- Pan Mun Jon : vue sur la ligne de démarcation entre les deux Corées
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Date : Juillet 2018 Lieu : la zone démilitarisée (DMZ) Prise de vue depuis la partie nord-coréenne. les pavillons argentés appartiennent à la Corée du Nord, les bleus à l'ONU. - L'arche de la Réunification
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Lieu : monument situé à l'entrée de Pyongyang, capitale de la Corée du Nord, sur l'autoroute la reliant à la ville de Kaesong. Nom officiel : "monument à la Charte des Trois-Points pour la Réunification nationale". date : juillet 2018 Inaugurée en août 2001, cette arche en marbre est constituée de deux femmes habillées en costume traditionnel, représentant le Nord et le Sud. Elles tiennent un globe sur lequel la carte de la Corée unifiée apparaît. Elle a été bâtie pour commémorer une proposition de Kim Il-sung sur la réunification de la Corée. - Le culte de la personnalité en Corée du nord : le Grand monument Mansudae
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Lieu : Pyongyang, capitale de la Corée du Nord, vue sur la partie centrale du Grand monument Mansudae date : juillet 2018 Description : la partie centrale du monument est constituée de deux statues en bronze de Kim Il-sung et Kim Jong-il hautes de 22 mètres. la première a été érigée en 1976 et la seconde en 2011. Derrière, se trouve une mosaïque murale du mont Paektu, montagne sacrée de la révolution aux yeux des Coréens. Il est d'usage de venir s'incliner devant les statues après avoir déposé une gerbe de fleurs. Les prises de photos doivent suivre une règle rigoureuse et indiscutable : il est obligatoire de prendre les deux statues ensembles et dans leur intégralité. - Le culte du chef par les fleurs en Corée du Nord
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Lieu : Pyongyang, capitale de la Corée du Nord, exposition florale date : juillet 2018 Deux fleurs ont été créées et baptisées du nom de Kim Il-sung et Kim jong Il : La kimilsungia, orchidée à fleurs mauves nommée en référence au président nord-coréen Kim Il-sung. Elle fut offerte par le président indonésien Soekarno lors d'une visite de Kim Il-sung en Indonésie en avril 1965. - le Kimjongilia, dédié à Kim Jong-il. Il s'agit d'un bégonia à fleurs rouges, créé par l'horticulteur japonais Kamo Mototeru en février 1988, à l'occasion du quarante-sixième anniversaire du dirigeant Kim Jong-il. Ces deux fleurs sont omniprésentes dans le cadre de la propagande officielle. - Kim Il-sung entouré par des soldats
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Lieu : Pyongyang, capitale de la Corée du Nord, Musée d'art de Pyongyang Date de la prise de vue : 20 juillet 2018 Photo non datée. Le musée où est conservé ce tableau a été inauguré le 7 septembre 1997 à l'occasion du 50ème anniversaire de la République. Les différentes salles exposent surtout et avant tout des tableaux et des photos officielles mettant en scène les trois Kim dans leurs activités politiques. - Monument de la fondation du Parti des travailleurs, Pyongyang, Corée du Nord
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Lieu : Pyongyang, capitale de la Corée du Nord, rue de Munsu date : juillet 2018 Construit et inauguré le 10 octobre 1995, ce monument reprend l'emblème du Parti des travailleurs dont les 3 éléments associés symbolisent l'union du peuple autour du Parti : le marteau (les ouvriers), le pinceau (les intellectuels), et la faucille (le monde paysan). - Façade du Palais du Soleil Kumsusan
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Lieu : en périphérie de Pyongyang, capitale de la Corée du Nord, Date : juillet 2018 L'ancien palais présidentiel construit en 1976 a été transformé en mausolée par Kim Jong-il à la mort de son père en 1994. Le mausolée accueille aujourd'hui dans deux salles très fraîches baignant dans une lumière rouge les corps momifiés de Kim Il-sung et de Kim Jong-il. Un protocole rigoureux encadre la visite : après avoir cheminé via de très longs tapis roulants et regardé de multiples portraits des deux leaders, les visiteurs sont invités à venir s'incliner à 90° 3 fois devant les corps. En 2016, l'intérieur a été rénové et les visiteurs sont invités également à venir s'incliner devant les statues en cire hautes de 7 mètres des 2 dirigeants et à admirer les trains bateau, avion, voitures utilisés ainsi que les médailles et diplômes reçus. - Donjon du château de Vincennes
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vue 14410 foisLa vocation initiale du donjon de Vincennes, achevé vers 1670, fut de servir de logis au roi Charles V. Seule résidence royale médiévale à avoir subsisté jusqu'à nos jours, cet édifice de 50 mètres de haut est par ailleurs le donjon le plus élevé d'Europe. Utilisé comme prison d'état sous l'Ancien Régime, il a accueilli comme pensionnaires entre ses murs des représentants célèbres du milieu intellectuel des Lumières : Diderot, Sade et Mirabeau. Le donjon de Vincennes est aussi le théâtre d'une évasion littéraire fameuse : celle du duc de Beaufort racontée par Alexandre Dumas dans le roman « Vingt ans après », suite des « Trois mousquetaires ».
