- Monument aux morts paroissial 1914-18 de Gorze (Moselle)
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vue 38090 foisPlaque commémorative de la Grande Guerre placée dans l'église d'une commune de la Lorraine annexée à l'Empire allemand entre 1871 et 1914. Composition datant de l'entre-deux-guerres, intéressante par son caractère réconciliateur sous la grammaire symbolique unificatrice du patriotisme français (couleurs tricolores, inscription, croix de guerre, ange féminin armé descendant de l'autel : Marianne sanctifiée ? Interprétation de Jeanne d'Arc ?). Seule distinction lisible, les vainqueurs y précèdent les vaincus. En effet, les cinq premiers noms sont ceux de militaires tombés sous l'uniforme français (initiales A.F. pour Armée française- NB : les 3 officiers, qui sont identifiables sur le site Mémoire des Hommes, ne sont d'ailleurs pas natifs de Gorze). En revanche, les quinze suivants sont ceux des hommes morts sous le drapeau allemand (dont une large moitié sur le front oriental, marque de la défiance du commandement allemand envers la loyauté présumée incertaine de ces citoyens récents de l'Empire).
- Le Moulin de Valmy
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vue 11315 foisPoint cardinal de la victoire française de Valmy le 20 septembre 1792, ce moulin en bois avait été construit en 1634. Point de mire de l'artillerie prussienne, il est brûlé lors de la bataille sur l'ordre du général Kellermann. Rétabli par ses meuniers, il est démoli après l'arrêt de son exploitation en 1831. Devenu un symbole de la lutte pour la liberté de la nation française, il fut reconstruit grâce à une souscription en 1939. Détruit par la tempête du 26 décembre 1999, il est relevé à nouveau en 2004.
- Mural Titanic
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La culture du ‘Mural’ a dépassé le simple cadre du conflit nord irlandais en s’emparant de sujets aussi divers que des conflits frères dans le monde ou bien encore des événement de l’histoire irlandaise comme la grande famine ou ici la construction du Titanic. Les chantiers navals Hardland & Wolff étaient alors les plus importants au monde, ils sont aujourd’hui toujours présents mais sur une emprise nettement plus réduite. Ils sont cependant immanquables grâce aux deux grues géantes, Sanson et Goliath, qui dominent l’horizon de Belfast et en sont les symboles les plus connus. - Mural Unioniste UVF
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Mural en faveur de l’UVF, l’Ulster Volunteer Force est une milice paramilitaire protestante très radicale ayant agit en Irlande du Nord afin de lutter contre l’IRA et laisser ainsi l’Irlande du Nord aux mains de la Grande-Bretagne. Au cours de son histoire, l’UVF a agit au travers d’une politique de contre-terrorisme sanglante, annonçant qu’à chaque meurtre de catholique britannique, un protestant irlandais serait abattu. Après des années de violences, ce n’est qu’en 1994 que l’UVF annonce officiellement un cessez-le-feu. Depuis, l’UVF n’agit que par la voie diplomatique et politique, et a annoncé en juin 2009 le début du démantèlement de leur arsenal. - Check point dans la Peaceline
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Avec l’arrêt des violences, les points d’ouverture dans la peaceline qui sépare quartiers protestants et quartiers catholiques sont plus fréquents. - Murals Guernica Divis Street
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Les nouveaux murals républicains de Belfast sont essentiellement réalisés dans Divis Street qui se prolonge par Falls road, artère principale de l’ouest de Belfast républicain. L’International Wall permet d’aborder différents sujets. A gauche, une fresque dénonçant la brutalité de Margareth Thatcher à l’égard des prisonniers politiques républicains, à droite, une reproduction de Guernica de Picasso réalisée en 2008. - International Wall Divis Street Belfast
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L’International Wall dans Divis Street , artère principale de l’ouest de Belfast républicain, permet d’aborder différents sujets. Les républicains ont rapidement diversifié les thèmes abordés sur les murals. Dans un premier temps, les murs ont permis de contrer la censure comme en période électorale par exemple. À côté de quelques fresques militaristes, une grande partie des murals a permis de faire connaître le sentiment des républicains sur les divers évènements qui se sont succédé pendant les années de troubles. L’entrée de Sinn Féin dans un processus démocratique a eu pour effet de ralentir les murals à caractère revendicatif. On trouve même des murals ayant un caractère commercial comme ici pour vanter une station de radio. - Murals BobbySands
