- Maison à pans de bois du XVe siècle
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« Le Carroir doré » à Romorantin-Lanthenay (Loir-et-Cher). Cette maison à pans de bois de la fin du XVe siècle a été classée monument historique en 1910. Elle abrite aujourd'hui un petit musée archéologique. - Montant sculpté d'une maison du XVe siècle
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vue 18368 foisDétail de la maison du « Carroir doré » à Romorantin-Lanthenay (Loir-et-Cher). Poteau sculpté d'angle de cette maison à pans de bois de la fin du XVe siècle. L'archange saint Michel terrassant le dragon est placé du côté gauche. La figure de droite représente l'Annonciation.
- L'hôtel de ville de Paris
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L'hôtel de ville de Paris héberge les institutions municipales de Paris depuis 1357, il est situé dans le 4e arrondissement de Paris. Étienne Marcel fait l'acquisition de la « maison des piliers » au nom de la municipalité en juillet 1357. C'est là que, depuis lors, se dresse le centre des institutions municipales de Paris. La « maison des piliers » est remplacée au XVIe siècle par un véritable palais dessiné par l'architecte italien Boccador. Sa construction débute en 1533 et s'achève en 1628. Des extensions sont ajoutées entre 1836 et 1850 tout en préservant la façade renaissance. Pendant la Commune de Paris, l'incendie déclenché par un groupe de communards 1871 réduit le palais en cendres. Les archives et la bibliothèque de la ville connaissent le même sort. Les deux collections de l'état civil parisien antérieur à 1860 (de la ville et du greffe) sont à jamais perdues, la première dans l'incendie de l'Hôtel de ville et la seconde dans celui du Palais de Justice. Le bâtiment est reconstruit entre 1874 et 1882 sur les plans des architectes Théodore Ballu et Édouard Deperthes. La façade, de style néorenaissance, s'inspire largement de celle du bâtiment disparu. La place de Grève, rebaptisée place de l'Hôtel-de-Ville le 19 mars 1803, est devenue un espace réservé aux piétons depuis 1982. source : - Prague - Cimetière juif
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vue 16522 foisLe vieux cimetière juif dans le quartier Josefov, le ghetto de Prague. Du XVème au XVIIIème siècle plus de 100 000 Juifs furent enterrés ici bien que le cimetière ne compte que 12 000 tombes. Certains caveaux ont accueillis plus de 10 défunts. Enchevêtrement de pierres tombales fort différentes selon les époques.
- Lisbonne : avant le tremblement de terre de 1755
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Sur cet azulejo (céramique) on peut voir quel était l'aspect de Lisbonne avant le tremblement de terre de 1755. Ici c'est le "Terreiro do Paco" aujourd'hui la praca do commercio (place du commerce). - Maison médiévale à Coïmbra, Portugal.
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Dans la vieille ville basse de Coïmbra on trouve quelques maisons médiévales, dont l'enduit cache l'armature de bois "enxameil" c'est à dire à colombages. Celle-ci est située au bout de la place du commerce. - Fontaine de la Place Royale 2
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vue 18503 foisAu milieu de la Place Royale de Nantes trône depuis 1865 une grande fontaine sur La Loire et ses affluents. L'un des angelots tient une L'angelot tient dans sa main droite un pain de sucre. Comment fabriquer un pain de sucre ? On met le sucre à sécher dans des étuves en forme de pain. Le passé de Nantes comme port acheminant les produits des colonies issus du commerce triangulaire (la traite négrière) se retrouve dans ce pain de sucre. En 1766, la ville possédait 22 raffineries montrant l’importance de ce produit à Nantes. Le sucre représentait 60 % du trafic au 19ème siècle. Il a joué un rôle essentiel dans le développement d’autres industries alimentaires comme la Biscuiterie Lu. Beghin-Say est l’unique raffinerie de sucre de canne de la façade atlantique est le dernier souvenir de cette époque.
