- Notre-Dame du Haut
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Notre-Dame du Haut est une chapelle catholique construite de 1953 à 1955 sur la colline de Bourlémont à Ronchamp en Haute-Saône, dans la région française de Bourgogne Franche-Comté. C'est une création de l'architecte franco-suisse Le Corbusier. Elle est érigée à l'emplacement d'un ancien sanctuaire romain et d'une ancienne chapelle reconstruite une première fois dans l’entre-deux-guerres. En 1975, l'architecte français Jean Prouvé réalise un campanile. En 2011, une nouvelle porterie ainsi qu'un couvent sont construits sur les plans de l'architecte italien Renzo Piano. Le site est inscrit, avec 16 autres œuvres architecturales de Le Corbusier, sur la liste du patrimoine mondial de l'UNESCO en 2016. - Fort Sénarmont de Bessoncourt
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Façade du fort Sénarmont de Bessoncourt, construit de 1883 à 1886, il fait partie de la ceinture du camp retranché de Belfort. Fort de type Séré de Rivières. Ici l'entrée avec un fossé et la caserne de gorge pour les officiers. - Fort de Bessoncourt
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Cour et grande caserne du fort de Bessoncourt, 1883-1886, système Séré de Rivières. Sur les dessus du bâtiment, des positions d'artillerie et d'infanterie. La partie au fond a été recouverte de béton après 1885 et l'apparition de l'obus torpille. - Fort de Meroux
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Fort de Meroux, Territoire de Belfort. Ouvrage intermédiaire d'infanterie construit de 1906 à 1914. Entièrement bétonné, il comptait jusqu'à 250 soldats. - Fort des Hautes Perches
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Fort des Hautes Perches, à quelques kilomètres au sud-est de Belfort. Bâti entre 1874-1879 selon les principes du système Séré de Rivières, il appartient au camp retranché de Belfort. Onze casemates sont enfoncées, elles abritent les hommes au rez-de-chaussée. Sur les dessus, un cavalier avec des positions à ciel ouvert pour l'artillerie d'action lointaine. - Citadelle de Belfort
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Vue sur la ville de Belfort en direction de l’est. Au premier plan, la vieille ville ceinturée par la rivière « la Savoureuse ». Sur la gauche, le marché couvert inauguré en 1905. Au second plan, le lion de Belfort construit par Bartholdi. Au fond la citadelle. Cette citadelle a été en grande partie remaniée par Vauban (XVIIème siècle) à la demande de Louis XIV. Il décida d'en doubler la surface en créant une enceinte pentagonale fortifiée. Pour une description de la forteresse, se rendre sur le site franche-comte.org Actuellement, le gouvernement français a choisi l'oeuvre de cet ingénieur militaire pour être soumise à l'inscription au Patrimoine mondial de l'humanité (Unesco). Voir l'article du Monde, 6 janvier 2007, "La France propose Vauban à l'Unesco" Mais la citadelle de Belfort n'a pas été retenue pour cette candidature car celle-ci a été par la suite trop modifiée (voir les propos d'Alain Monferrand, président de l'Association Vauban dans ce même article). - Lion de Belfort
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Monument inauguré en 1880. C’est la municipalité de Belfort qui décida, en décembre 1871, de construire un monument à la mémoire des victimes tombées lors du siège de la citadelle. Cette dernière résista aux armées prussiennes du 3 novembre 1870 au 13 février 1871, sous le commandement du colonel Denfert-Rochereau. Le sculpteur Frédéric-Auguste Bartholdi fut désigné pour le réaliser. Il conçut un lion monumental, symbole de cet acharnement à résister. Il mesure 22 mètres de long et 11 mètres de haut et a été installé au pied de la Citadelle. Il est constitué de blocs de grès rose des Vosges. Une inscription est gravée sur son socle : « Aux défenseurs de Belfort 1870-71 ». - La saline royale d'Arc-et-Senans
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En 1773 un arrêt du Conseil du roi Louis XV ordonne de bâtir une saline à Arc-et-Senans afin d'exploiter les eaux saumâtres de Salins. Ce sera l'œuvre majeure de Claude Nicolas Ledoux (1736-1806) chargé d'en dresser les plans et d'en assurer l'édification de 1774 à 1779 selon un plan semi-circulaire qui servira d'élément central lorsqu'il établira son projet de cité idéale. - Inondation près de Besançon
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10 mars 2006, le Doubs en crue au N-E de Besançon. A gauche, on aperçoit les premiers lotissements de la commune de Thise, à droite le village de Chalèze, (7 km au N-E de Besançon). Entre les deux, la Nationale 73. L’inondation est due à la conjugaison de deux facteurs : - un épisode neigeux important les 4 et 5 mars (32 cm à Besançon le 4 mars) - un redoux et des pluies entraînant une fonte brutale dans les jours suivants. Résultat : d’un niveau normal de 3 m à Besançon le 9 mars à minuit, la rivière franchit une cote de 5,50 m 24 heures plus tard et atteint 7m 20 le 10 mars à 21 heures. La plaine est donc inondée. En bas de la photo, les traînées foncées et les arbres laissent percevoir le lit de la rivière. La route départementale (à droite) est coupée mais pas la nationale qui traverse la plaine. (Voir la photo "témoin" pour comparaison). - Inondation près de Besançon (2)
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10 mars 2006, le Doubs en crue au N-E de Besançon, ici sur la commune de Chalezeule, limitrophe de Besançon. La délimitation du lit du Doubs peut se voir en haut à droite et en bas par les alignements d’arbres normalement sur les berges. Les deux traits blancs parallèles sont les barres transversales des buts du terrain de foot. L’inondation est due à la conjugaison de deux facteurs : - un épisode neigeux important les 4 et 5 mars (32 cm à Besançon le 4 mars) - un redoux et des pluies entraînant une fonte brutale dans les jours suivants. Résultat : d’un niveau normal de 3 m à Besançon le 9 mars à minuit, la rivière franchi une cote de 5,50 m 24 heures plus tard et atteint 7m 20 le 10 mars à 21 heures. - Inondation près de Besançon (3)
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La départementale 411 entre Besançon et Chalèze le 10 mars 2006 vers 10 heures du matin. Les pompiers interviennent avec plusieurs véhicules pour venir en assistance à des automobilistes imprudents et pour assurer l’évacuation éventuelle de certains riverains. La crue a commencé dans la nuit, dans la matinée le Doubs atteint une cote de 6m 50 (pour une cote normale d’environ 3 m). Le maximum est atteint dans la soirée à 7 m 20. L’inondation est due à la conjugaison de deux facteurs : - un épisode neigeux important les 4 et 5 mars (32 cm à Besançon le 4 mars) - un redoux et des pluies entraînant une fonte brutale dans les jours suivants. - Vignoble de Château Chalon
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La vue est prise depuis la terrasse du village jurassien de Château Chalon en regardant vers Ménétru. Ce petit vignoble de 60 ha donne naissance à une célèbre AOC, le vin jaune de Château Chalon. Un exemple de terroir de qualité.