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Fresque à la gloire de Bobby Sands à Falls Road à l’ouest de Dublin. Bobby Sands qui se sentait responsable de l’échec de la première grève de la faim décide d’être le premier à entamer un jeûne, le 1er mars 1981, avec la volonté d’aller jusqu’au bout. Il est devenu une figure emblématique du mouvement républicain. Cette fresque se situe sur le mur du centre de presse républicain et sert très souvent d’arrière-plan pour les interviews des leaders du mouvement. - Murals Divis Street Belfast
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L’International Wall dans Divis Street , artère principale de l’ouest de Belfast républicain, permet d’aborder différents sujets. Les républicains ont rapidement diversifié les thèmes abordés sur les murals. Dans un premier temps, les murs ont permis de contrer la censure comme en période électorale par exemple. À côté de quelques fresques militaristes, une grande partie des murals a permis de faire connaître le sentiment des républicains sur les divers évènements qui se sont succédé pendant les années de troubles. L’entrée de Sinn Féin dans un processus démocratique a eu pour effet de ralentir les murals à caractère revendicatif. On trouve même des murals ayant un caractère commercial comme ici pour vanter une station de radio. - Murals Palestine sur l'International Wall
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L’International Wall dans Divis Street , artère principale de l’ouest de Belfast républicain, permet d’aborder différents sujets. A gauche évocation de Kieran Nugent qui fut le premier prisonnier à refuser de porter l’uniforme carcéral en 1976 et à démarrer la lutte pour la reconnaissance du statut politique dont l’épisode le plus significatif sera la grève de la faim de 1981. Au centre une fresque de soutien au combat de la cause palestinienne. - Peaceline à Belfast
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La plus longue peaceline de Belfast (environ 1,5 km), côté Shankill Road. Depuis 1969, à Belfast-ouest, une peace-line de 8 mètres de haut sépare le quartier républicain de Falls Road et le quartier loyaliste de Shankill Road. C'est la plus célèbre des nombreuses clôtures de séparation que compte la ville. Les premiers murs de la paix ont été construits en juillet 1972, par les forces de l’ordre, afin de remplacer les « barricades » élevées trois ans plus tôt par la population. Ils servent à se protéger des affrontements entre les deux communautés. Initialement édifiés avec de simple tôles et des fils barbelés, car destinés à ne rester en place que six mois seulement, ces murs sont finalement devenus des constructions permanentes en raison de leur efficacité. Au fil des années, ils sont devenus plus longs, plus épais, et surtout plus nombreux. - Bogside à Derry
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Murals de Rossville Street dans le Bogside, quartier catholique de Derry en Irlande du Nord. A gauche « The Petrol Bomber » (le lanceur de cocktail Molotov) relate la bataille du Bogside qui dura trois jours en août 1969 et qui est un des points marquant le début de ce qu’on a appelé les troubles. Le personnage à droite avec le mégaphone, c’est Bernadette Devlin qui était une des leaders dans la lutte pour les droits civiques. La femme agenouillée avec le couvercle de poubelle rappelle la technique utilisée à cette époque pour avertir qu’une patrouille de l’armée ou de la police arrivait dans le quartier. Au-dessus d’elle, il y a deux émeutiers. Et enfin, le fameux mur portant l’inscription : Vous entrez maintenant dans le Derry libre qui existe toujours. - Vienne - Judenplatz
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vue 19618 foisLa Judenplatz était le centre du ghetto aux XIII et XIVème siècles. Le monument aux victimes de la shoah fut inauguré en 2000. Le peuple juif est incarné par une bibliothèque. La porte de la bibliothèque est verrouillée illustrant la perte irréparable des Juifs assassinés.