- Fontaine de la Place Royale
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vue 17251 foisAu milieu de la Place Royale de Nantes trône depuis 1865 une grande fontaine sur La Loire et ses affluents. L'un des angelots tient une L'angelot tient dans sa main droite un pain de sucre. Comment fabriquer un pain de sucre ? On met le sucre à sécher dans des étuves en forme de pain. Le passé de Nantes comme port acheminant les produits des colonies issus du commerce triangulaire (la traite négrière) se retrouve dans ce pain de sucre. En 1766, la ville possédait 22 raffineries montrant l’importance de ce produit à Nantes. Le sucre représentait 60 % du trafic au 19ème siècle. Il a joué un rôle essentiel dans le développement d’autres industries alimentaires comme la Biscuiterie Lu. Beghin-Say est l’unique raffinerie de sucre de canne de la façade atlantique est le dernier souvenir de cette époque.
- île Feydeau 2
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En 1723, le maire de Nantes, Gérard Mellier obtient du roi le droit de lotir la partie ouest de l’île Saulzaie pour construire des immeubles pour les armateurs et des riches négociants. Il affirme que « l’embellissement des villes consiste dans la construction des bâtiments en ligne droite ». Les terrains sont gagnés sur le fleuve et ceint par des quais. Construits surtout entre 1755 et 1770 les immeubles sont réalisés en tuffeau et en granit. Ils ont la même organisation : au rez-de-chaussée, la boutique, les entrepôts, l’entresol réalisé dans les arcades en plein cintre renferme les bureaux, entre chaque arcade des consoles finement ouvragées supportant la table en saillie d’un balcon galbé avec des rambardes en fer forgé finement ouvragé. Les étages supérieurs sont percés de hautes fenêtres à linteaux. On y trouvait successivement les appartements d’apparat, puis les étages de rapports (parties louées). Les thèmes baroques de leur décoration évoquent la mer, le commerce ou l’Afrique (sphères, symboles marins, mascarons….. ) et rappellent les fortunes amassées grâce à la traite négrière. L’île était reliée à la ville par deux ponts. Dans la première moitié du XXe siècle, avec les comblements de la Loire, elle perd son statut d’île - île Feydeau 3
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Ce mascaron décorant une façade d’une maison d’armateur de l’île Feydeau montre que son propriétaire était certainement un riche armateur ou négociant commerçant avec les îles et l’Afrique. Les thèmes baroques des maisons des armateurs et leur décoration évoquent la mer, le commerce ou l’Afrique (sphères, symboles marins, mascarons….. ) et rappellent les fortunes amassées grâce à la traite négrière. - île Feydeau 1
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En 1723, le maire de Nantes, Gérard Mellier obtient du roi le droit de lotir la partie ouest de l’île Saulzaie pour construire des immeubles pour les armateurs et des riches négociants. Il affirme que « l’embellissement des villes consiste dans la construction des bâtiments en ligne droite ». Les terrains sont gagnés sur le fleuve et ceint par des quais. Construits surtout entre 1755 et 1770 les immeubles sont réalisés en tuffeau et en granit. Ils ont la même organisation : au rez-de-chaussée, la boutique, les entrepôts, l’entresol réalisé dans les arcades en plein cintre renferme les bureaux, entre chaque arcade des consoles finement ouvragées supportant la table en saillie d’un balcon galbé avec des rambardes en fer forgé finement ouvragé. Les étages supérieurs sont percés de hautes fenêtres à linteaux. On y trouvait successivement les appartements d’apparat, puis les étages de rapports (parties louées). Les thèmes baroques de leur décoration évoquent la mer, le commerce ou l’Afrique (sphères, symboles marins, mascarons….. ) et rappellent les fortunes amassées grâce à la traite négrière. L’île était reliée à la ville par deux ponts. Dans la première moitié du XXe siècle, avec les comblements de la Loire, elle perd son statut d’île. - Le parc du Grand Blottereau
