- maisons anglaises
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Alignement de maisons à bow-windows typiquement anglais. Les fenêtres sont en saillie sur la façade. - Citerne de Delphes
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Elle est accolée au gymnase,et permettait aux athlètes de se laver à l'eau froide. - Gymnase de Delphes
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Sur la terrasse supérieure on distingue les reste du xyste, un immense portique dont on peut voir encore les vestiges des colonnes, et qui servait à l'entraînement de la course à pied par mauvais temps. En temps normal, les athlètes utilisaient la piste découverte parallèle au portique (partie non recouverte d'herbe). Entre la citerne à droite et la piste se trouvaient des thermes à hypocaustes pour les bains chauds. - Cimetière du Céramique
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Ce cimetière d'Athènes tient son nom de l'argile (Keramos) utilisée pour la fabrication des vases funéraires. Les tombes atteignirent leur plus grand faste au siècle de Périclès. Pour compléter : http://fr.wikipedia.org/wiki/Céramique_(Athènes) - Jouet d'enfant
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Jouet trouvé dans une tombe du cimetière du Céramique, daté de 950-900 avant JC. Musée du cimetière du Céramique, Athènes. - Economie étatisée au Vietnam
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Pendant la période 1975-1986, l’économie étatisée, administrée débouche sur le rationnement et les queues dans des magasins d’Etat presque vides. La période est qualifiée aujourd’hui de « développement socio-économique inapproprié ». Une nouvelle politique économique se met alors en place, à partir de 1986, en même temps qu’en Chine et en URSS avec la perestroïka, avec comme nom « libération des énergies ». Musée d’ethnologie, Hanoi - Tickets de rationnement
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Pendant la période de 1975 à 1986, l’économie étatisée, administrée débouche sur le rationnement et les queues dans des magasins d’Etat presque vides. La période est qualifiée aujourd’hui de « développement socio-économique inapproprié ». Lire les pages consacrées aux difficultés d’approvisionnement de ces années noires dans le livre de Denise Chong « La fille de la photo », Belfond, 2001, consacré à Kim Phuc Musée d’ethnologie, Hanoi - Gandhi et le rouet
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Dans un petit musée dans la région du Shekawati au Rajasthan dans la ville de Nawalgarh : une salle consacrée à Gandhi montre des photos de celui-ci et une maquette de rouet comme ceux qu'il a fait fabriquer et utiliser dans les villages. Un des éléments de la résistance aux Anglais en faisant fabriquer dans les villages le fil et ensuite les tissus à partir du coton récolté sur place. La personne de Gandhi est aujourd'hui encore très admirée en Inde, il est aussi représenté sur tous les billets de banque. - Pilori
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Un pilori au Château de Murol (Puy de Dôme) - Thermes
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Arcade des thermes de Vaison-la-romaine - Cuneiforme
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Tablette d'argile avec écriture cunéiforme (British Museum de Londres), datée du début de la IIIe dynastie, vers 2500 av JC : "Le gouverneur a reçu 14 shekels en argent de 5 personnes et 46 restent à payer par 13 autres personnes, pour un montant total d'une mine d'argent" - Grands thermes de Sbeïtla
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Grands thermes de Sbeïtla dans la région des hauts plateaux tunisiens. Ancienne Sufetula romaine. - Latrines
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Latrines romaines des thermes de Vasio (Vaison-la-Romaine) - Une Trabant
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Voiture avec un moteur deux temps, symbole de la RDA, fierté des Allemands de l'Est et représentative de l'Ostalgie. - Saline d'Arc et Senans : façade arrière de la berne ouest
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Les conditions de travail étaient très difficiles, dans la chaleur et sans réelle évacuation des fumées. Claude Nicolas Ledoux a privilégié l'esthétique et n'a pas fait de cheminées, seules quelques ouvertures à l'arière du bâtiment permettaient un peu l'évacuation des fumées. - Houe
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Entre le bâton à fouir et l’araire, la houe est probablement l’instrument de culture le plus répandu depuis l’antiquité et il existe dans toutes les agricultures. En Égypte antique, la houe à manche long, bâton recourbé qui se manie à deux mains, est la plus connue à cause des multiples représentations figurées sur les parois des tombeaux. Celle qui se manie d’une main, découverte dans un tombeau et présentée au musée des Beaux-arts de Rennes, n’en est que plus remarquable. En égyptien, la « houe » se disait mer et le hiéroglyphe qui la représente a servi à écrire le mot homophone mer « amour » . « L’Égypte est un don du Nil » (Hérodote) et le fellah égyptien aimait sa terre… - Maison à encorbellement
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Maison à encorbellement - Josselin - Morbihan (56) - Bretagne - France Détail de l'encorbellement du premier étage : les poutres soutenant le premier étage dépassent de l'aplomb du mur du rez de chaussée. L'étage se trouve donc en surplomb sur la rue. - Maison à colombages
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Une maison à colombages dans les rues de Josselin (près du château médiéval) - Morbihan (56)- Bretagne - France. 4 niveaux : - en bas à droite : la porte de la cave, - le rez de chaussée donnant sur la rue, avec, à gauche une fenêtre large (vitrine sur rue. Ce rez de chaussée est construit en moellons de granit qui supportent les étages. - Le premier étage à encorbellement (en débordement sur la rue), - Le 2ème étage (sans fenêtre), lui aussi en encorbellement. Notez les pièces de bois de couleur bordeaux qui forment l'ossature. Entre les pièces de bois : le torchis (mélange d'argile et de paille) recouvert d'un crépi de couleur beige clair. Au milieu de la rue, ici pavée,un caniveau central. - Les bains royaux des palais Nasrides.