- Colonie de Karmet-Sur
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10 km au nord de Hébron. Exemple-type de colonie juive incluse en territoires palestiniens : dominant l'espace, une agglomération assez resserrée de maisons individuelles aux toits rouges, des plantations d'arbres. A flanc de colline, des bungalows, front pionnier de l'extension de la colonisation en cours au dépens des paysans palestiniens. - vimy
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10 KM d'Arras le Corps canadien s'empare de la crête de Vimy entre le 9 et le 12 avril 1917. Monument conçu par Walter Seymour Allward et inauguré en 1936, vient d'être rénové. - lhumanite blessee
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L'humanité blessée, détail du monument de Vimy - Pont Ouest de Mitrovica
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Dans Mitrovica, la traversée de l'Ibar ne peut se faire que par deux ponts : le pont ouest (ici sur la photographie) et le pont est. Ceux-ci sont des points de passage obligés pour aller d'une rive à l'autre. Cette séparation par l'Ibar explique les particularités de la fixation historique des communautés à Mitrovica. Le pont Ouest a été détruit pendant la guerre, à la fois comme axe de communication primordial, et comme symbole d'un lien possible entre les communautés. Ce nouveau pont a été conçu pour être grandiose, se voulant ainsi un symbole de la réconciliation entre les communautés, afin de créer un axe entre Serbes et Albanais de Mitrovica. Mais force est de constater que, même en temps de période de stabilité, les habitants ignorent ce pont : seuls s'y baladent les militaires de la KFOR, les acteurs de la communauté internationale, et anecdotiquement quelques journalistes, quelques chercheurs et quelques "touristes". Pendant les périodes de manifestations ou d'émeutes, ce pont devient un point focal de la violence puisqu'il permet le passage des émeutiers vers l' "autre" quartier, l' "autre" ville de Mitrovica, là où l' "Autre" vit. En définitive, l'espace pratiqué des habitants de la ville de Mitrovica se conçoit en fonction de ce pont : chacun reste dans son quartier et l'entre-soi communautaire se renforce au fur et à mesure du temps. Ces photographies ont été publiées dans mes mémoires de maîtrise (2004) et de DEA (2005) et les commentaires sont des extraits de ces mêmes documents. photographie prise en mars 2004, par B. TRATNJEK - La ligne Maginot - Fort de Frémont
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Le fort de Fremont, un ouvrage d'artillerie de la ligne Maginot. - Ligne Maginot - chemin de fer souterrain
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Voie de chemin de fer souterraine dans la ligne Maginot. Fort de Fermont. - Ligne Maginot - Fort de Frémont
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L'entrée du fort de Fermont, la ligne Maginot, au sud de Longwy. - Ligne maginot - locotracteur
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Locotracteur dans les souterrains de la ligne Maginot au fort de Fermont. il servait à tirer le train qui circulait dans les souterrains de la ligne Maginot. - Ligne maginot - Café
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Un café aménagé sous terre dans la ligne Maginot à Fremont - Ligne maginot - couloir
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Un couloir dans les souterrains de la ligne Maginot. - Ligne Maginot - Tourelles
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Deux tourelles à éclipse au fort de Fermont, la ligne Maginot. - Fort de Douaumont - Chambre de soldats
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Chambre de soldats au fort de Douaumont. En lire davantage sur le site du conseil général de la Meuse - Fort de Douaumont - Couloir
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Couloir à l'intérieur du fort de Douaumont. Fort de type Séré de Rivières. En lire davantage sur le site du conseil général de la Meuse - Fort de Douaumont - Entrée
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L'entrée du fort de Douaumont. En lire davantage sur le site du conseil général de la Meuse - Fort de Douaumont - Façade
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Façade du fort de Douaumont. En lire davantage sur le site du conseil général de la Meuse - Butte de Vauquois
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Butte de Vauquois à Verdun, observatoire exceptionnel et verrou stratégique. Ce fut une gigantesque termitière, les aménagements souterrains dépassèrent les 17 kilmomètres de puits et galeries. En lire davantage sur le site du conseil général de la Meuse - Cimetière américain à Verdun
