- Usine d’électro-métallurgie
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L'arrivée de l'hydroélectricité à la fin du XIX° siècle est une nouvelle richesse qui modifie le paysage montagnard et son économie. Elle permet le maintien ou l’essor des industries alpines traditionnelles, telles la papeterie et la métallurgie, et suscite le développement d'industries nouvelles grosses consommatrices d’énergie à bon marché: l'électrochimie et l'électrométallurgie... Se créent aussi des usines pour la fabrication de tout le matériel nécessaire : conduites forcées, turbines, vannes, matériel électrique... Ex-usine Péchiney, vallée de la Romanche, Isère - Neige
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En montagne, il y a de la neige ! et il faut s’équiper. - Chalet d’alpage
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L’ alpagiste monte dans ce pâturage de haute montagne fin mai, début juin, en fonction du temps ; en tous cas lorsque il n’y a plus de neige et qu’il y a assez d’herbe. Il y reste jusqu’à fin septembre ou mi-octobre, là encore selon le temps et les températures (une herbe qui a gelé n’est plus consommable par les animaux). Le chalet est une habitation en bois, posée sur un soubassement de pierre ou de maçonnerie, aux murs épais, et aux petites ouvertures. Au pied du massif des Aravis (Haute-Savoie) - Mont-Blanc
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Vu depuis les Préalpes calcaires du massif du Parmelan, au-dessus d’Annecy. Le lapiaz, au premier plan, est une formation géologique de surface dans les roches calcaires, créée par le ruissellement des eaux de pluie qui dissolvent la roche. - Panneau publicitaire en montagne
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Dans un contexte de concurrence nationale et internationale entre stations, la promotion prend une grande importance. Elle se fait par les sportifs, la publicité, les compétitions (de préférence internationales et donc assurées d’une bonne couverture médiatique), et, fin du fin, l’organisation des Jeux Olympiques d’hiver, gage d’une reconnaissance mondiale et prélude à des retombées économiques intéressantes ! En France, Grenoble 1968, Albertville 1992 et candidature ratée d’Annecy pour 2018. - Parcs régionaux en montagne
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Des mesures de préservation de l’environnement sont mises en oeuvre pour ne pas dégrader, gaspiller un patrimoine (naturel ou construit) porteur de sens, riche de son originalité et de ses traditions. Il s’agit aussi de ne pas “tuer la poule aux oeufs d’or”, or blanc, évidemment ! La Loi Montagne de 1985 précise ces mesures. - Pente
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Une contrainte très forte en montagne. La pente limite les espaces utilisables par l'homme. Lorsqu’elle est trop forte, construire des maisons devient difficile, cultiver la terre presque impossible. A la pente s'allie la gravité. Toutes deux rendent les versants plus vulnérables au ruissellement, favorisent le déclenchement des avalanches, les chutes de pierres, provoquent des glissements de terrain. - Usine en montagne
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De grandes industries d’ameublement se sont souvent installées à proximité immédiate de la matière première. Ainsi, à Thônes, au pied de la chaîne des Aravis et de ses grandes forêts d’épicéas et de sapins, les usines Mobalpa occupent plusieurs milliers de m2 . Le petit atelier de menuiserie qui fabriquait du mobilier traditionnel savoyard, des skis, des cercueils... se lance, à partir de 1907, sur un créneau nouveau pour l’époque : la fabrication de cuisine intégrée. Devenue n° 1 en France, l’usine emploie aujourd’hui plus de 500 personnes dans la vallée et contribue à maintenir en activité l’industrie du bois dans la région. - Alpages
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Alpage, Alpe, Aulp... Quel que soit son nom, c’est le pâturage de haute montagne qui résonne du son des cloches et qui accueille les troupeaux en été. L’herbe y est de meilleure qualité que dans la vallée où, en été, il fait chaud et sec; il faudrait, alors, changer très souvent les animaux de parcelles. La montée à l’alpe permet de regrouper des activités qui seraient plus éparpillées en plaine et de conserver l’herbe de la plaine pour des stocks de foin utilisables en hiver. La meilleure qualité de l’herbage permet d’obtenir un meilleur lait et donc un meilleur fromage. Le lait est celui de vaches de race Abondance, Tarine ou Montbéliarde. Alpages de Montmin, Haute-Savoie - Chèvres d’alpage
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Les pentes trop fortes ou orientées au nord sont abandonnées aux landes, friches et forêts. Les autres terrains (la majorité) sont consacrés aux herbages. - Activités d’été sur les lacs