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L’agglomération nantaise compte de nombreux parcs issus de grandes propriétés privées du siècle derniers comme le Parc de Procé, celui de la Chantrerie ou de la Bégraissière à Saint-Herblain. Le parc du Grand Blottereau est l’un d’entre-eux. C’est l’ancien parc de la folie de Gabriel Michel, directeur de la compagnie des Indes. Le cèlèbre armateur Thomas Dobrée dont la famille à fait fortune dans la traite négrière le lègue à la ville de Nantes. Il a une superficie de 37 hectares où s’élève un château du type classique du XVIIIème siècle. Il possède des serres tropicales et est dédié aux végétaux exotiques. Il montre que des armateurs, des capitaines et des marins ramenèrent des graines, des boutures d’arbres et d’arbustes des îles pour décorer les parcs de la ville. Le jardin s’étendant devant la folie est tiré au cordeau et rappelle ceux de Le Nôtre, le célèbre jardinier de Louis XIV. - Le parc du Grand Blottereau 2
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L’agglomération nantaise compte de nombreux parcs issus de grandes propriétés privées du siècle derniers comme le Parc de Procé, celui de la Chantrerie ou de la Bégraissière à Saint-Herblain. Le parc du Grand Blottereau est l’un d’entre-eux. C’est l’ancien parc de la folie de Gabriel Michel, directeur de la compagnie des Indes. Le cèlèbre armateur Thomas Dobrée dont la famille à fait fortune dans la traite négrière le lègue à la ville de Nantes. Il a une superficie de 37 hectares où s’élève un château du type classique du XVIIIème siècle. Il possède des serres tropicales et est dédié aux végétaux exotiques. Il montre que des armateurs, des capitaines et des marins ramenèrent des graines, des boutures d’arbres et d’arbustes des îles pour décorer les parcs de la ville. Le jardin s’étendant devant la folie est tiré au cordeau et rappelle ceux de Le Nôtre, le célèbre jardinier de Louis XIV. - Le parc du Grand Blottereau 3
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L’agglomération nantaise compte de nombreux parcs issus de grandes propriétés privées du siècle derniers comme le Parc de Procé, celui de la Chantrerie ou de la Bégraissière à Saint-Herblain. Le parc du Grand Blottereau est l’un d’entre-eux. C’est l’ancien parc de la folie de Gabriel Michel, directeur de la compagnie des Indes. Le cèlèbre armateur Thomas Dobrée dont la famille à fait fortune dans la traite négrière le lègue à la ville de Nantes. Il a une superficie de 37 hectares où s’élève un château du type classique du XVIIIème siècle. Il possède des serres tropicales et est dédié aux végétaux exotiques. Il montre que des armateurs, des capitaines et des marins ramenèrent des graines, des boutures d’arbres et d’arbustes des îles pour décorer les parcs de la ville. Le jardin s’étendant devant la folie est tiré au cordeau et rappelle ceux de Le Nôtre, le célèbre jardinier de Louis XIV. Ici on peut voir une peinture en trompe l'oeil sur le château qui représente des champs de canne à sucre - citadelle de Mycènes
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Entrée de la citadelle de Mycènes à travers l'enceinte cyclopéenne par la porte des Lionnes. - Chinon : maison du bailli
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Chinon : maison du bailli Ancien palais du Bailliage, exemple d’architecture civile du XV° siècle. Tourelle en encorbellement et pignons originaux. Aujourd’hui transformé en hôtel de luxe. A l’arrière-plan, à droite, la Tour de l’Horloge. - chinon maisons
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Chinon : deux styles architecturaux du XV° siècle. A droite, la Maison Rouge à encorbellements, colombages, pans de bois et remplissage de brique . A gauche, en pierre de tuffeau, l’Hôtel des Etats Généraux, où se réunirent les Etats convoqués par Charles VII en 1428 pour lui donner les moyens financiers de continuer la guerre contre les Anglais ; il abrite aujourd’hui le Musée d'Art et d'Histoire de Chinon-Amis du Vieux Chinon : www.chinon-histoire.org - Chinon : vieille ville
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Chinon : vieille ville La ville, autrefois entourée de remparts, est enserrée entre la Vienne et l’éperon rocheux du château. Elle a conservé de son passé de « capitale » au temps des Plantagenêt puis de Charles VII, de nombreuses et belles maisons médiévales et Renaissance. - facade coeur
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Palais et statue de Jacques Cœur, Bourges Bâtiment de style gothique tardif, construit de 1453 à 1451 et qui ne fut jamais habité par son propriétaire arrêté cette même année 1451 sous l’accusation de détournement de fonds, comme souvent les grands argentiers du royaume. Ce palais est regardé comme un exemple exceptionnel d'architecture civile du XVème siècle, et préfigure les hôtels particuliers de la Renaissance. - jcoeur facade2