- Henri IV
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vue 18053 foisStatue équestre en bronze représentant le roi Henri IV en armure, couronné de laurier, un sceptre à fleurs de lys dans sa main droite. Une première statue équestre d'Henri IV datant de 1614 est abattue en 1792 et fondue pour faire des canons. La statue actuelle est l'œuvre du sculpteur François-Frédéric Lemot ; elle est inaugurée le 25 août 1818. Le site « l’Histoire par l’image » présente cette inauguration sur le Pont-Neuf, 25 août 1818 http://www.histoire-image.org/site/oeuvre/analyse.php?i=368
- Henri IV ravitaille les Parisiens
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vue 17864 foisHenri IV ravitaille les Parisiens Bas-relief sur le piédestal de la statue équestre d’Henri IV, Pont-Neuf, Paris. Il représente Henri IV faisant entrer des vivres dans Paris assiégé, épisode qui a contribué à nourrir la légende du « bon roi Henri ».
- Henri IV entre à Paris
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Henri IV entre à Paris Bas-relief sur le piédestal de la statue équestre d’Henri IV, Pont-Neuf, Paris. Il représente le roi vainqueur entrant dans Paris. Après le sacre de Chartres qui le légitime, Henri IV reconquiert peu à peu son royaume. Le 22 mars 1594, Henri IV entre dans Paris par la porte Neuve, près du Louvre, devant laquelle le prévôt des marchands et un échevin lui remettent les clés de la ville. Le bas-relief montre le roi à cheval, qui se rend à Notre-Dame, où il doit entendre un Te Deum au milieu d’une importante troupe de lansquenets suisses armés de lances. Une étude sur ce thème : http://www.henriiv.culture.fr/medias/fr/pdf/0/738_10.pdf - Louis XIII, place des Vosges
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Louis XIII, place des Vosges Cette statue en marbre blanc, œuvre de Jean-Pierre Cortot et Charles Dupaty, a été installée en 1829 en remplacement de celle détruite à la Révolution et qui datait de 1639. Nommée autrefois Place Royale, la place des Vosges est, après la place Dauphine, la place la plus ancienne de Paris. Sa construction débuta en 1605 ; elle fut inaugurée en 1612, à l'occasion des fiançailles de Louis XIII et d'Anne d'Autriche par un grand carrousel : le centre de la place, sablé et dégagé, servait aux cavalcades et tournois. De plan rectangulaire, elle mesure 127 sur 140 mètres de côté, bordée d'immeubles d'habitation de deux étages en, d'une grande unité de présentation. L’unité de composition (rez-de-chaussée à arcades, briques rouges à chaînages de pierre calcaire blanche, toits d'ardoise bleue, fenêtres à petits carreaux) et la hauteur uniforme des bâtiments (deux étages), sont imposées par édit royal aux architectes Jacques Androuet du Cerceau et Claude Chastillon. - Bayard
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L'image traditionnelle de Bayard est celle du parfait chevalier « sans peur et sans reproches » qui combat avec bravoure lors des guerres d’Italie du XV° et XVI° siècles. Voir l’article détaillé : http://fr.wikipedia.org/wiki/Pierre_Terrail_de_Bayard Statue du chevalier Bayard,1823, place Saint-André, en face de l'ancien palais du Parlement du Dauphiné, Grenoble. - Le chevalier Bayard
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L'image traditionnelle de Bayard est celle du parfait chevalier « sans peur et sans reproches » qui combat avec bravoure lors des guerres d’Italie du XV° et XVI° siècles. Voir l’article détaillé : http://fr.wikipedia.org/wiki/Pierre_Terrail_de_Bayard Statue du chevalier Bayard,1823, devant l'église Saint-André, en face de l'ancien palais du Parlement du Dauphiné, Grenoble. 24/05/2009 - la Table claudienne
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vue 29807 fois« La Table claudienne est une retranscription sur une plaque de bronze d’un discours que l’empereur Claude, né à Lyon, prononça en l’an 48 devant le Sénat de Rome. Les notables des Trois Gaules réclamaient certainement des droits égaux à ceux des citoyens romains, c’est-à-dire le droit de cité complet, leur ouvrant l’accès aux magistratures romaines et au Sénat. Claude intervint en leur faveur devant l’aristocratie romaine jalouse de ses privilèges. La Table a été découverte en 1528, sur les pentes de la colline de la Croix-Rousse, ce qui constitue un argument fort pour localiser le sanctuaire dans ce secteur. On imagine en effet que le discours prononcé par Claude en faveur des Gaulois avait été affiché là où se réunissait l’assemblée fédérale ».
