- Sculptures jaïnistes, Inde
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Lieu : Gwalior, Etat du Madhya Pradesh, Inde. La ville de Gwalior est surplombée par un fort. Avant d'arriver à ce dernier, le chemin est encadré par un ensemble de grottes où ont été sculptées des statues par les adeptes du jaïnisme au cours du XVème siècle. La plus grande des statues mesure 17 mètres de haut. Ces statues représentent les 24 Tirthankara ou maîtres jaïns vénérés sur les 720 qui auraient existé selon la tradition. Ils sont représentés généralement nus, debout ou assis sur un trône, un symbole (un animal le plus souvent) permet de les distinguer. Un certain nombre de statues ont été cependant endommagées sous le règne de l'Empereur Moghol Babur au XVIème siècle. - Gwalior, sculpture jaïn
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Lieu : Gwalior, Etat du Madhya Pradesh, Inde. La ville de Gwalior est surplombée par un fort. Avant d'arriver à ce dernier, le chemin est encadré par un ensemble de grottes où ont été sculptées des statues par les adeptes du jaïnisme au cours du XVème siècle. La plus grande des statues mesure 17 mètres de haut. Ces statues représentent les 24 Tirthankara ou maîtres jaïns vénérés sur les 720 qui auraient existé selon la tradition. Ils sont représentés généralement nus, debout ou assis sur un trône, un symbole (un animal le plus souvent) permet de les distinguer. - Centre de pélerinage des Musulmans Dawoodi Bohras en Inde
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Ville : Burhanpur, Etat du Madhya Pradesh, Inde. Lieu : le mausolée Dargah-E-Hakimi, centre de pélerinage des musulmans chiites appartenant à la branche des Dawoodi Bohras. Après le pélerinage à la Mecque celui-ci est un incontournable pour les croyants. Ces derniers se recueillent sur les tombes de leurs Da'i (synonyme : apôtres et théologiens ayant autorité sur les fidèles, ils sont considérés comme les représentants de l'Imam caché) Le mausolée, construit en marbre blanc, date des années 1780, et a été construit pour rendre hommage à Saiyyadi Abdul Qadir Hakimuddin (1665-1730), considéré comme un saint. Date de la prise de vue : 17 août 2017 - Triomphe du Christianisme
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Triomphe du Christianisme Tommaso Laureti peignit – en trompe-l’œil - une série de fresques du Triomphe du Christianisme sur les idoles païennes. Sur la voûte de la Chambre de Constantin, 1585. Musées du Vatican - Giordano Bruno
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Giordano Bruno Dominicain et philosophe, accusé d'athéisme et d'hérésie par l'Inquisition, il est condamné à être brûlé vif en 1600. Statue de Giordano Bruno sur le lieu de son exécution, Campo de' Fiori à Rome. - Couronnement de Charlemagne
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Le couronnement de Charlemagne, à Rome, la nuit de Noël, en l’an 800, constitua le fondement de l’Empire d’Occident. Cette fresque de 1517 , par Raphaël, fait très probablement allusion au concordat signé entre le Saint-Siège et le royaume de France en 1515 dans la mesure où Léon III (pape de 795 à 816) porte les traits de Léon X et Charlemagne ceux de François Ier. Chambres de Raphaël, Musée du Vatican - La Vision de la Croix
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La Vision de la Croix décrit la prémonition de l’empereur Constantin avant la bataille contre Maxence, selon laquelle il aurait remporté la victoire en remplaçant les aigles impériales des boucliers des soldats par la Croix, reconnaissant ainsi officiellement la religion chrétienne. La locution grecque "en toutoi nika" peut se traduire par « Par ce signe, tu vaincras ». Au fond, une vue de Rome avec la reconstruction des monuments anciens. La Vision de la Croix est une fresque peinte entre 1520 et 1524 par les élèves de Raphaël après la mort de ce dernier en 1520. Elle se trouve dans la chambre de Constantin, une des chambres de Raphaël dans le palais du Vatican. - La Bataille de Constantin contre Maxence
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La Bataille du pont Milvius (312 après J.-C.) entre Constantin et son rival, entraîna la défaite de Maxence (représenté en train de se noyer dans le Tibre) et la victoire du christianisme sur le monde païen. La fresque représente la scène avec une grande exactitude topographique, au nord de Rome, avec le Mont Mario (à gauche) où l’on reconnaît la Villa Madama que Raphaël construisit pour le pape, précisément à cette époque. Comme pour la Vision de la Croix, le projet de ce panneau est certainement de Raphaël, mais il fut exécuté par son élève Giulio Romano. Musées du Vatican, Chambres de Raphaël - Ecole catholique au XIX° siècle
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Ecole catholique au XIX° siècle Saint Jean-Baptiste de La Salle (1651-1719) est le fondateur de l'institut des Frères des Écoles chrétiennes. Cette peinture de Cesare Mariani fut réalisée à l’occasion de la Béatification de Jean-Baptiste de La Salle (1888) et donnée au Pape Léon XIII. Salle Sobieski de la Pinacothèque, Musée du Vatican. - La voûte de Saint-Ignace
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La voûte de Saint-Ignace Fresque d’Andrea Pozzo de 1685 sur la voûte de cette église dédiée à Ignace de Loyola, fondateur de la société des Jésuites. Représentative du style baroque de la Contre-Réforme, cette immense fresque en trompe-l’œil de seize mètres de large sur trente-six mètres de long, est une allégorie de l’œuvre missionnaire des Jésuites. Eglise Saint-Ignace, Rome - Église de Benet (Vendée)
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vue 20776 foisDédiée à Sainte-Eulalie, cette église de style gothique flamboyant du XVe siècle a conservé une façade romane sculptée datant du XIIe siècle. Elle est prolongée sur la gauche par un porche au XVe siècle.