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Ces bains sont situés dans les Palais Nasrides sur l'Alhambra de Grenade (milieu du XIVè siècle). - La tombe du plongeur
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Partie de la tombe du plongeur conservée au musée de Paestum - la tombe du plongeur
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Partie de la tombe du plongeur conservée au musée de Paestum - la tombe du plongeur
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Partie de la tombe du plongeur conservée au musée de Paestum - Bougon habitat 1 exterieur
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Reconstitution d’une maison d’habitation du Musée des tumulus de Bougon (79) d’après des fouilles archéologiques de Soulièvres (Airvault) en Deux-Sèvres. Maison à ossature de bois, à clayonnage pour la façade avant pour briser le vent ; les murs sont en clayonnage enduit d’argile crue. La toiture est couverte de roseaux. Les dimensions sont de 44 m de long, pour une largeur de 8 m ; la hauteur est estimée. Une maison d’une telle taille était probablement occupée par plusieurs familles. Datation : environ 2000 av. JC - Bougon habitat 1 interieur
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Vue intérieure de la reconstitution d’une maison d’habitation du Musée des tumulus de Bougon (79) d’après des fouilles archéologiques de Soulièvres (Airvault) en Deux-Sèvres. Maison à ossature de bois et à murs à clayonnage enduit d’argile crue de 44 m long, pour une largeur de 8 m ; la hauteur est estimée. On aperçoit très nettement les séparations entre les différentes parties d’habitation, chacune étant probablement destinée à une famille. L’art de la charpente en étant à ses débuts, la reconstitution en tient compte : une seule série de poutres centrales (ce qui explique l’étroitesse de la maison par rapport à sa longueur) et pas de poutres transversales de renfort. La maison ne comporte pas de cheminée ou de fenêtres et la fumée s’échappe par la façade ou à travers le toit. Datation : environ 2000 av. JC - Bougon habitat 2
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Reconstitution d’une petite maison d’habitation (ou d’une étable) du Musée des tumulus de Bougon (79). Ossature en bois, murets de clayonnage enduit d’argile crue, clayonnage pour les façades, roseaux pour la toiture. Datation : environ 2000 av. JC - Bougon hutte
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Reconstitution d’une hutte en roseaux tressés du Musée des tumulus de Bougon (79). On peut raisonnablement penser qu’un tel type d’habitat pouvait déjà exister avant le néolithique. - Habitat lacustre
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Tentative de reconstitution d’une maison sur pilotis à la suite de la découverte de pieux (palafittes) en chênes dans la vase du lac de Lédro (Italie) en 1929. Les matériaux utilisés sont le bois et les roseaux. Musée historique de Molina di Ledro (Trentin). Si à l’origine on pensait que les villages lacustres étaient monnaie courante au néolithique, la précision des fouilles modernes a pu démontrer que ce n’était pas le cas ; on penche aujourd’hui pour une utilisation des pieux en guise de consolidation des terrains mouvants (argileux) sur les pentes des régions humides (non pas sur l’eau, mais sur les rives des lacs). Les pieux étaient également utilisés (et le sont toujours en Afrique sub-saharienne) pour percher les greniers et les mettre à l’abri des rongeurs. - Familistère Godin, à Guise - Lavoir et Piscine
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JBA GODIN a inclus les préoccupations hygiénistes dans les plans de son familistère. Prévue dès l'origine, la piscine n'a été construite qu'en 1870 sur les bords de l'Oise. Chauffée, elle accueillait aussi les enfants de l'école. Un plancher en bois permettait de relever le fond de la piscine pour les plus petits. A côté de la piscine, des bains-douches étaient à disposition de tous. JBA GODIN interdisait aux familles de faire la lessive dans les appartements du familistère. Ayant lu les écrits des médecins hygiénistes, il pensait que cette activité rendait les logements humides et donc malsains. Le lavoir permettait donc aux femmes du familistère de laver leur linge, à l'eau chaude qui plus est, amenée par tuyaux des machines à vapeur de l'usine. - Familistère Godin, à Guise - Intérieur du théâtre
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J.B.A. Godin voulait éduquer le peuple. Contrairement aux cités paternalistes, dans le projet du familistère, la place centrale n'était pas dévolue à l'église mais au théâtre. Ce bâtiment servait aux spectacles mais également à des débats et aux assemblées générales de la coopérative qui gérait le familistère (puis les usines à partir de 1880). Il était donc le lieu de la participation ouvrière à la gestion de la vie collective. (Commentaire Antoine Tresgots) - Palais Social, ou Familistère, Guise - Appartement - Cabinet de toilette