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Cimetière américain. - Cimetière américain à Verdun
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Inscription sur une tombe d'un cimetière américain à Verdun. - Citadelle, Verdun
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Entrée de la citadelle de Verdun, durant la guerre elle a servi de centre logistique et pouvait abriter 10 000 hommes dans les 7 km de galeries souterraines. - Fort de Douaumont
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Tourelle à éclipse pour canon dans un angle du fort de Douaumont à Verdun. - Village détruit de Fleury-devant-Douaumont
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Près de Verdun se trouve le site du village détruit de Fleury-devant-Douaumont Ce village abritait 422 habitants avant la première Guerre Mondiale. Il fut pris et repris 16 fois en 2 mois par Français et Allemands. C\\\'est l\\\'un des neuf villages définitivement détruits lors de la Bataille de Verdun en 1916.Aujourd\\\'hui lieu de souvenir, Fleury est un espace boisé où les stigmates des furieux combats qui s\\\'y déroulèrent sont encore visibles. - Ossuaire de Verdun, carré musulman
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Carré musulman dans un cimetière près de l'ossuaire de Verdun. - Ossuaire de Douaumont
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L'ossuaire de Douaumont est une nécropole nationale bâtie en souvenir de la bataille de Verdun. Il abrite un cloître long de près de 137 mètres avec des tombeaux pour environ 130 000 soldats inconnus. En face de l'ossuaire se trouve un immense cimetière. - Tranchée
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Tranchée conservée dans la région de la butte de Vauquois près de Verdun. - Tranchée
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Vestige de tranchée près de Verdun. - Fort de Vaux, colombier
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Le colombier du fort de Vaux. L'un des pigeons,porteur du dernier message avant la reddition, sera cité comme un soldat à l'Ordre de la Nation, faisant honneur à la devise des colombophiles aux armées : « Franchir ou mourir ». - Fort de Vaux
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La façade du fort de Vaux. - Fort de Vaux
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Chambre - La butte de vauquois
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La butte de Vauquois, endroit stratégique, a été très disputée entre les deux camps. Les sapeurs y ont creusé des kilomètres de galeries qui infiltrant le réseau ennemi permettront à coups de tonnes d'explosifs de lui infliger le plus de pertes possibles. Voir aussi le site des "chemins de mémoire" - casques d'hoplite
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Série de casques d'hoplites au musée d'Olympie. - Casque d'hoplite
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A droite casque d'hoplite grec consacré par Miltiade, vainqueur à Marathon en 490 av JC. A gauche casque perse. Musée d'Olympie. - Cuisines de la ligne Maginot
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Cuisines aménagées dans la ligne Maginot à Fermont. - Fort Sénarmont de Bessoncourt
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Façade du fort Sénarmont de Bessoncourt, construit de 1883 à 1886, il fait partie de la ceinture du camp retranché de Belfort. Fort de type Séré de Rivières. Ici l'entrée avec un fossé et la caserne de gorge pour les officiers. - Fort de Bessoncourt
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Cour et grande caserne du fort de Bessoncourt, 1883-1886, système Séré de Rivières. Sur les dessus du bâtiment, des positions d'artillerie et d'infanterie. La partie au fond a été recouverte de béton après 1885 et l'apparition de l'obus torpille. - Fort de Meroux
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Fort de Meroux, Territoire de Belfort. Ouvrage intermédiaire d'infanterie construit de 1906 à 1914. Entièrement bétonné, il comptait jusqu'à 250 soldats. - Fort des Hautes Perches
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Fort des Hautes Perches, à quelques kilomètres au sud-est de Belfort. Bâti entre 1874-1879 selon les principes du système Séré de Rivières, il appartient au camp retranché de Belfort. Onze casemates sont enfoncées, elles abritent les hommes au rez-de-chaussée. Sur les dessus, un cavalier avec des positions à ciel ouvert pour l'artillerie d'action lointaine. - Hastings
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La petite ville d'Hastings au bord de la Manche, c'est ici qu'en 1066 Guillaume le Conquérant remporta la bataille qui en fit le maître du royaume. Sur la gauche on aperçoit les ruines du château où l'on peut accéder en funiculaire.