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Les espaces lacustres, de superficie variable, naturels ou artificiels, sauvages ou aménagés, grands ou petits, offrent une large palette de loisirs : baignade, plaisance, pêche, ski nautique, planche à voile, aviron... Lac d'Annecy - Fenaison
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Activité traditionnelle en montagne, rentrer les foins permet de nourrir le bétail pendant l’hiver. De fortes contraintes (gelées fréquentes, saison végétative plus courte, abondance et persistance du manteau neigeux, variations thermiques journalières importantes...) expliquent que les activités agricoles soient localisées essentiellement dans les fonds de vallée et sur les versants bien exposés (jusqu’à 800-900 mètres) pour les cultures : céréales (orge, blé, seigle, avoine), pommes de terre, fourrages, quelquefois la vigne (Valais, Jura, Savoie). - Lac d’Annecy
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Les “grands” lacs, occupent souvent des fonds de vallée glaciaire. Leur développement est lié à la naissance du tourisme et du thermalisme, au début du XIX° siècle. Leurs berges jusque-là délaissées par peur des dangers sont rapidement occupées par des villages et des petites villes, avant de connaître une urbanisation de plus en plus dense jusqu’à former pour certains de véritables “rivieras” lacustres. C’est au milieu du XX° siècle que se produit cette appropriation privée des berges et que se multiplient résidences secondaires ou principales “les pieds dans l’eau”. Le lac d’Annecy, les lacs lombards (lac Majeur, lac de Côme...), les lacs bavarois ou suisses - notamment le lac Léman, le plus grand lac alpin d’Europe avec 580 km2 - sont de ce type. - Fléchage
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Des fléchages divers et en tout sens : une signalétique jusque-là réservée à la ville colonise progressivement l’espace montagnard. - Emplois directs
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Ils sont nombreux, mais surtout saisonniers : guides, moniteurs, pisteurs, employés des remontées mécaniques. Compagnie des guides de Chamonix - Immeubles en montagne
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De véritables villes sont construites dans les alpages et les immeubles – à côté des chalets traditionnels - choquent parfois, surtout en été, quand le manteau neigeux n’est plus là pour cacher leurs imperfections les plus criantes. - Emplois indirects
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A côté des emplois directs : guides, moniteurs, pisteurs, employés des remontées mécaniques…, de nombreux emplois indirects sont créés par les sports d’hiver : - loueurs de matériel : skis, raquettes, chaussures… - commerces, restauration, hôtellerie... - employés des offices de tourisme - ouvriers du bâtiment et de la construction - et toutes les activités industrielles en liaison avec la neige : fabrication de ski, de raquettes, de télésièges et téléphériques. - Plan des pistes
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Les Alpes comptent plus de 41 000 pistes pour 120 000 km de descente, essentiellement pour le ski alpin. Pour permettre à leurs clients de se repérer sur le domaine skiable et de varier leurs descentes, les stations éditent des plans. Des pistes de niveaux de difficulté différents - les fameuses verte, bleue, rouge, noire -. - Sentiers de randonnée
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Les professionnels du tourisme souhaitant développer leurs activités l’été et rentabiliser des infrastructures sur une période plus longue que la seule saison d’hiver ont favorisé ces autres atouts propres à la montagne : randonnée pédestre ou équestre, itinéraires de VTT, canoë en eaux vives, canyoning, ski d’été, parapente... - Emplois saisonniers
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Tous ces emplois en montagne ont en commun d’être essentiellement saisonniers. De décembre à mai, le plus souvent. Il faut alors une deuxième ou une troisième activité sur place ou dans une autre région. - Produits du terroir 1
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La vente de souvenirs, de produits régionaux et de l’artisanat local contribue à freiner l’exode rural et à maintenir sur place agriculteurs et artisans qui trouvent ainsi de nouveaux débouchés. - Produits du terroir 2
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La vente de souvenirs, de produits régionaux et de l’artisanat local contribue à freiner l’exode rural et à maintenir sur place agriculteurs et artisans qui trouvent ainsi de nouveaux débouchés. - Refuges
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Des aménagements nombreux pour les alpinistes et randonneurs dans le massif du Mont-Blanc. - Altiport