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Palais de Jacques Cœur : détail de la façade extérieure Le propriétaire de cet hôtel particulier s’est fait représenter avec sa femme dans deux fenêtres en trompe-l’œil en façade, de part et d’autre d’une niche qui autrefois portait une statue équestre de Charles VII, statue qui a disparu à l’époque de la Révolution. Les symboles personnels de Jacques Cœur : un cœur et une coquille saint-Jacques sont partout présents dans la demeure. Une double entrée, piétonne et cavalière, avec arbres et singe qui rappellent les activités commerciales de J.Cœur en direction du Levant, donne accès au palais. - L'agora d'Athènes
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L'ancienne agora d'Athènes vue depuis l'acropole. Au 1er plan à droite, l'église byzantine des Saint-Apôtres ( fin Xeme). Au deuxième plan sur la gauche, le temple d'Héphaïstos. - palais de Westminster et Big Ben
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Le palais de Westminster et Big Ben vus depuis la London Eye. - palais de Westminster et Big Ben (2)
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Le palais de Westminster et Big Ben vus depuis la Grande Roue de Londres. - Plan de Saïgon en 1892
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Urbanisme rectiligne imaginé par le gouverneur Lemyre de Vilers dans les années 1870-1880. En rouge, les principaux bâtiments construits pendant la période coloniale : palais du gouverneur, caserne, poste, cathédrale, halles, régie de l’opium, maisons d’import-export… Voir des photos d’époque sur le site : http://belleindochine.free.fr/Saigon1882.htm Capitale de la Cochinchine à partir de 1859, elle devint capitale de la République sud-vietnamienne en 1956 et fut rebaptisée Ho Chi Minh-Ville en 1975. Cholon, le quartier chinois au sud-ouest, à 5 kms, est encore nettement à l’écart du centre-ville encadré par la rivière et ses canaux. Poste centrale de Saïgon - Grotte sur le flanc de l'Acropole
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Entrée de grotte sur le flanc nord de l'Acropole d'Athènes - Grands thermes de Sbeïtla
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Grands thermes de Sbeïtla dans la région des hauts plateaux tunisiens. Ancienne Sufetula romaine. - Médina de Tunis
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Vue sur les toits de la médina de Tunis. - La petite France
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Quartier central de Strasbourg, elle conserve les bâtiments traditionnels alsaciens (colombages) - Canary wharf
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Ce quartier à l'est de Londres accueille aujourd'hui des sièges bancaires, mais a conservé des traces de son activité portuaire passée : entrepôts reconvertis en bars et musées, grues et quais. - Brick road
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Le quartier de Spitalfields, dans l'east end, accueille depuis le XVIIe les couches populaires des Londoniens, souvent issus de l'immigration : Huguenots français, Juifs d'Europe centrale, et actuellement Indiens et Pakistanais. Les noms de certaines rues y sont traduits en bengali. - Tate Modern
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La Tate modern est située sur la rive sud de la Tamise et accueille les collections contemporaines de la fondation Tate. Elle est située dans une centrale électrique désaffectée réaménagée par Herzog et de Meuron en 2000. Elle est l'un des projets phares de la municipalité de Londres pour revitaliser la rive sud du fleuve. - Coupole du Reichstag
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L'architecte britannique Norman Foster a rénové le bâtiment du Reichstag transformant la structure réalisée en 1894 par Paul Wallot. Il a notamment ajouté une coupole vitrée qui a métamorphosé l'aspect du bâtiment. - San Francisco
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San Francisco Downtown vue depuis l'île d'Alcatraz. 34 familles parties à pied du désert mexicain de Sonora prennent possession le 27 juin 1776 de cette péninsule et y édifient un village dénommé Yerba Buena qui deviendra San Francisco en 1847. De 840 habitants en 1848 à la veille de la ruée vers l'or, la population passe à 2 000 en février 1849 et à 5 000 à la fin de la même année, à 23 000 au début de 1851 et plus de 36 000 en 1852. Aujourd'hui avec une population de près de 800 000 habitants, pour 6 950 000 dans l'agglomération, San Francisco n'atteint pas le gigantisme de Los Angeles malgré la proximité de la Silicon Valley mondialement connu pour la conception des puces électroniques. - San Francisco Downtown
