés. La tour est placée au centre de la nef.
- Métiers du Moyen-Age : charpentiers
0 commentaire
vue 33824 fois
Métiers du Moyen-Age : charpentiers Ceux qui édifient les charpentes des grands bâtiments : château, cathédrale… sont appelés charpentiers de haute futaie, car ils travaillent les grands arbres. D’autres sont menuisiers et ébénistes. Vitrail de la cathédrale de Bourges, XIII° siècle - Sculptures du fronton est du temple de Zeus à Olympie
0 commentaire
vue 26688 fois
Sculptures du fronton est du temple de Zeus à Olympie. Le thème en est la préparation de la course de chars entre Pélops et Oenomaos, légende fondatrice d'Olympie. Ici de droite à gauche : Zeus qui préside la course (il était au centre du fronton), puis Oenomaos et sa femme Stéropé vêtue d'un péplos et les bras croisés, enfin un serviteur accroupi devant le quadrige. - Zeus et Ganymède
0 commentaire
vue 20294 fois
Provenant de la période classique, ce groupe en terre cuite était un acrotère d'un trésor. Il illustre Zeus enlevant Ganymède. "Dans l'architecture classique, grecque et romaine antique, les acrotères (du grec ancien ἀκρωτήριον, puis du latin acroterium) sont des socles (piédestaux) soutenant des ornements, disposés au sommet ou sur les deux extrémités d'un fronton." tiré de Wikipédia - temple d'Héphaïstos
0 commentaire
vue 23516 fois
Sur l'agora d'Athènes, le temple d'Héphaïstos, l'un des mieux conservés du monde grec. Bâti en pierre et non en marbre il est légèrement plus petit et plus ancien que le Parténon. - Temple dorique
0 commentaire
vue 22131 fois
Couronnant une butte de 66 m, ce temple dorique du Vème av JC domine l'ancienne agora. Son portique compte en deux rangées 26 colonnes latérales et 12 frontales. - Théâtre d'Epidaure
0 commentaire
vue 22296 fois
Le théâtre d'Epidaure est le joyau du sanctuaire d'Esculape. Ici tous les Grecs de l'antiquité venait recevoir les oracles du dieu de la médecine. Cet édifice, construit au IVeme av JC sur la pente d'une colline, faisait face au vallon sacré d'Asclépios. Il pouvait recevoir 14 000 spectateurs. La cavéa comporte 55 rangées de gradins divisées en deux zones par un promenoir. - Théâtre de Dionysos
2 commentaires
vue 22926 fois
Théâtre de Dionysos adossé à l'acropole. Les vestiges actuels remontent au IVeme siècle av JC. A droite le long bâtiment en verre est le nouveau musée de l'acropole inauguré en 2009. - Temple de Zeus à Olympie
0 commentaire
vue 21294 fois
Sculptures du fronton est du temple de Zeus à Olympie. Zeus placé au centre préside aux préparatifs de la course de chars opposant Pélops à Oenomaos. Le quadrige de ce dernier est à gauche précédé d'un serviteur accroupi. - Atelier de Phidias à Olympie
0 commentaire
vue 22340 fois
Atelier de Phidias à Olympie. Ce bâtiment rectangulaire avait été spécialement conçu pour la réalisation de la statue de Zeus. Plus tard il a été converti en église paléochrétienne. - gymnase d'Olympie
0 commentaire
vue 23392 fois
Bases des portiques est et sud du gymnase d'Olympie, édifié au IIIeme av JC. - Leonidaion d'Olympie
0 commentaire
vue 22053 fois
Ruines du Leonidaion d'Olympie. Vaste hôtellerie construite au IVème av JC. De nombreuses chambres étaient disposées autour d'un atrium aménagé en bassin circulaire par les Romains. - Palestre d'Olympie
0 commentaire
vue 23623 fois
Colonnade du portique de la palestre d'Olympie. Cette salle de sports dessinait un carré de 66 m de côté. Les athlètes surtout les lutteurs s'entraînaient dans la cour. Tout autour il y avait des salles pour se baigner et s'oindre d'huile. - temple d'Héra d'Olympie
0 commentaire
vue 26546 fois
Vestiges du temple d'Héra à Olympie. On aperçoit des colonnes avec de typiques chapiteaux archaïques "en galette". - OlymTemZ
0 commentaire
vue 21443 fois
Grand temple de Zeus à Olympie. Bâti au Vème av JC, les énormes tambours des colonnes renversées par un tremblement de terre au VIème ap JC nous font deviner les impressionnantes dimensions de ce grand sanctuaire. Une colonne a été récemment remontée. - Philippeion d'Olympie : tholos
0 commentaire
vue 23343 fois
Ruines du Philippeion d'Olympie. Petit monument votif circulaire de style ionique. Elevé sur l'initiative de Philippe de Macédoine et achevé par son fils Alexandre. - DelpDans
0 commentaire
vue 19771 fois
Musée de Delphes. Groupe de trois danseuses en marbre du Pentélique surmontant un chapiteau à feuille d'acanthe. Il s'agissait d'un ex-voto érigé au dessus du parvis du temple d'Apollon à Delphes.