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Les appartements du "Palais Social" offraient un confort inconnu des ouvriers. Ici, le cabinet de toilette, dans une pièce séparée, ne disposait pas de l'eau courante (un point d'eau était disponible à chaque étage, ainsi que des WC) mais offrait tout de même une intimité rare dans les milieux ouvriers de l'époque. - Intérieur du Palais Social, familistère de Guise, 1
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La cour intérieure du familistère était le lieu central de la vie collective. Tous les appartements s'ouvrent sur cet espace par la porte et une fenêtre. On y accède par des galeries et des escaliers situés aux angles. Elle est aérée par un système de conduits donnant sur l'extérieur et assurant en permanence la circulation de l'air frais. La cour du bâtiment central était un lieu de réunions et de fêtes. La verrière de ce bâtiment reposait sur une charpente de bois, toujours en place, réalisée par un compagnon du tour de France. Elle représente une prouesse technique pour l'époque. La verrière permettait de se réunir dans la cour quel que soit le temps. Aujourd'hui le verre a été remplacé par des tôles transparentes, pour des raisons de sécurité, dans les deux bâtiments les plus récents. - Intérieur du Palais Social, familistère de Guise, 2
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La cour intérieure du familistère était le lieu central de la vie collective. Tous les appartements s'ouvrent sur cet espace par la porte et une fenêtre. On y accède par des galeries et des escaliers situés aux angles. Elle est aérée par un système de conduits donnant sur l'extérieur et assurant en permanence la circulation de l'air frais. La cour couverte était un lieu de rencontre et de jeu par tous les temps, espace de la vie collective voulu par Godin. La verrière repose ici sur une structure d'acier car le bâtiment, incendié en 1916, a été reconstruit en 1918. Cette verrière s'effondre et sera bientôt démontée, de sorte que la cour est aujourd'hui entourée de barrières (que j'ai enlevées à l'occasion de la photo). - Familistère Godin, à Guise - bâtiment central
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Le familistère de Guise est une création de Jean-Baptiste-André Godin. Cet industriel inspiré par Fourier a voulu apporter à ses ouvriers l'équivalent de la richesse produite par leur travail. En construisant le "palais social" à partir de 1859, à côté de son usine, il offrait un appartement grand confort à ses ouvriers : chauffage, point d'eau à l'étage, lumière, espace... La hiérarchie sociale n'avait pas sa place dans le familistère : le patron ou gérant à partir de 1880, les contremaîtres, les ouvriers habitaient ensemble dans des appartements semblables. Les familles disposaient également d'un grand nombre de services : crèche, école, commerces, buvette, salles communes, théâtre, piscine, lavoir... A partir de 1880, le familistère et l'entreprise Godin deviennent une association autogérée associant le capital et le travail. M. Godin devient donc le gérant de "L'Association coopérative du Capital et du Travail, Société du Familistère de Guise". Cette association a fonctionné jusqu'à son rachat par une entreprise privée en 1968. Plus d'information sur http://www.familistere.com/site/decouvrir/histoire_images/association.php où vous trouverez également une visite virtuelle très complète. - Appartement du familistère de Guise - pièce n°1
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Les appartements du Familistère de Guise offraient un confort remarquable pour l'époque : construits entre 1857 et 1878, ils comportaient au moins deux pièces, en fonction du nombre de personnes composant la famille. Loués vides, ils étaient aérés, lumineux avec une ouverture sur l'extérieur et une autre sur la cour pour favoriser la communication entre les habitants. Un point d'eau courante et des toilettes par étage garantissaient l'hygiène. L'appartement était chauffé par une cuisinière à charbon (fabriquée dans les usines Godin) achetée par la famille. - Familistère Godin, à Guise - Théâtre et école
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J.B.A. Godin voulait éduquer le peuple. Contrairement aux cités paternalistes, dans le projet du familistère, la place centrale n'était pas dévolue à l'église mais au théâtre. Ce batiment servait aux spectacles mais également à des débats et aux assemblées générales de la coopérative qui gérait le familistère (puis les usines à partir de 1880). Il était donc le lieu de la participation ouvrière à la gestion de la vie collective. De chaque côté du théâtre se trouvaient des écoles. Godin avait instauré pour les familistériens l'école gratuite, mixte et obligatoire de 4 à 14 ans dès 1870. Les élèves les plus doués étaient encouragés à poursuivre des études qui étaient financées par la coopérative. (Commentaire : Antoine Tresgots) - hypocaustes