« Retrouvés à Lyon dans le quartier de la Croix-Rousse en 1528, les deux morceaux conservés faisaient partie d'une plaque de bronze originellement brisée en quatre morceaux. La table est une plaque de bronze pesant 222,5 kg, de 193 cm de large, de 139 cm de haut pour ce qui subsiste, épaisse de 8 mm. Le texte est gravé en deux colonnes, une sur chaque fragment, d’une quarantaine de lignes. Il manque les premières li gnes du titre et du début du texte, et le haut de la seconde colonne »
(source : Wikipedia + Clioweb : Daniel Letouzey)
Elle est conservée actuellement au musée gallo-romain de Fourvière à Lyon.
Pour savoir comment cette table a été fabriquée , une vidéo très intéressante : http://www.universcience-vod.fr/media/1253/autour-de-la-table-claudienne.html Elle a été fondue et non gravée !Pour compléter les informations sur la Table claudienne, allez voir l'article sur Clioweb (http://clioweb.free.fr/dossiers/ancienne/tableclaudienne.htm). Vous y trouverez entre autres la traduction du texte de l'empereur Claude.
- L'agora d'Athènes
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L'ancienne agora d'Athènes vue depuis l'acropole. Au 1er plan à droite, l'église byzantine des Saint-Apôtres ( fin Xeme). Au deuxième plan sur la gauche, le temple d'Héphaïstos. - palais de Westminster et Big Ben (2)
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Le palais de Westminster et Big Ben vus depuis la Grande Roue de Londres. - abbaye de Westminster (2)
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L'entrée par le croisillon gauche de l'abbaye de Westminster. - Hué, Cité impériale
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Construite à partir de 1804, la Citadelle de Hué est entourée de 10 km de douves. La Cité impériale, qui n’occupe qu’une partie de la Citadelle, compte 4 portes, des murs de 6 m de haut et de 2,5 km de long. Ici, la porte du Midi du haut de laquelle l’empereur apparaissait à ses sujets pour les proclamations importantes ; Bao Dai, le dernier empereur, y abdiqua le 30/08/45 devant le gouvernement révolutionnaire provisoire. De très durs combats s’y déroulèrent durant l’offensive du Têt (janvier 1968) et de nombreux bâtiments furent détruits. Le site qui bénéficie depuis 1993 d’un classement au Patrimoine Mondial de l’Humanité est en pleine reconstruction. - Mandarins 1
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Les mandarins, lettrés recrutés par concours, se répartissent en deux catégories : les mandarins civils, et les mandarins militaires. Les mandarins civils exercent des fonctions administratives de direction et surveillance d’une province : routes, transports, échanges, entretien des digues… Les mandarins militaires sont des officiers recrutés également par concours sur des épreuves de tactique et de stratégie. Pagode de Quan Thanh, Hanoi - Mandarins 2
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Statues en pierre des mandarins militaires (au premier plan) et civils (au second plan) montant la garde à l’entrée du tombeau de l’empereur Khai Dinh qui régna de 1916 à 1925. A proximité de Hué. - Statue de l'empereur Auguste
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Statue en bronze de l'empereur Auguste, découverte dans la mer Egée. Il apparaît ici assez âgé, montant un cheval. Sa main droite est levée selon une gestuelle officielle, tandis que sa main gauche tient les rênes. Daté de 12-10 avant JC. Visible au musée national d'archéologie d'Athènes. - Tribune de la colline de la Pnyx
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C'est le lieu où se plaçait l'orateur s'adressant à l'Ecclésia, l'assemblée des citoyens. - Escalier d'honneur du Sénat
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Orné de tapisseries des Gobelins, L'escalier d'honneur du Sénat a été conçu par Chalgrin entre 1800 et 1803. Il remplace la galerie des Rubens, construite sous Marie de Médicis. Ces 24 tableaux sont maintenant au musée du Louvre. Au pied de cet escalier chaque groupe de visiteurs se fait photographier ! - gisants de Aliénor d'Aquitaine et d'henri II Plantagenêt
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Henri II fit de l'abbaye de Fontevraud une abbaye royale et la nécropole de sa dynastie. On peut y trouver son gisant ainsi que celui de son épouse Aliénor d'Aquitaine - Propagande à Tunis
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Propagande pour le Président Ben Ali à Tunis (2008). - Colonne trajane (détail)
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La colonne Trajane est située sur le Forum Trajan, à Rome. - Colonne trajane (détail)
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La colonne trajanne est située à Rome, sur le Forum Trajan. - La cour d'honneur du palais du Luxembourg
