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- Embouteillage à New Delhi
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Embouteillage dans une rue située à côté de la mosquée Jama Masjid de New Delhi. Date de la prise de vue : 5 août 2017 - Construction para-sismique
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Afin de résister aux séismes les immeubles sont construit sur une armature d'acier (poutres verticales et horizontales dessinant les arrêtes). Cette structure souple qui sera ensuite habillée de planchers, cloisons peut se déformer sans se briser, contrairement à une structure en béton rigide mais cassante. On notera l'extrême soin apporté au chantier, ni déchets ni gravats ne souillent les abords. Les engins de chantier sont lavés en permanence et les camions roulent sur des bandes de moquette pour de pas salir la chaussée.... - Pont anti-sismique
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Les pont autoroutiers ou ferroviaires qui traversent les villes japonaises à une dizaine de mètres de haut sont conçus à partir de tronçons rigides reliés au niveau de chaque pilier par des portions articulées. En cas de secousse sismique les partie rigides bougent indépendamment les unes des autres afin d'éviter la rupture. - Terril de la petite Bacnure
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Terril de la petite Bacnure à Liège. Certains terrils laissent échapper des fumées. Ces fumerolles sont dues à la combustion du charbons résiduel. A l'intérieur d'un terril, la température peut atteindre jusqu'à 600 °C. - Tourisme d'excursion
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La Tunisie développe le tourisme d'excursions dans le désert comme en témoigne la marée de véhicules 4X4. - Ravinemt
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Murettes pour prévenir le ravinement dans la régon de Matmata, au sud de la Tunisie. - Abatti -
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Destruction de la forêt amazonienne en Guyane française pour l'agriculture , appelé "abatti" - Kilimandjaro
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Vue prise depuis la réserve d’Amboseli, Kenya Quelques zèbres éprouvent des difficultés à trouver de la nourriture dans une réserve abîmée par l’exploitation touristique intensive. Les arbres sont déchiquetés par les éléphants, le sol tassé par les passages répétés des 4x4 et minibus qui, pour aller au plus près des animaux sillonnent en tous sens la savane et fragilisent l’écosystème. A travers la brume de chaleur, on distingue, en territoire tanzanien, le Kilimandjaro, sommet de l’Afrique, avec ses 5895 mètres. Les neiges éternelles sont limitées en ce mois d’août 1993 ; elles le deviennent de plus en plus (de 12 km2 en 1900 à moins de 2 km2 avec le réchauffement climatique et la reprise de l’activité du strato-volcan). - Chuquicamata
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La mine chilienne de Chuquicamata est située dans le nord du Chili, à une quinzaine de km de la ville de Calama. C’est la plus grande mine de cuivre à ciel ouvert du monde : de forme elliptique, sa profondeur est de 800m. 13% du cuivre mondial se trouvent là, ce minerai est la principale ressource du pays, il est partie prenante de son histoire. Cette mine, qui appartenait à une grande société américaine, Guggenheim Bros, a été nationalisée par le gouvernement de S. Allende en 1971-72. Des grèves s’y déclenchèrent la même année, mobilisant 8000 mineurs et contribuant à la chute tragique d’Allende. Aujourd’hui la mine appartient à 100% à l’Etat chilien, par le biais de la Codelco. La mine est très mécanisée, utilisant d’énormes engins, excavatrices, camions géant qui ne peuvent rouler que précédés par une voiture-pilote. - cuivre
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Minerai de cuivre de Chuquicamata. Il est transformé en métal dans les installations dépendant de la mine avant d'être exporté. Le site apparaît très pollué. - Grande Barrière
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Au large du Queensland, la Grande Barrière de corail est un récif qui s'étend sur 2600 km de long. C'est un écosystème fragile, menacé par le réchauffement climatique et surtout par son exploitation touristique malgré des restrictions de plus en plus sévères. Ici des plongeurs par quelques mètres de fond découvrent un bénitier géant. - Défendre la falaise