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Utilisé pour un survol des massifs alpins ou par des clients soucieux de ne pas perdre de temps dans les embouteillages pour l’accès aux stations, mais aussi par les deux hélicoptères Alouette III appartenant soit au PGHM (peloton de gendarmerie de haute montagne) de Haute-Savoie soit à la Sécurité Civile, qui sont prêts à décoller en permanence de l’héliport de Chamonix, de l’aéroport de Meythet-Annecy ou de l’altiport de Megève. - Caravaneige
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Pour accueillir des clients toujours plus nombreux et leur proposer un large éventail de choix, les stations ont favorisé (notamment par des plans d’occupation des sols généreux et souvent révisés) la multiplication de tous les types d’infrastructures et d’hébergement. Ici un camping-caravaneige à La Clusaz. - Mitage du paysage
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Un habitat semi-groupé, mais qui contribue au mitage des paysages montagnards. Chinaillon, Le Grand-Bornand, Haute-Savoie - Restaurant d’altitude
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Commerces, restauration, hôtellerie… sont des emplois indirects générés par les sports d’hiver, et de plus en plus d’été. Ce sont le plus souvent des emplois saisonniers. - La montagne, terrain de jeu des urbains
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Afflux de skieurs un week-end de février au Grand-Bornand. - Aménagements en montagne
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Un téléski à gauche, un télésiège à droite et au milieu des canons à neige. Du fait d’énormes intérêts en jeu dans le fonctionnement des stations d’hiver en terme de rentabilité des capitaux investis, de revenus escomptés, d’emplois..., les exploitants ne peuvent plus compter uniquement sur la clémence des cieux pour leur assurer une bonne neige, abondante, skiable, chaque année, de décembre à mai ! Depuis les hivers trop doux et sans neige de la fin des années 80, les station alpines et pyrénéennes, durement touchées dans leurs recettes, ont beaucoup investi dans “la neige de culture”. Ce sont des investissement coûteux : outre le prix de l’engin (150 000 euros en moyenne), d’autres dépenses sont engagées : réseau enterré de canalisations pour amener l’eau sur les pistes, retenues d’eau, systèmes de pompage et d’élévation… Massif de Balme, La Clusaz, Haute-Savoie - Station-village
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La station – considérée comme de "première génération" - est greffée sur un village traditionnel de moyenne montagne; des chalets, hôtels, commerces se construisent autour d’un noyau villageois préexistant, à proximité du départ des pistes de ski. Chamonix (à 1037 mètres d’altitude), La Clusaz (à 1100 m), Megève (1113 m ) sont de ce type, comme ici le Grand-Bornand. Pour accueillir des clients toujours plus nombreux et leur proposer un large éventail de choix, les stations ont multiplié ou favorisé (notamment par des plans d’occupation des sols généreux et souvent révisés) la multiplication de tous les types d’infrastructures et d’hébergement. Ici, des chalets-résidences secondaires se sont multipliés (à droite de la photo). - Paravalanche
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Ce sont les pisteurs-secouristes qui assurent la sécurité des pistes et décident de leur ouverture ou de leur fermeture, qui les tracent, les balisent par des piquets et des filets de protection, qui mettent en place le fléchage et purgent les versants si nécessaire. Responsables de la sécurité et en liaison avec les ingénieurs et techniciens de l’Office National des Forêts chargés plus spécialement de la Restauration des Terrains de Montagne(ONR/RTM), ils installent des protections, des paravalanches. Paravalanche du massif de Balme, La Clusaz, Haute-Savoie - moraine latérale
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vue 5797 fois - Perurail
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La ligne de chemin de fer qui part du littoral pacifique à Mollendo jusqu’à Machu Picchu, en passant par Arequipa et Cuzco a été longtemps la plus haute du monde mais les Chinois ont fait mieux au Tibet. Exploité par la compagnie Perurail, elle franchit ici le col de la Raya à 4330 mètres d’altitude, entre le Lac Titicaca et Cuzco. Cette voie ferrée est le seul moyen d’accès à Machu Picchu et sa coupure en janvier 2010, consécutive à un glissement de terrain dans la vallée de l’Urubamba, a interrompu les visites de ce site célèbre. L’accès n’a été rétabli qu’en juillet 2010 au plus fort de la saison touristique - Oasis
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vue 32326 foisOasis du littoral péruvien, entre Nazca et Arequipa. A son embouchure avec le Pacifique la vallée du Rio Ocana est une tache de verdure dans un paysage aride: l'agriculture y est, avec la pêche,la principale activité de ces régions très peu peuplées.