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Seuls les visiteurs et les sénateurs ont accès à cette cour. Pour visiter le Sénat,en particulier avec une classe, c'est par le biais du sénateur local qu'on obtient un rendez-vous mais il faut s'y prendre à l'avance. - La salle des conférences au Sénat
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Longue de 57 m, large de 10,60 m, d'une hauteur de 11 m (15 m sous la Coupole), cette salle fut réalisée par Alphonse de Gisors, par la réunion des trois anciennes salles du premier étage. On y découvre les ors de la République ! - La salle du livre d'or du Palais du Luxembourg
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Les appartements de Marie de Médicis étaient situés au premier étage, dans les deux pavillons Sud-Ouest, et sa chambre à l'angle sur le jardin. A la Révolution, ces pièces furent dépouillées de leurs somptueux décors. Certains des éléments de décoration conservés ont été réemployés, au début du XIXe siècle, dans l'aménagement de cette salle d'apparat où était conservé jusqu'en 1848 le Livre d'Or de la Pairie. Source : site du Sénat http://www.senat.fr/visite/index.html - Statue de Félix Eboué
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La statue de Félix Eboué sur la place des palmistes à Cayenne - El Alhambra
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Vue de l'Alhambra depuis le quartier de l'Albaicin. En arrière plan on aperçoit la Sierra Nevada. - Cour des Myrtes, L'Alhambra
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La cour des Myrtes (El patio de los Arrayanes) : passage obligé des invités avant de rejoindre la salle du trône (en arrière plan). - Salle du trône, Alcazar de Séville
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Plafond du salon des ambassadeurs. On remarque dans les niches du plafond de minuscules miroirs d'acier destinés à réfléchir la lumière. - Buste de Trajan
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Buste de l'empereur Trajan (Musée du Vatican) - La chancellerie allemande
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Vue de la coupole de verre du Reichstag sur la Chancellerie fédérale. Baptisée par les Berlinois "la machine à laver", la Chancellerie a été conçue par les architectes Axel Schultes et Charlotte Franck. Aux derniers étages se trouvent les bureaux du chancelier et sa résidence privée. - Coupole du Reichstag
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L'architecte britannique Norman Foster a rénové le bâtiment du Reichstag transformant la structure réalisée en 1894 par Paul Wallot. Il a notamment ajouté une coupole vitrée qui a métamorphosé l'aspect du bâtiment. - Arc de triomphe
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Arc de triomphe de la Tétrachie à Sbeïtla, l'ancienne Sufetula dans l'actuelle région des hauts plateaux de Tunisie. Cette cité romaine aurait été fondée assez tardivement au Ier siècle. - Buste de Periclès
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vue 30847 fois - Palais de Los Polentinos à Avila
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Palais de Los Polentinos. Il a été construit au XVIe siècle. Contrairement à la grande sobriété et pauvreté des ornements de la majorité des palais d'Avila, on a ici une grande profusion de décorations. Sous les mâchicoulis qui couvrent les embrasures principales et contrastant avec l'origine guerrière de cette famille, un portail plateresque avec des motifs liés aux métiers des armes : armures, hallebardes, casques, etc. Le patio est richement décoré de médaillons de personnages appartenant à différentes couches sociales. Ce palais fut le siège de l'Académie Militaire d'Intendance durant plus de cent ans et actuellement, il abrite les Archives Générales Militaires (photos du patio interdites !). - Place Tien Anmen
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Place Tien Anmen, photo prise devant le mausolée de Mao Zedong, en direction ( au nord) des premiers pavillons de la cité interdite et la porte de la pureté céleste ( Tien Anmen) C’est l’une des plus vastes places du monde ( 40 ha) théâtre des grandes parades et fêtes nationales mais aussi des rébellions ( en 1976 et 1989 - Place Tien Anmen
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Place Tien Anmen, Photo prise devant la porte de la pureté céleste Au loin, le mausolée de Mao Zedong- Mao Zhuxi Jianiantang – Ce temple cubique abrite le sarcophage du père du parti communiste. Au centre de la place, dans l’axe impérial, l’obélisque dédié aux héros du peuple ( morts pour l’indépendance du pays) Entre la place et la cité interdite, l’une des très larges artères de la capitale, orientée Est-ouest. - Place Tien-Anmen – Mémorial de l'armée de libération.