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Ce qui reste des ouvrages destinés à défendre la falaise d'Ault. Ceux ci, en mauvais état, n'ont pas été rénovés du fait de leur coût, de leur efficacité discutée (ralentissent le recul mais ne le stoppent pas), de l'endettement de la commune, du peu de recette fiscales de celle-ci (la moitié de la population paie l'impôt) - Falaises d'Ault
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Il s'agit des falaises d'Ault, commune littorale située à l'extrémité sud-ouest de la Somme. Elles forment le début des falaises du pays de Caux. Comme la plupart des falaises, celles-ci reculent et régulièrement des pans de celles-ci s'écroulent. Ici comme à de nombreux endroits du littoral de la commune, ont été installés des panneaux prévenant les touristes des dangers d'éboulement - Recul des falaises
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Du fait du recul régulier du trait de côte, les barrières de protection sont elles-mêmes en danger. Au second plan, la première ligne de barrière a été victime d'un éboulement d'où l'implantation un mètre plus loin d'un second rideau de protection. - Le risque à Ault
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Cette photo illustre le risque du à un élément naturel. Toutes les maisons en bord de côte, et près du bord de la falaise sont, à terme, condamnées. On voit que cette maison a été abandonnée par ses propriétaires, les fenêtres sont obstruées. Les propriétaires de maisons se situant près de la falaise souhaitent souvent s'en débarasser mais ils trouvent peu de preneurs et à des prix très bas. - Incendie
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Forêt d'eucalyptus incendiée dans la banlieue de Sydney au début de l'été austral. La ville de Sydney est menacée chaque année par des incendies qui ravagent les forêts alentours constituées d'eucalyptus, arbres qui s'enflamment très vite. De plus en plus, du fait de la forte croissance de l'agglomération, des lotissements sont menacés et doivent être évacués. - Valdez
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Dominé par un glacier suspendu, le terminal pétrolier de Valdez est l'aboutissement de l'oléoduc transalaska. C'est là que les navires pétroliers chargent le pétrole avant de l'acheminer vers la côte ouest des Etats-Unis. C'est dans ce terminal que l'Exxon Valdez avait chargé sa cargaison juste avant son naufrage non loin de là. On aperçoit les cuves de stockage ainsi que diverses installations dans la brume d'un matin d'été. - Écobuage
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Ecobuage sur la piste qui mène au site aborigène d'Ubirr dans le Parc de Kakadu, Territoires du Nord. Le feu de brousaille est allumé par les aborigènes qui le contrôlent. Cette scène se passe vers Noël, au début de la saison des pluies, ce qui limite les risques d'incendie non contrôlé. Rien à voir avec les feux qui ravagent les forêts d'eucalytus du littoral méridional de l'Australie, devastant jusqu'à certaines banlieues de Sydney, preuve d'une gestion incertaine d'un milieu très fragile. - Tarawera
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Près de Rotorua, dans l'Ile du Nord, le volcan Tarawera ou lance brûlée" domine le lac du même nom. En 1886 il entra en éruption, faisant disparaître le village maori de Te Wairoa, tuant 153 personnes. - Déchets sur le littoral à Pourville
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Cette photographie présente un éventail des déchets contenus dans la mer. Ces derniers se retrouvent à chaque tempête sur nos plages. Ici, suite à une mer agitée à Pourville (en Seine-Maritime) le 19/12/2004 : des bouteilles, des tongs, des débris de plastique,... sont venus s’échouer sur le littoral. - Plan d'eau de mer de Brétignolles-sur-mer
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Ce plan d’eau de mer se situe sur la commune de Brétignolles-sur-mer en Vendée. Il s’agit d’un aménagement touristique réalisé en 1992. D’une superficie de 15 000 m², ce plan d’eau est alimenté par une pompe d’un débit de 350m3/h. L’eau de mer est pompée à marée haute et la vidange se produit automatiquement à marée basse par trop plein. Pour limiter la prolifération des micros algues, des bigorneaux ont été introduits. Il s’agit d’une alternative intéressante pour ceux qui trouvent l’océan Atlantique trop froid et trop agité tout en ayant la possibilité de se baigner dans de l’eau de mer. - Sommet de l'Etna