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Gros plan sur le système de chauffage des thermes romains : dans ces canalisations circulait de l\'air chaud aboutissant sous la dalle, montée sur piliers, de la salle chaude des thermes. - Les latrines d'Ostie
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Les latrines romaines étaient collectives. Un petit canal passait devant les latrines pour que son occupant puisse y humidifier un chiffon. En cas de grand froid, les esclaves chauffaient la place de leur maître. - Villa San Marco à Stabies
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La Villa San Marco dans l'ancienne Stabies fut découverte au 18e siècle, mais réllément fouillée après 1945. La reconstitution est audacieuse et permet aux visiteurs de découvrir une magnifique villa romaine (ici l'entrée) dans un site célèbre pour ces sources thermales, encore de nos jours. - Chariot de pionnier
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Chariot de pionnier sur un parking de station-service, près de Las Vegas. Vu l'état de la carriole, les Indiens ont gagné ;-) - Intérieur de maison néolithique
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Le commentaire suivant est celui du panneau explicatif du centre archéologique de la préhistoire ( Le Cairn à saint-Hilaire-la-forêt en Vendée 85 ). "Toutes ces informations et données ont été recueillies lors de la fouille du bâtiment du Haut-mée à Saint-etienne en Coglés ( 35 ) et datant d'environ 4700 ans avant J-C . l'architecture est basée sur le principe des bâtiments à ossature de bois. Les parois sont constituées de clayonnage ( bois tressé) recouvert de torchis;Cette maison pourrait avoir été habitée par une famille élargie d'une vingtaine de personnes, une communauté agricole familiale. Le bâtiment ne comporte ni cheminée, ni fenêtre, afin de garder la fumée à l'intérieur pour traiter le bois contre les insectes. Traiter les fruits et les céréales à la fumée pour leur conservation. C'était également pour conserver la chaleur. - Reconstitution d'une maison néolithique
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Le commentaire suivant est celui du panneau explicatif du centre archéologique de la préhistoire ( Le Cairn à saint-Hilaire-la-forêt en Vendée 85 ). "Toutes ces informations et données ont été recueillies lors de la fouille du bâtiment du Haut-mée à Saint-etienne en Coglés ( 35 ) et datant d'environ 4700 ans avant J-C . Plan trapéziforme , petite base à l'ouest, grande base à l'Est. Longueur 22 mètres et largeur à l'Est 9m et à l'ouest 4m. l'architecture est basée sur le principe des bâtiments à ossature de bois. Les parois sont constituées de clayonnage ( bois tressé) recouvert de torchis;Cette maison pourrait avoir été habitée par une famille élargie d'une vingtaine de personnes, une communauté agricole familiale. Le bâtiment ne comporte ni cheminée, ni fenêtre, afin de garder la fumée à l'intérieur pour traiter le bois contre les insectes. Traiter les fruits et les céréales à la fumée pour leur conservation. C'était également pour conserver la chaleur." - Une courée lilloise
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Cette courée est située dans le quartier de Moulins à Lille, quartier ouvrier né de l'industrialisation au XIXème siècle. La courée est un type de logement ouvrier extrèmement courant dans l'agglomération lilloise et dans les villes industrielles du Nord en général : maisons étroites de 9m2 au sol sur trois étages, réunies autour d'une petite cour qui, jusqu'à la fin du XXème siècle, accueillait les toilettes communes. A l'arrière-plan, la filature, reconvertie aujourd'hui en logements sociaux de qualité. Ces maisonnettes, restaurées, réunies, sont très prisées. Ici, les réaménagements permettent d'offrir aux habitants la salubrité (cour goudronée, toilettes, salle de bain), un peu plus d'espace (veranda) et d'intimité (murets) - Courée lilloise
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Cette courée est située dans le quartier de Moulins à Lille, quartier ouvrier né de l'industrialisation au XIXème siècle. La courée est un type de logement ouvrier extrêmement courant dans l'agglomération lilloise et dans les villes industrielles du Nord en général : maisons étroites de 9m2 au sol sur trois étages, réunies autour d'une petite cour qui, jusqu'à la fin du XXème siècle, accueillait les toilettes communes. On imagine le bruit dans lequel devaient vivre les ouvriers !!! A l'arrière-plan, l'usine textile.