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Le Financial District de San Francisco Downtown. 34 familles parties à pied du désert mexicain de Sonora prennent possession le 27 juin 1776 de cette péninsule et y édifient un village dénommé Yerba Buena qui deviendra San Francisco en 1847. De 840 habitants en 1848 à la veille de la ruée vers l'or, la population passe à 2 000 en février 1849 et à 5 000 à la fin de la même année, à 23 000 au début de 1851 et plus de 36 000 en 1852. Aujourd'hui avec une population de près de 800 000 habitants, pour 6 950 000 dans l'agglomération, San Francisco n'atteint pas le gigantisme de Los Angeles malgré la proximité de la Silicon Valley mondialement connu pour la conception des puces électroniques. - Rue du Prévot à Paris
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La rue du Prévot, juste derrière la sortie du métro St Paul dans le quartier du Marais, est une des plus étroites rues du Paris actuel. Elle donne une idée de ce que pouvaient être bon nombre de rues de la capitale avant le XIXè siècle. - Pont-Neuf
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vue 28082 fois - Panorama de Paris
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Cette photographie prise depuis le sommet de la Tour Montparnasse, au coeur de la rive gauche, est orientée vers le Nord. La perspective suit la rue de Rennes, grande percée de Haussmann effectuée dans la capitale. Sur la droite de la rue émergent les deux tours de Saint-Sulpice (une en réfection). On identifie au second plan l'axe de la vallée de la Seine bordée par le Louvre, la Samaritaine. Au fond, les tours qui bordent le périphérique Nord. Ce panorama permet aussi, malgré la légère brume de chaleur, de se rendre compte de l'étendue des villes géantes. - L'axe républicain
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L'axe républicain relie les Invalides au Grand Palais, via le pont Alexandre III. - Tour Eiffel et Défense
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Depuis la Tour Montparnasse, en regardant vers l'Ouest, on identifie successivement l'Unesco, l'école militaire, le Champ-de-Mars, la tour Eiffel. Puis, de l'autre côté de la Seine, le Trocadéro, le bois de Boulogne et enfin le quartier de la Défense. Le coeur parisien comporte juxtapose ainsi de nombreux quartiers et monuments de différentes époques, faisant la richesse culturelle de la ville la plus touristique au monde. - Le Panthéon
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"La Basilique Sainte-Geneviève devenue Panthéon sous la Révolution française, tantôt phare, tantôt caverne constitue un ensemble magistral de l’architecture de la fin du 18ème siècle, tout autant qu’un emblème et un témoin toujours vivants de l’Histoire de France depuis plus de 250 ans. Le Panthéon est considéré comme un modèle de réalisation alliant, selon un érudit du siècle des Lumières, « la légèreté de la construction des édifices gothiques avec la pureté et la magnificence de l’architecture grecque ». Chef d’œuvre de l’architecte Soufflot, le Panthéon s’inscrit dans le renouveau de l’urbanisme parisien qui fait de lui un élément incontournable dans la visite des monuments de la capitale." source : http://www.monuments-nationaux.fr/m_pantheon/fs_index.dml?lang=fr "La crypte abrite les tombeaux de plus de 70 personnages depuis Voltaire, Jean-Jacques Rousseau jusqu’à Alexandre Dumas, inhumé le 28 novembre 2002. " A noter sur la Gauche de l'image l'église Saint-Etienne-du-Mont. - Forteresse de Chinon
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Le château s’étend sur près de 400 mètres de longueur. Il est le résultat d’ajouts et perfectionnements successifs depuis le X° siècle jusqu’à la fin du XV° siècle. De gauche à droite : le fort du Coudray qui occupe la pointe de l’éperon rocheux qui s’avance sur la Vienne avec son donjon construit par Philippe Auguste au début du XIII° siècle. Au centre, le château du Milieu avec les Logis royaux, en grande partie ruinés. A droite, mieux conservée, la tour de l’Horloge. Un grand projet de rénovation est en cours sur l’extrême-droite pour réhabiliter le fort Saint-Georges. Henri II Plantagenêt y réside souvent et y meurt en 1189 ; puis Charles VII, « le petit roi de Bourges » en fait sa capitale à partir de 1427. - Arc de triomphe d'Orange