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Situé à l'est de la Sicile, l'Etna est, avec le Stromboli, le volcan européen le plus actif. Au premier plan le cratère responsable de l'éruption de 2002, dont la coulée engloutit de nombreuses installations touristiques construites sur ses flancs. En arrière-plan les cratères du nord-est et du sud-est (3350m d'altitude), celui-ci étant en activité au moment de la visite, sans que celle-ci soit annulée! - La mer de Glace
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La Mer de glace dans le Massif du Mont Blanc. Conséquence du réchauffement de la planète, ce glacier de 14km de long (le 2ème d'Europe)régresse. Il est un des hauts lieux touristiques de cette région alpine car on y accède facilement grâce au chemin de fer du Montenvers. - Stromboli
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Stromboli vu de Panarea. Au nord-est de la Sicile, l'archipel des Eoliennes ou Lipari, réunit des volcans actifs dont le plus connu est le Stromboli. Le cône semble parfait vu de l'île de Panarea. On aperçoit à gauche du volcan le petit village de Ginostra qui reçut de gros blocs de lave lors de l'explosion du 5 avril 2003. - Valle del Bove
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Coulées de septembre 2004 dans la valle del Bove. Située à l'est de l'Etna, la Valle del Bove (vallée du boeuf) est due à l'effondrement ancien d'une caldeira. Les coulées de cratères sommitaux se dirigent naturellement de ce côté. - Refuge de Piano Provenzana
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Au sommet de l'Etna le refuge de Piano Provenzana a été englouti par la coulée de 2002. L'intérêt touristique de l'endroit est tel (découverte du volcan en été, ski en hiver) que depuis de nouvelles installations touristiques ont été construites. - Pentes du Stromboli
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Les pentes du Stromboli vues du village de San Bartolo. Toutes les dix minutes environ, le calme de ce petit village est interrompu par de violentes détonations : le Stromboli expulse des matériaux incandescents par un de ses cratères sommitaux. En janvier 2003, les habitants de l'île furent presque tous évacués tant les explosions semblaient atteindre un paroxysme. Comme l'Etna, et malgré un danger encore plus grand, Stromboli ne cesse d'attirer des touristes sur son sommet: le spectacle des éruptions qui se succèdent à intervalles assez régulier est de toute beauté. - glacier Columbia
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Le glacier Columbia termine sa course dans la baie du Prince William. Cette baie fut gravement polluée en 1989 par le naufrage du pétrolier Exxon Valdez. - Ravages du cyclone Andrew en Floride
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1) Localisation : A l’Est de Miami, la métropole de l'Etat américain de Floride, au SE des Etats-Unis se situe le parc naturel des Everglades. Placée sur la trajectoire des cyclones tropicaux (ou Hurricanes), la Floride est régulièrement touchée par leur passage entraînant des destructions importantes. 2) Présentation du document : Une forêt de palétuviers et de cyprès chauves poussant sur tourbe sableuse a été détruite par le passage du cyclone Andrew. Les troncs sont déchiquetés, ce qui laisse apparaître une végétation secondaire (couche basse) qui reprend vite ses droits sous climat tropical. 3) Conséquences humaines et spatiales : Quatre ans après le passage du cyclone Andrew en Floride le 24 août 1992, les stigmates de cette catastrophe sont toujours visibles. Une forêt de palétuviers, à Long Pine key, à la limite du parc des Everglades, le troisième plus grand parc national américain créé en 1947. Ce parc est occupé par une mangrove unique de 30 000 km² formant une réserve de la biosphère (et patrimoine mondial de l’UNESCO). Cette réserve forestière a surtout été touchée sur sa bordure orientale et le passage du cyclone a occasionné 30 milliards de dégâts. Un autre danger est représenté par la progression du front urbain périphérique de l’agglomération de