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Groupe sculpté situé à gauche de la façade du mausolée de Mao Zedong – Ce mémorial de style soviétique, exalte l’idéal communiste. - Temple du ciel
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L'empereur se rendait au temple du ciel pour des cérémonies destinées à favoriser les récoltes - poignée et heurtoir dune porte de la Cité interdite
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La cité interdite, appelée aussi Cité pourpre interdite – PEKIN –15 février 2007- Poignée et heurtoir d’une porte de la Cité interdite. Elle représente la gueule du tigre Bi’an. Il orne de nombreux battants de portes dans la cité interdite mais on le trouve également sur les portes d’entrée des maisons traditionnelles dans le vieux Pékin. Bi’an est l’un des 9 fils du Dragon ( le dragon, qui est également représenté ici, est le symbole de l’empereur, qui selon la légende était le fils-dragon du Ciel ) Ce bestiaire fantastique peuple l’univers chinois. - cité interdite- vue de la colline du Charbon
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La cité interdite – PEKIN –15 février 2007- vue de la colline du charbon – Meishan - (située au Nord de la cité) qui servait de protection géomantique au palais impérial. Site classé au Patrimoine mondial de l’humanité de l’Unesco depuis 1987 Son nom chinois est Zijincheng, ce qui signifie « cité interdite pourpre » Les Chinois l’appellent aussi familièrement « guyong » ( le vieux palais) La Cité Interdite, est le plus grand ensemble de palais impériaux en Chine. Elle occupe une superficie de 723 600 m2 dont seulement 1/6 sont occupés par les palais officiels. Des murs d'enceinte l’entourent sur 960 mètres de longueur et 750 mètres de largeur. Le premier palais impérial fut construit au XIIIe, puis reconstruit sur un plan entièrement nouveau de 1407 à 1420. Des travaux d’extension du palais furent entrepris du XVIIe au XIXe. Les principaux bâtiments aux tuiles jaunes vernissées et aux murs pourpres jalonnent l’axe central orienté nord-sud. La cité interdite était le lieu de pouvoir politique et le lieu de résidence hivernale des empereurs et de leur famille. La plupart des bâtiments étaient construits en bois Au loin , les immeubles récents de la ville de Pékin, hérissée de grues aujourd’hui. L’interdiction de construire des bâtiments plus élevés que les toits de la cité interdite appartient au passé…. - Douves de la cité interdite
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Mur d’enceinte et douves de la cité interdite - PEKIN – 15 février 2007- La Cité interdite est protégée par une enceinte rectangulaire : 960 mètres de longueur dans le sens sud-nord et de 750 mètres de largeur. Des murs de 7 m de haut en terre damée parementé de briques, bordés de larges douves (larges de 60 m) enserrent le palais impérial. Ils sont perçés de quatre portes correspondant aux points cardinaux. A chaque angle, une imposante tour de garde de trois étages et de forme octogonale est édifiée. - porte Duanmen
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La cité interdite - Duanmen – PEKIN – 15 février 2007- À l'arrière plan: la porte de Duanmen ou porte de la droiture est une porte intermédiaire entre la porte Tien-anmen et la porte wumen. Au premier plan, une allée en libre accès, bordée de réverbères à globes, fréquentée par les nombreux Chinois en congé pour les fêtes du nouvel an chinois.