- Détail sculpté de l'église de Benet (Vendée)
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vue 16494 foisArcade latérale droite (sculpture du XIIe siècle). Un personnage décapité portant sur les épaules deux fardeaux feuillus piétine un dragon. Le contour de l'arcade est finement ornementé de motifs feuillus et étoilés.
- Montant sculpté d'une maison du XVe siècle
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vue 18385 foisDétail de la maison du « Carroir doré » à Romorantin-Lanthenay (Loir-et-Cher). Poteau sculpté d'angle de cette maison à pans de bois de la fin du XVe siècle. L'archange saint Michel terrassant le dragon est placé du côté gauche. La figure de droite représente l'Annonciation.
- Menhir d'Avrillé
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vue 14690 foisMenhir dit du Camp de César, aussi appelé « le roi des menhirs », érigé dans ce qui est devenu aujourd'hui le parc de la mairie d'Avrillé (Vendée). Sa taille de 8,70 m de haut (dont 7 m au-dessus de la surface du sol) en fait le plus élevé de Vendée. Son poids est de 85 tonnes.
- tombeau de saint Sernin: le saint
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Au centre, St Sernin. Son statut d’évêque est figuré par la crosse. Il tient le livre des évangiles contre sa poitrine ainsi que ses deux disciples, Honest et Papoul, situés respectivement à droite et à gauche, martyrs eux aussi. Cette scène se trouve sur le petit côté droit de l'autel. - tombeau de saint Sernin: arrestation
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Dans cette partie droite de la face principale, le saint qui commence sa prédication a le livre des évangiles grand ouvert sur la poitrine. Il opère lors d'un temps de persécution envers les chrétiens, non encore tolérés. Il est arrêté par des soldats romains. Les têtes d'animaux entre leurs jambes symbolisent le paganisme, une forme d’inhumanité et de barbarie. - tombeau de saint Sernin: le martyr
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vue 13912 foisDans cette partie gauche de la face principale , Saint Sernin est attaché à la patte arrière d'un taureaux, aiguillonné par le bourreau et excité par deux chiens qui le mordent. Le saint semble serein car il bénit deux jeunes vierges qui se chargeront de son enterrement. La légende situe son arrestation à l'emplacement de l'actuelle place du capitole et le chemin de son martyr à pris le nom actuel de « rue du Taur » (taureau), qui relie la place du capitole à la basilique St Sernin.
- tombeau de saint Sernin: l'enterrement
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vue 14137 foisIl s'agit de la mise au tombeau du saint située sur le petit côté gauche. Au centre son corps étendu et soutenu par les deux vierges et des femmes tenant un vase d'aromate pour embaumer le corps. De son corps s'élève l'âme, symbolisée par un enfant (innocence), qui s'élève vers le paradis où elle est accueillie par un ange. Au fond le tombeau du saint est déjà le lieu du recueillement de femmes, certainement dans un but de guérison ou de miracle.