Miami. Les cyclones tropicaux prennent naissance dans les mers tropicales près des côtes africaines et forment des tourbillons de vents atteignant les 300 km/h autour de l’oeil à l’approche des côtes américaines. La télédétection permet aujourd’hui de les détecter rapidement dans l’Atlantique et des plans de prévention peuvent être alors engagés. Si la prévention permet de limiter l’ampleur de la catastrophe, les destructions sont inévitables. D’autres pays comme le Bangladesh dans le golfe du Bengale ne bénéficient pas de tels moyens de prévention, les conséquences du passage de ces cyclones ajoutées aux autres particularités du pays (mousson, platitude, Gange) sont dramatiquement amplifiées. - Incendies de forêts en Corse
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1) Localisation : Sur la côte Ouest de la Corse au Nord d’Ajaccio, un incendie ravage le maquis (formation végétale secondaire, basse et dense issue de la destruction de la forêt primaire de chênes-liège sur sols granitiques). 2) Présentation du document : Guidé par les vents (Mistral, Sirocco ou Libeccio), l’incendie se déplace rapidement dans un milieu peu ou pas entretenu. Ces forêts peu parcourues voient se multiplier les incendies de grandes surfaces forestières. 3) Conséquences humaines et spatiales : La Corse, île et région française, annexée par la France en 1768, a été partagée en deux départements depuis 1975. Cette île sous-peuplée, a vu ses activités traditionnelles agricoles se transformer inexorablement : abandon des châtaigneraies (dans la Castaniccia), de l’entretien et des récoltes de liège, de l’entretien des parcours pastoraux. Les incendies affectent tous les milieux de climat méditerranéen mais aussi continental sec pendant la sécheresse estivale (pourtour méditerranéen, Californie, SE Australie). Le feu est régénérateur tant qu’il ne met pas en jeu les voies humaines, ne détruit pas ses installations et qu’il n’empêche pas la reconstitution de l’écosystème par sa répétition au même endroit. Seuls l’entretien de pare-feux, les actions de débroussaillement, le peuplement d’essences moins combustibles, le fait de maintenir la facilité l’accès aux équipes de sauveteurs et pompiers peuvent permettre une véritable gestion. Le rôle des services publics s’avère également essentiel dans la responsabilité de tous les citoyens-usagers. - Montagne Pelée et Saint-Pierre
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Saint-Pierre, fondée en 1635 au pied de la Montagne Pelée est peu à peu devenu “le petit Paris des Antilles”, capitale économique et intellectuelle non seulement de la Martinique mais aussi de l’ensemble colonial français d’Amérique. Ville prospère, elle est peuplée d’environ 30 000 habitants au début du XX° siècle. La Montagne Pelée, plus haut sommet de la Martinique (1397 m), est un volcan régulier qui s'étend sur une base circulaire de 13 km. De petites éruptions eurent lieu en 1792, 1851, avant celle du 8 mai 1902, qui détruisit totalement le site. Les ruines de St-Pierre constituent au même titre que, plus au sud, La Pagerie, lieu de naissance de Joséphine de Beauharnais, l’un des sites les plus visités de la Martinique. Un itinéraire à travers la ville permet de découvrir l’ancien théâtre qui pouvait accueillir 800 personnes, l’ancienne cathédrale, l’église du Fort, le cachot de Cyparis seul rescapé de la catastrophe, le musée vulcanologique créé en 1932. En 1990 Saint-Pierre est classée ville d’Art et d’Histoire, ce qui lui permet de mieux mettre en valeur des ruines réoccupées dès les lendemains de la catastrophe par une population de pêcheurs sans grands moyens financiers. Mais les ruines de Saint-Pierre ne sont pas seulement situées sur terre ! C’est aussi un grand musée maritime. Avec un gros inconvénient : il est situé entre 20 et 85 mètres de profondeur ! Le tourisme historique, avec palmes et bouteilles se développe aussi sous l’eau depuis peu ! - un an après le feu
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Un an après les incendies de l'été 2005 où, dans le concelho de Pampilhosa da Serra (district de Coïmbra) 25 000 hectares ont brûlé, la nature essaye de revivre : les petites pousses de pin atteignent 15 à 20 cm, contrairement aux eucalyptus qui poussent plus vite (et qui brûlent plus vite aussi). - La repousse des eucalyptus