- Meteor1
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Au-dessus de la ville de Kalampaka dans le nord de la Grèce, une forêt de rochers aux formes de pain de sucre. Ils portent souvent à leur sommet des monastères cénobitiques orthodoxes : les météores (de metéora : suspendus dans les airs). - Meteor2
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Paysage grandiose avec des constructions acrobatiques nées de la foi d'hommes résolus de vivre loin du monde. Les cours d'eau ont taillé et déblayé le calcaire du Pinde mais des bancs de grès et de conglomérats tertiaires plus durs ont résisté surplombant de près de 300 m la campagne environnante. Une soixantaine de tours ont été dénombrées. - Meteor3
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Monastère du Grand Météore ou monastère de la Transfiguration, il a été fondé par Saint Athanase en 1356. Il est bâti à 534 m sur une large plate-forme rocheuse. L'accès se fait par des escaliers taillés dans le roc que l'on voit à gauche. Ils aboutissent à la tour dont les éléments (treuil et nacelle) subsistent. - Meteor4
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Le monastère de la Sainte Trinité, au sommet d'un énorme pilier rocheux dans la région des météores au nord de la Grèce. Ses bâtiments datent du XVème et du XVIIème. - Meteor5
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Le monastère Saint Etienne perché au sommet d'un piton rocheux séparé de la montagne par une crevasse. Météore au nord de Kalampaka (Grèce). - Mystras dans le Péloponnèse
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Sur le flanc escarpé d'un contrefort du Taygète, à Mystras dans le péloponnèse. Au 1er plan le monastère byzantin de la Pantanasa (XVème). Sur le sommet le château franc des Villehardouin (XIIIème) - Un village du Haut Atlas au mois d'avril
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Les maisons, en terre, ont la couleur du sol. Le village est entouré de cultures en terrasses : légumes, blé, oliviers, fruitiers irrigués grâce aux torrents qui coulent de la montagne. Cette année 2009 a été très arrosée, comme la précédente. - Aiguilles rouges
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Vue prise depuis les massif des Aiguilles rouges (un massif montagneux granitique des Alpes du Nord) qui surplombe Chamonix et fait face aux grands glaciers et aiguilles de Chamonix. C'est une réserve naturelle depuis 1974, d'où la présence d'une faune sauvage très facile à approcher (Un chamois et son petit au premier plan). - L'arête de Peuterey
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L’arête de Peuterey, l’une des voies d’accès au Mont-Blanc par sa face sud, vue depuis le hameau d’Entrèves. On peut, apercevoir successivement l’Aiguille Noire de Peuterey, la Brèche des Dames Anglaises, les Dames Anglaises, l’Aiguille Blanche de Peuterey, le Grand Pilier d’Angle et, imaginer dans les nuages le sommet du Mont-Blanc. Sa première ascension fut réalisée en 1877 par A.Payot et J.Eccles. - AlpZillertal
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Hauteurs alpestres au dessus de la vallée de la Ziller. - Alpage
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Alpages autrichiens - Alpes Zill
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Un des sommets tyroliens. - Monte Cervino
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La face sud du Cervin depuis l'Alpe de Crou de Tza, hameau de la commune de Valtournenche dans le Val d'Aoste. Le Cervin (Matterhorn en allemand, Cervino en italien) est un sommet alpin de 4 478 mètres d'altitude, situé sur la frontière italo-suisse. C'est la montagne la plus connue de Suisse notamment pour l'aspect pyramidal qu'elle offre depuis le village de Zermatt, dans la partie alémanique du canton du Valais. Le 14 juillet 1865, une cordée de 7 hommes composée d'Edward Whymper, Peter Taugwalder père et fils, Douglas Hadow, Michel Croz, Charles Hudson et Lord Douglas atteint le sommet vers 13 H 40 par l'arête du Hörnli. Dans la descente, Douglas Hadow, Michel Croz, Charles Hudson et Lord Douglas périront à la suite d'une chute collective. - Chalet tyrolien
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Un chalet tyrolien - Chalet
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Chalet tyrolien. - Chutes
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Les chutes du Krimmler vers Gerlos.