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L'arc de Triomphe d'Orange a été érigé en l'honneur d'Auguste dans la première moitié du premier siècle. "Dédié à la gloire des vétérans de la IIème légion gallique, fondateurs de la colonie romaine d'Orange, l'Arc d'Orange est un rarissime témoin de l'art romain en Provence. Véritable "film" gravé dans le calcaire à la gloire de Rome et de la puissance de ses armes, l'Arc campe fièrement à l'entrée nord du centre-ville depuis vingt siècles." source :http://www.ville-orange.fr/arc.htm - Extérieur des arènes d'Arles
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L'amphithéâtre d'Arles fut construit à la fin du Ier siècle de notre ère au nord de la ville antique, lors d'une période d'extension et d'embellissement général de la cité. Si les arènes sont antiques, les quatre tours (une visible) défensives datent de la chute de l'Empire romain, à une époque où les invasions entraînèrent une contraction de l'espace urbain dans l'enceinte de l'amphithéâtre. - Le théâtre antique de Lyon
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Le théâtre romain de Lugdunum se situe sur la colline de Fourvière. "Le théâtre a été construit en deux étapes : * Sous Auguste, et probablement vers -15, un théâtre de 90 m de diamètre est construit contre le flanc de la colline, selon un plan classique. * au début du IIe siècle, sous Hadrien, une troisième série de gradins est ajoutée en haut de la structure, portant son diamètre à 108 m, et donnant une capacité estimée à 10 000 places." (wikipedia) Un point précis et images de Lugdunum : http://jfbradu.free.fr/celtes/lyon/lyon.htm - Le théâtre antique de Lyon (2)
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Le théâtre romain restauré est aujourd'hui redevenu une place culturelle de la ville, comme ici un concert impromptu qui m'a permis de vérifier la qualité de l'acoustique. "Abandonné à la fin de l'Empire, il fut identifié à tort au XIXe siècle comme l'amphithéâtre des trois Gaules. Son dégagement complet et sa restauration ont commencé en 1933. Il se remplit à nouveau de spectateurs chaque été pour le festival de musique : Les Nuits de Fourvière." wikipedia - Les arènes de Nîmes
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"De récentes fouilles viennent de prouver que les Arènes ont été construites entre 90 et 120 après J.C. La ville de Nîmes s’appelait alors Nemausus. Dans cette colonie, Auguste avait établi un plan d’urbanisme typique d’une ville romaine." extrait de cette page : http://www.nimes-romaine.com/nimes/45-histoire/ - Les arènes de Nîmes
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L'amphithéâtre romain accueille aujourd'hui des corridas, mais aussi des reconstitutions de jeux antiques. "Les arènes ont une capacité de 25 000 spectateurs répartie en quatre zones et trente-quatre tribunes. L'amphithéâtre mesure 133 mètres de long pour 101 mètres de large et 21 mètres de haut, et le grand axe de l'arène mesure 69 mètres pour 38 mètres de petit axe." wikipedia - Le pont du Gard
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"Le Pont du Gard est une portion d'aqueduc romain aménagée en pont à trois niveaux qui assure la continuité de l'aqueduc romain qui conduisait l’eau d’Uzès à Nîmes. Construit sur trois étages avec les pierres extraites sur les lieux mêmes dans les carrières romaines environnantes, le pont domine le Gard à près de 49 m de haut sur une longueur de 275 m. C'est le plus haut pont-aqueduc connu du monde romain." d'après Wikipedia Le site officiel, très complet : http://www.pontdugard.fr/ - Le théâtre d'Orange
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"Le théâtre romain antique d'Orange est un des mieux conservés du monde romain , car il est parmi les rares à disposer encore de son mur de scène avec l'élévation d'origine (103 m de large pour 37 m de haut). Ce mur était décoré de statues, frises et colonnes de marbre dont subsistent quelques vestiges. Sa capacité est estimée entre 9 000 et 10 000 places. Il est la propriété de la ville d'Orange. Il a été bâti sous le règne d'Auguste, au Ier siècle." wikipedia Il faut également imaginer une débauche de peintures sur le mur de scène. - Aître Saint-Maclou, détail
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Détail des bois sculptés de l'Aitre Saint Maclou de Rouen. Ces décors macabres d'ossements et d'outils de fossoyeurs, malgré leur naïveté sont saisissants. Les colonnes dont on voit ici le chapiteau datent du début du XVIè siècle. Pour en savoir plus : http://cliophoto.clionautes.org/picture.php?cat=256&image_id=1615