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Les forêts dans la région centre du Portugal sont constituées d'eucalyptus et de pins. Après les incendies, les eucalyptus repoussent spontanément. Au bout d'un an, ils font déjà un mètre de haut. Pour que l'arbre pousse correctement, il faut cependant couper le tronc brûlé. - Forêt 15 ans après le feu
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Dans la Serra do Açor (district de Coïmbra, concelho de Pampilhosa da Serra) le feu détruit les forêts à intervalles réguliers. Ici l'incendie est passé il y a 15 ans. La forêt a repoussé et a été épargnée par les incendies de 2005, jusqu'au prochain ! - Hélicoptère bombardier
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Eté 2005 : village cerné par les flammes, photo prise par un cousin. L'hélicoptère bombardier, relayé par des avions tente de contenir un feu qui progresse très vite, attisé par le vent. Seuls les villages sont protégés, toute la montagne brûle. - Malhada do Rei un an après le feu
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Un an après le passage du feu, le village de Malahada do Rei, dans le concelho de Pampilhosa da Serra, district de Coïmbra. Toute la montagne a brûlé l'été 2005, jusqu'à 50 m des maisons. - Montagne brûlée
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Un an après les incendies de l'été 2005, la montagne (Serra do Açor) est brûlée. Les éoliennes installées depuis témoignent de la puissance du vent qui a attisé le feu. - Publicité citoyenne contre les incendies de forêt
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Les supermarchés ont participé à la campagne de prévention contre les incendies de forêt durant l'été 2006 : ici c'est Intermarché qui finance l'achat de 15 voitures pour les pompiers. "Aidez nous à éteindre ce feu" dit l'affiche. Une partie des sommes dépensées par les clients sera consacrée à ces achats. Les caissières des Intermarchés portaient même des tee-shirts rouges avec comme inscriptions :"pompiers honoraires". - Affiche citoyenne en faveur des pompiers
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Durant l'été 2006, dans les supermarchés, de nombreuses affiches sponsorisées par des grandes marques incitaient les Portugais à un comportement citoyen face aux risques d'incendies : "Si vous ne pouvez pas combattre les incendies, aidez ceux qui savent", dit l'affiche, "offrez des masques aux pompiers, chaque emballage aide" - Feu tout juste éteint
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Quelques heures après le feu... - Feu de forêt
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L'été 2005 au Portugal a vu brûler plusieurs centaines de milliers d'hectares de forêts, ici dans le concelho de Pampillosa da Serra, dans la région Centre, district de Coïmbra. - Village menacé par le feu été 2005
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Cette photo prise par un cousin dans le village cerclé par les flammes pendant 2 jours et 2 nuits, montre l'impuissance des habitants et des pompiers qui ne pouvaient qu'arroser les maisons en bordure de village, couper les arbres trop proches. Le vent très fort et la sécheresse de l'été 2005 ont causé de très gros dégâts. - Le zouave du Pont de l'Alma
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Le célèbre zouave du Pont de l'Alma est le premier indicateur du niveau des crues de la Seine. "Le premier pont, en pierre, a été construit de 1854 à 1856 (...) C'est Napoléon III qui l'a inauguré, en lui donnant le nom de sa première victoire en Crimée. Les piles sont d'ailleurs ornées de quatre statues qui représentent des soldats de diverses armées qui ont participé à la bataille : un grenadier, un zouave, un chasseur et un artilleur." Mais pourquoi ne reste-t-il que le zouave ? Réponse grâce à ce site d'où j'ai extrait les commentaires ci-dessus : http://lefildutemps.free.fr/paris/pont_alma.htm Vous y trouverez de plus des photographies des inondations de 1910. - Glissement de terrain
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Un glissement de terrain a coupé cette route en Amazonie équatorienne, tout le versant est descendu en masse: les profondes altérites saturées d'eau par les pluies abondante ont cédé au long de la tranchée ouverte par la route. - Route menacée en Amazonie