- tombeau de saint Sernin: détail
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Sur cet agrandissement du visage de saint Sernin on distingue nettement le style très particulier sculpteur : visages triangulaires, fronts bas, yeux en amande avec un trou de chaque côté, nombreux plis sur les drapés. Cela permet d'attribuer ce travail au « maître de Cabestany » qui a travaillé en Espagne, dans le sud de la France et en Italie. Comme il est habituel à cette époque, le nom véritable du sculpteur est inconnu et il faut entendre derrière sa personnification le travail d'un atelier avec maître et élèves. - tombeau de Saint-Sernin
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vue 15648 foisCet autel en marbre blanc des Pyrénées se trouve dans l'église abbatiale de Saint Hilaire (Aude). Surnommé le « tombeau de Saint Sernin » il présente un bas relief qui retrace l'histoire du martyr de Saturnin (ou Sernin) en 250, à Toulouse, premier évêque de la ville. Sont représentés son arrestation, son martyr et son ensevelissement. Les reliques du saint dont la légende des étapes du martyr est fortement lié à l'histoire de la ville rose, se trouvent dans la basilique St Sernin de Toulouse qui est la plus grande église romane de France
- Notre-Dame
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Notre-Dame de Paris, Ile de la Cité - Tympan de la cathédrale de Strasbourg
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vue 18430 fois - chevet de la cathédrale de Reims
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Le chevet de la cathédrale de Reims est un exemple d'art gothique. Les arcs-boutants, qui rejoignent les pilastres à l'extérieur, soutiennent la voute. A gauche, on aperçoit une partie de l'ancien palais des archevêques (de style classique), le palais du Tau, avec sa chapelle gothique pourvue, elle, de contreforts. - Cathédrale de Reims
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Cette photo de la façade ouest de la cathédrale Notre-Dame a été prise lors du spectacle "rêve de couleurs" - chapelle ste Thérèse, Hem
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Dans les années 1950, on assiste à un renouveau de l'art sacré. L'Eglise fait appel à des artistes contemporains. Philippe Leclercq, un industriel catholique, amateur d'art et mécène, confie au peintre non-figuratif Alfred Manessier la réalisation d'un lieu de culte dans son quartier de Hem, près de Roubaix. Ensemble, ils choisissent l'architecte suisse Herman Baur. Manessier réalise une première dans cette chapelle : un mur-vitrail. Le verre est inséré dans le béton. L'artiste s'inspire pour sa création de la spiritualité de Ste Thérèse. Entre l'autel et le vitrail, on distingue une sculpture d'Eugène Dodeigne repésentant la carmélite de Lisieux. L'autel permet au prêtre de célébrer la messe face au peuple, ce qui anticipe sur la réforme liturgique du concile Vatican II (1962-1965). - Basilique Saint-Pierre
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La basilique Saint-Pierre du Vatican - Intérieur St Pierre
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Cliché pris à l'intérieur de la basilique Saint-Pierre - tombe de jean-paul II
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La tombe de Jean-Paul II à l'intérieur de la basilique Saint-Pierre - La Pieta
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La PIeta de Michel-Ange protégée par une vitre blindée. - Statue St Pierre
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La statue de Saint Pierre dont l'un des pieds est usé par les baisers et les "caresses" des touristes et/ou des croyants. - Place Saint-Pierre
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Au premier plan, l'esplanade devant la basilique Saint-Pierre du Vatican; au second plan; la place Saint-Pierre. - Le temple de Saturne
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Vue prise du forum romain des vestiges du temple de Saturne. - Le Panthéon
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Le Panthéon, l'un des monuments de la Rome antique les mieux conservés. Il le doit à sa transformation en église. - Déambulatoire - Basilique de Saint Denis
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Dans la basilique de Saint Denis actuelle, seul le déambulatoire et ses chapelles datent de l'époque de Suger, environ entre 1140 et 1144. C'est la première constuction de ce qu'on nommera ensuite "art gothique" - Mosquée en Chine
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vue 17073 foisMosquée à Xi’an Xi’an ou Chang’an est une ancienne capitale de la Chine sous les Qin, les Han et les Tang. C’était le point de départ de la route de la soie, ouverte au II° siècle avant J-C. L’islam apporté par des marchands arabes ou persan explique la présence d’une communauté musulmane chinoise dans la ville. Une mosquée avec sa medersa se trouve dans le vieux centre cerné de remparts, non loin d’un véritable souk, le tout attirant de nombreux touristes.
- la maison carrée
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Photo de la Maison Carrée édifiée au Ier siècle après JC. - La Maison Carrée
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Photo de la façade prise en 2009. - Mausolée vert
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Le Mausolée Vert à Bursa. Le bâtiment octogonal est situé au milieu d'un jardin, il se distingue par ses faïences turquoises qui recouvrent ses murs extérieurs. Mehmet Ier mourut en mai 1421 à Edirne. Son corps fut amené quarante jours plus tard à Bursa pour être enterré dans le mausolée élevé sur ordre de Murat II. En plus du sarcophage du Sultan Mehmet Ier, il contient sept autres tombes appartenant à des membres de sa famille. - Damas - Mosquée - calendrier musulman
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vue 22173 fois - Damas - Mosquée - calendrier chrétien
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vue 21279 fois - Damas - Mosquée - cour intérieure
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vue 23765 fois - Damas - Mosquée - cour, fontaine
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vue 25458 fois - Damas - Mosquée - cour intérieure
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vue 21933 fois - Damas - Mosquée - salle de prière
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vue 21959 fois - Damas - Mosquée - salle de prière, minbar
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vue 25844 fois - Damas - Mosquée - salle de prière, mihrab
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vue 24903 fois - Damas - Mosquée - salle de prière, mihrab
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vue 22503 fois - Damas - Mosquée
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vue 20432 fois - Vienne - Synagogue
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Synagogue de Vienne, à l’intérieur des bâtiments de la communauté juive. Edifiée en 1826, elle demeure la seule parmi la vingtaine de synagogues de Vienne d’avant guerre. En raison de sa situation à l’intérieur d’un immeuble mitoyen elle a réchappé aux destructions de la nuit de cristal. Décor très riche, au centre la bimah, l’estrade où sera lu le texte sacré, derrière elle, l’arche sainte où est déposée la torah et que cache un rideau de velours orné des tables de la loi et des lions de la tribu de Juda. Sur les côtes tribunes pour les femmes. - EglNDamEcossai
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Intérieur de l’église Notre-Dame-des-Ecossais. Décoration baroque très chargée, fresques au plafond illustrant la passion, de beaux retables.