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La route BR319 (Porto Velho - Manaus), une des rares asphaltées en Amazonie, a été plusieurs fois emportées par les pluies, et ce tronçon encore ouvert risque de l'être sous peu. - Ravenne : inondation de 1636
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Ravenne a vécu tout au long du XVI ème siècle sous la menace continue des rivières Ronco et Montone qui causeront une terrible inondation en mai 1636 avec un niveau qui atteindra le second étage des habitations. A partir des années 1700, on construit un canal interne et les célèbres détournements du Ronco et du Montone. C'est le cardinal Alberoni qui conçoit la réunion des deux rivières en un seul lit au sud de la ville. - Inondations à Avignon
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A la fin novembre 2002, Avignon est sous les eaux. Les deux rangs de platanes, au second plan, figurent le tracé du boulevard circulaire, entre le Rhône et les remparts médiévaux. Ces inondations s'inscrivent dans un cycle d'intempéries : en septembre, grossi par un épisode météorologique de type « cévenol », le Rhône avait déjà semé la désolation (catastrophe d'Aramon, cf. le travail des élèves du collège d'Aramon :http://perso.orange.fr/college.aramon/crues/cruesndx.htm). Il récidiva l'année suivante, provoquant d'importants dégâts à Arles et en Camargue (13000 m³/s mesurés le 4 décembre 2003 à Beaucaire, alors que la moyenne se situe aux alentours de 1700 m³/s). Les travaux hydrauliques réalisés sous le mandat d'E.Daladier, maire d'Avignon entre 1953 et 1958, ont contribué à protéger la cité des Papes. Cependant, lors des crues majeures, comme en en 2002 et 2003, on se rabat sur les techniques ancestrales : les portes des remparts sont obstruées avec des planches et de la terre afin de protéger le centre-ville. - Inondation près de Besançon
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10 mars 2006, le Doubs en crue au N-E de Besançon. A gauche, on aperçoit les premiers lotissements de la commune de Thise, à droite le village de Chalèze, (7 km au N-E de Besançon). Entre les deux, la Nationale 73. L’inondation est due à la conjugaison de deux facteurs : - un épisode neigeux important les 4 et 5 mars (32 cm à Besançon le 4 mars) - un redoux et des pluies entraînant une fonte brutale dans les jours suivants. Résultat : d’un niveau normal de 3 m à Besançon le 9 mars à minuit, la rivière franchit une cote de 5,50 m 24 heures plus tard et atteint 7m 20 le 10 mars à 21 heures. La plaine est donc inondée. En bas de la photo, les traînées foncées et les arbres laissent percevoir le lit de la rivière. La route départementale (à droite) est coupée mais pas la nationale qui traverse la plaine. (Voir la photo "témoin" pour comparaison). - Inondation près de Besançon (2)
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10 mars 2006, le Doubs en crue au N-E de Besançon, ici sur la commune de Chalezeule, limitrophe de Besançon. La délimitation du lit du Doubs peut se voir en haut à droite et en bas par les alignements d’arbres normalement sur les berges. Les deux traits blancs parallèles sont les barres transversales des buts du terrain de foot. L’inondation est due à la conjugaison de deux facteurs : - un épisode neigeux important les 4 et 5 mars (32 cm à Besançon le 4 mars) - un redoux et des pluies entraînant une fonte brutale dans les jours suivants. Résultat : d’un niveau normal de 3 m à Besançon le 9 mars à minuit, la rivière franchi une cote de 5,50 m 24 heures plus tard et atteint 7m 20 le 10 mars à 21 heures. - Inondation près de Besançon (3)
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La départementale 411 entre Besançon et Chalèze le 10 mars 2006 vers 10 heures du matin. Les pompiers interviennent avec plusieurs véhicules pour venir en assistance à des automobilistes imprudents et pour assurer l’évacuation éventuelle de certains riverains. La crue a commencé dans la nuit, dans la matinée le Doubs atteint une cote de 6m 50 (pour une cote normale d’environ 3 m). Le maximum est atteint dans la soirée à 7 m 20. L’inondation est due à la conjugaison de deux facteurs : - un épisode neigeux important les 4 et 5 mars (32 cm à Besançon le 4 mars) - un redoux et des pluies entraînant une fonte brutale dans les jours suivants.